A la recherche de bonne musique

Il était huit heure du matin quand les rayons du soleil commencait a peine a percer dans la sombre chambre de la jeune Cara. Elle se reveilla avec joie. Et oui Cara n'était pas une personne qui aimait veiller. Elle sortit de sous la couette se dirigeant vers la salle de bain pour prendre sa douche. Elle était sortit a peine cinq minute après dans un peignoir. Elle reprit le meme chemin pour se faufiler dans sa chambre et fouiller dans son dressing pour se trouver un habit. Cara n'avait pas une garde robe remplit de vetement griffer comme toute les autres fille de l'Upper East Side. Elle avait pourtant les moyens mais bon elle savait ou mettre l'argent au bon endroit. Elle se dirigea donc vers sa pendrit pour y ouvrir les portes. Elle choisis un ensemble jogging vert émeraude qui s'agencait magnifiquement a ses yeux. Cette ensemble composer d'une camisole et d'un short bermuda lui allait bien au teint. Elle avait prit une paire de basket, empoigna un élastique sur sa comode pour relever ses cheveux en une queu de cheval négliger. Plusieur couette sortait de l'élastique mais elle s'en fichait. Elle sortit de l'apartement fourrant au passage ses clés puis partit a la course.

Elle joggua asser loin jusqu'a l'Union Square Park. Elle prit le temp de s'aretter sur une banquette pour soufler avant de repartir chez elle. Elle avait prit cette bonne habitude a tout les matins quand il faisait beau. Elle ferma les yeux laissant le vents soufler dans ses cheveux et froler sa douce peau de bébé. Elle se releva faisant quelque étirement pour repartir chez elle. Elle reprendrait une courte douche avant de resortir faire ce quel ne savait pas encore. Elle arriva finalement devant l'immeuble qui comportait le loft des Gattina's puis sortit sa cléf pour rentrer. Elle appercut sa soeur qui venait de se lever qui passait la dernière touche de son maquillage en appliquant un gloss dont elle ne ménageait pas la quantité. Normale quel dépensait beaucoup d'argent pour des produits cosmétique et du linge. Elle passa un air absurde devant elle puis s'écrasa dans son lit. Elle prit un bouquin qui trainait sur la table de nuit pour en commencer la lecture. La porte claqua et un silence regna dans le loft. Cara fit un mince sourire puisqu'elle savait qu'elle était maintenant seule dans l'endroit. Elle sautilla en bas de son lit pour aller vérifier si la porte était barrer. Giulia l'avait bien verouiller et elle tourna les talons pour reprendre une bonne douche froide.

A sa sortit, elle lanca son ensemble jogging dans le panier a lesive puis trotina jusqu'a sa chambre pour y prendre un nouvel ensemble qui n'avait rien de semblable a ce que sa soeur avait mit pour sortir. Elle enfila un polo noir qui était signer Lacoste, problablement son seule chandail de marque, suivit d'une mini jupe caroter noire et blanche qui lui allongeait les jambes. Elle piqua une vieille paire de ballerine en satin noir Miu-Miu qui appartenait a sa soeur et qui lui faisait parfaitement. Satisfaite de son image dans le miroir elle peigna ses cheveux mouiller quel ne prit pas le temp de secher. Elle les laissait secher naturellement. De toute facon, c'est cheveux sechait et ondulait légerement dans le bas. Elle avait une envie folle d'écouter de la musique et vut quel était seule elle l'écouterait a fond dans l'appartement. Elle alla fouiller dans sa collection de CD qui n'avait pas été renouveller depuis quelque année et c'est ce qui dessina une mine surprise sur le visage de la jeune blonde. Elle savait qu'il avait un bon magasin de disque dans la ville et c'était la journée idéale pour aller y faire un tour.

Elle prit le temp de rentrer ses cléfs, son portable et un peu d'argent dans un sac en tissu noir puis fila a l'exterieur encore une fois. Elle décida qu'une bonne marche allait lui faire du bien et c'est ce quel fit. Elle savait que le discaire se trouvait dans le coin et elle avait encore une fois bien raison. C'est en tournant le troisième coin de rue qu'elle se retrouva en face du magasin. Un sourire B.A afficher a son visage, elle poussa la lourde porte du magasin et fit un signe de bonjour au vendeur puis se dirigea vers les CDs quel regardait un par un.

