Un cafe vous avez dit? [Termine]

Cela faisait maintenant un petit peu plus d'une semaine que Fernando etait arrive dans l'upper, il etait arrive en cours d'anne dans son ecole, StJude, au debut il avait beaucoup de mal a s'adapter a cette "nouvelle vie", il trouvait que la vie compare a celle sur sa petite ile du Portugal, Madeire, etait tres differente, les gens semblaient moin complice entre eux, la-bas dans son village, tout le monde se connaissait, se parlait, et la, c'etait tout l'inverse, mais il compri bien tout de meme, que dans une ville aussi importante que
New-York, la vie ne peut qu'etre differente, mais tout de meme...

Avec son pere, malgre cette hausse de salaire pour le deplacement de son pere, il ne roulait toujours pas sur l'or, et afin d'aider son pere, Fernando avait decide de trouver un petit travail dans un bar ou un cafe, et quelle chance, il avait etait embauche dans ce petit cafe chic du nom du Jackson Hole en tant que serveur, cela faisait maintenant 2 jours qu'il y travaillait.

Son service etait bientot termine, le bar avait eu pas mal de monde, mais il ne ressentait pas le moindre signe de fatigue, et s'etait dit qu'il irait courir apres. Durant son service, il avait remarque une fille qui etait venu boire un cafe avec sa copine, elles devaient avoir la vingtaine, etaient tres belle et tres chic, et remarqua qu'elles ne cessaient de le regarder, mais avait decider de ne pas faire attention; et puis si ca se trouve, ce n'etait qu'une simple impression; et se consacra donc a son tavail afin de faire bonne impression pour ses premiers jours, ne pas decevoir son patron.

Enfin lui avait decide de ne pas faire attention, mais tout le monde n'etait pas du meme avis...

Giulia était tranquillement assise à sa place, suivant à moitié son cours de physique avancée. Elle regrettait amèrement de ne pas avoir suivi Kathleen à la pause déjeuner pour sécher les cours. Mais il était trop tard maintenant. La sonnerie de Constance Billard retentit finalement dans tout le batiment principal. Giulia se leva précipitement et sortit dans les couloirs pour se rendre à son casier. L'après midi était enfin fini pour elle. Elle rangea finalement ses affaires, prenant sa veste et son sac à main. Elle se mit alors à la recherche de sa garce préférée, à savoir Olivia Warldof. D'après ses vagues souvenirs, elle avait Cinéma en dernière heure.

Giulia se dirigea rapidement vers la salle 215B où se passait en général ce genre de cours. Elle tomba nez à nez avec Vanessa Abrams sur qui elle darda un regard noir. On ne refera jamais Giulia, elle considérait Vanessa comme une bizzarerie de la nature, et c'était en parti vrai. Olivia entra finalement dans son champ de vision. Giulia lui attrapa le bras avec un "Allez, on file au Jackson Hole" comme tous les lundis soir après les cours. On ne change pas non plus les habitudes.

Les deux mademoiselles arrivèrent rapidement au Jackson Hole où elles s'installèrent à leur table habituelle. Une table qui donnait une vue sur l'ensemble de la salle. Parfait pourvoir tout ce qui s'y passait. Leur attention fut attiré par l'apparition d'un des serveurs. Un grand brun qu'elles n'avaient jamais vu. Giulia et Olivia commencèrent donc à discuter à son sujet en lui lançant quelques regards en biais. Elles concluerent finalement en se disant que c'était lui Fernando Carvalho, donc le copain d'Arya, une autre élève de Constance Billard.

Le portable d'Olivia se fit alors entendre. Après quelques minutes au téléphone, Olivia lui apprit qu'elle devait filer, sa mère avait besoin d'elle pour faire je-ne-sais-quoi. Dans tous les cas, Giulia se retrouva seule à sa table. Elle alla donc au bar et interpella ledit Fernando.

Hey, je peux avoir un café s'il te plait ?

Il y avait de plus en plus de monde au bar, et maintenant Fernando etait sans cesse au mouvement afin de pouvoir assurer toutes ses commandes et ne prendre aucun retard afin de satisfaire au maximum les clients. Apres avoir remonte les manches de sa chemise et s'etre essuyer le front avec une serviette, il avait remarque que sur les deux filles qui avaient attire son attention tout a l'heure, il n'en restait maintenant plus qu'une, l'autre s'etait leve apres avoir recu un coup de fil laissant ainsi sa copine au beau millieu de toute cette foule. Le chef de service de Fernando avait l'air assez content de lui, en effet il ne lui avait fait aucune remarque depuis le debut de son service. A present, la fille etait seule a sa table, mais cela ne dura pas longtemps, elle se leva, Fernando pensa que c'etait pour s'en aller, mais non, elle marcha en direction du bar, s'y installa et l'interpella:

- Hey, je peux avoir un café s'il te plait ?

- Oui, je vous apporte ca tout de suite.
... Et voila pour madame.
Et en remerciement son plus beau sourire?

Fernando remarqua apres coup qu'il etait entrain de faire du charme a une inconnue, non pas que cela le deplaisait, mais il se sentit mal a l'aise vis-a-vis d'Arya, apres tout, c'etait sa copine, et si elle faisait ce genre de chose, il en deviendrait malade, et regretta donc un peu son attitude. Pour se rassurer, ne voulant absolument pas de faire de mal a Arya, au ça non, il se dit qu'en etant serveur il avait pour role d'etre le plus aimable et le plus apprecie possible de la clientele, et que donc cette attitude rentrait en quelque sorte avec son travail.

Il étit un peu plus de 16h30 et le Jackson Hole, comme à son habitude, était bondé. Des dizaines et des dizaines de lycéens des prestigieux établissements qu'étaient Constance Billard et Saint Jude s'entassaient les uns sur les autres, histoire de dire "Oui je traine toujours au Jackson Hole après les cours. Sooo in. C'est tellement fashion". Bref vous voyez, juste pour dire "Oui j'étais à trois mètres d'Olivia Warldof et de Giulia Gattina !" et s'ensuit des miuvements de bras et cris cris hystériques. Pathétique.

Bref tout ça pour dire que le bar était bel et bien bondé et que les serveurs ne savaient plus vraiment où donner