[Hum les débuts, c'est pas mon truc xD]

« Love, love me do. You know I love you. I'll always be true. So ple-e-e-e-ease, love me do. Whoa, love me do. »
Le jeune Charlie immergea d'un profond sommeil. Sans grande surprise, il aurait bien voulu rester endormi plus longtemps. Manque de chance, sa jeune soeur Hilarie n'était pas entré dans la tête de son frère et par conséquent, n'avait pas la moindre idée de ce que voulait ABSOLUMENT Charlie (à savoir une looongue journée de sommeil). Au lieu de ça, Hilarie courait dans tout l'appartement, sûrement en se préparant à sortir. Elle avait pris soin de mettre un des best of des Beatles dans la chaine-hifi qui passait Love Me Do en boucle depuis bientôt plus de quinze minutes. Très fort. Ou du moins, assez fort pour tirer du sommeil le pauvre petit Charlie.
Comme à peu près toute les nuits depuis des années, Charlie avait passé son temps à traîner dans New York avec toute la bande de défoncés-à-l'herbe-populaires. Seuls quelqu'uns manquaient à l'appel. A cause de cette émission de TV réalité, dans lequel avaient été embarqués quelques potes à Charlie. Bref, ça ne l'empêchait pas de fumer sa quantité gargantuesque quotidienne d'herbe.
Bref. Monsieur Dern daigna enfin ouvrir un oeil. Un oeil vitreux, ça va de soi. Se lever était déjà une épreuve difficile mais si en plus il y était forcé... Brrr. Il reste dix bonnes minutes allongé dans son lit, les yeux rivés au plafond plongé dans ses réflexions. Devait-il fumer un joint avant ou après sa douche ? Drogué jusqu'à la moelle, il n'avait que faire des conseils de son entourage.
Sa décision était, prise : il fumerait après s'être lavé. Oui, c'était un question existentielle. Le jeune homme se trâina jusqu'à la salle de bain. Douche, puis il enfila rapidement un jean coupé droit et un polo Ralph Lauren bleu ciel. Il se rendit finalement dans la cuisine où était déjà attablée sa soeur qui mangeait une pomme en chantonnant Love Me Do du célèbre groupe anglais. Hilarie leva les yeux sur lui. Charlie s'entendait bien avec sa soeur en général, il la salua d'un mouvement de tête et fonça au réfrigérateur pour en sortir une bouteille de lait. Pensif, il alla prendre place à côté de la jeune fille. Question du jour, ne pouvant plus dormir, comment s'occuper. Fumer c'est cool et ça occupe mais pendant 1 heure. Et encore.

Prit d'un élan de lucidité (c'est rare mais ça arrive), Charlie se précipita dans sa chambre, attrapa un ballon de foot et son portable et descendit en vitesse jusqu'à l'Union Square Park. S'attendant à trouver toute la bande de Waspoide, notre cher Charlie descendit de son petit nuage en voyant qu'il n'y avait tout simplement personne. En trainant des pieds, Charlie se dirigea vers je-ne-sais-où (ne pas s'inquiéter, il sait bel et bien où il habite). Il arriva finalement devant Manny's. Relevant le bout du nez et s'apprêtant à continuer le chemin, Charlie se surprit à tendre la main vers la poignée de la porte. Deux secondes plus tard, il gambadait joyeusement comme un gamin à travers les rayons poussiéreux du magasin à la recherche d'un album (je ne vous cache pas que Charlie n'avait aucune idée du cd qu'il cherchait...). Mais une tête blonde connue entra dans son champ de vision. Cara Gattina. Véritable artiste anti-conformiste. Pas de grands amis vu qu'ils n'avaient rien en commun sauf faire parti de la jeunesse dorée de New York.

Cara laissait trainer ses doigts sur les pochettes des disques. Les regardais toujours un par un. Pour l'instant il n'avait personne dans le magasin sauf le vendeur qui travaillait aujourd'hui. Elle tira sur un disque pour le regarder et le redeposa dans le ranger. Elle faisait ce mouvement continuelle jusqu'a ce qu'un petit bruit vint briser le silence de l'endroit. La petite clochette de la porte qui avertisait quand quelqu'un rentrait dans le magasin. Elle n'avait jamais aimer le bruit de ce genre de clochette pendut au plafond. Personne qui travaillait dans le magasin était aveugle et ce n'était jamais bien plein cette endroit. Alors inutile d'avoir ce bruit aigu pour avertir. Ce que le monde ne pensait pas beaucoup parfois.

Elle vit un jeune homme commencer a gambader dans le magasin lui aussi problablement a la recherche de musique. Ne portant pas plus d'attention, elle se remit sur la ranger de disque qu'elle était en train de regarder pour pianoter avec ces doigts. Elle se sentit fixer. Elle detestait cette sensation et ne savait vraiment pas pourquoi sa grande soeur cherchait toujours a se faire observer. C'était tout a fait desagréable. Elle essaya de faire semblant de rien mais sa l'énervait quand meme. Comme si elle était interessante, elle regardait des disques avec ses longs cheveux blond dans les yeux.

Elle releva la tete pour voir qui l'observa et reconu Charlie Dern. Elle ne lui avait presque jamais parler et le connaisait peu. Sa soeur devait peut-etre le connaitre. Mais bref, il devait savoir seulement qu'elle était une artiste tout simplement et rien d'autre. Sinon tout le monde savait que la blondinette était la petite soeur de la si fréquenter Giulia. Qui ne le savait pas ?

" Bonjour ! "

Dit-elle simplement puis retourna encore une fois sur les disques recommenca le meme mouvement d'une geste précis, rapidement et continuelle. Elle tira sur un CD qui l'interessait. Fan de vieille musique et des chanteurs inconnu qui sortent du genre un CD dans leur petite vie. Elle en avait trouver un qui avait l'air plutot bien. Elle traca sur son visage un mince sourire le déposa aussitot sur la petite tablette au dessus. Elle continua de fouiller dans les nombreux disque qui commencait un peu a accumuler la poussière. C'est pas si dure de passer un petit coup de plumeau de temps en temps. En plus c'était si facile de balader légerement un baton qui suposement enlevait la poussière. Un enfant de dix ans pouvait le faire aussi bien qu'un adulte qui est dans la trentaine. C'est surement la tache ménagere la plus facile a faire mais encore beaucoup plus facile c'est de rien faire évidament.

Elle placa une mèche boucler derrière son oreille qui lui cachait la vue. Pris de l'élan, elle retira un élastique sur son poignet. Elle avait prit cette habitude de toujours avoir avec elle un élastique pour remonter ses cheveux. Elle ne prenait jamais de risque. Elle le tira donc remonta rapidement ses longues boucle doré puis elle roula deux tours autour de son emprise pour finalement laisser ses cheveux tomber en une queu de cheval négliger. Plusieurs mèche trainait encore sur son visage mais au moins l'essentiel était attacher.

[Désoler pas beaucoup d'inspiration, je me rattrape au prochain promis]

[Encore un RP sans intêret, désolé >.< faut prévoir quelques catastrophes pour la suite Laughing

]

« Love, love me do. You know I love you. I'll always be true. So ple-e-e-e-ease, love me do. Whoa, love me do. » Bon sang, c'était hallucinant la manière dont cette chanson pouvait vous entrer dans la tête et ne plus vouloir en ressortir. La Beatles Mania sévissait partout où elle allait. A dire vrai, Charlie n'était pas un fan des Beatles. Et pas fan-fan de musique. Il entendait mais il n'écoutait pas. Notez la nuance. Bref, que faisait-il dans un magasin poussérieux et lugubre spécialisé dans la vente de cd et de vinyles s'il ne s'intéressait pas à la musique ? Hum bonne question, très bonne question, je dirai même excellente question. Par contre, allez trouver une réponse. Personnellement, je dirai que Charlie est entré chez Mannny's parce que tous ses potes l'avait abandonné et qu'il était assez défoncé pour se redéfoncer encore une fois...

« Love, love me do. You know I love you. I'll always be true. So ple-e-e-e-ease, love me do. Whoa, love me do. » Non d'un chien. Charlie était à deux doigts de se taper la tête contre le mur la plus proche. Cette chanson était l'oeuvre du diable, il n'y avait pas d'explication. A moins que.. à moins que ce fut un signe pour que Charlie achète un des albums des Beatles pour pouvoir enfin mourir en paix et pas inculte. Oui, le cerveau en état de défonce de Charlie se révélait être affolant. Le jeune homme était pratiquement certain qu'avoir cette chanson dans la tête était un signe de Thot, le dieu égyptien de la musique. Ouh. Il allait chercher loin oui. Il avait bel et bien compris sa mission. Trouver le rayon des Beatles. Celui qui doutait de ses capacités intelectuelles...avait peut-être raison. Charlie circulait avec hâte dans le magasin à la recherche du rayon B, ne sachant plus que B était compris en A et C. Pauvre petit, le retour à la maternelle ne va pas tarder. Manque de chance, il entrait à la FAC dans quelques semaines à peine.

« Someoooone to love. Somebody new. Someone to love. Someone live you ! ». Brrr. Charlie lui même doutait de sa santé mental. Toujours occupé à chercher le rayon des B, le jeune défoncé avait presque oublié la présence de la jeune femme, Cara Gattina, la soeur de Giulia Gattina évidemment, certainement la fille qui savait le mieux faire tourner la population masculine upper sidienne en bourrique. Et peut-être qu'on ne pouvait pas lui repprocher. C'est donc avec un léger sursaut que Charlie accueillit le salut de la jeune blonde. Charlie regarda à droite puis à gauche, pendant encore des voix... Mais non la jeune Gattina se tenait à quelques mètres de lui. Charlie leva la main en souriant, incapable de se servir de sa langue qui lui semblait être..pateuse. La jeune femme n'attendit pas pour retourner dans son occupation, laissant un Charlie sourire aux lèvres, main levée et air de crétin affiché. Pour pas changer. Le jeune anglais jeta un coup d'oeil circulaire au magasin, un regard désespéré.. Pauvre petit, aucune notion de rien du tout.

Hey Cara osa-t-il en dérangeant Madâââme dans sa recherche de petites merveilles musicales, tu sais où je peux trouver les albums des Beatles demanda-t-il en passant une main nerveuse dans ses cheveux ce qui eut pour effet de le décoiffer (ou coiffer à moitié puisqu'il n'avait pas fait l'effort de se coiffer auparavant, vous me suivez ?). Oublions que Charlie passait pour un dégénéré.

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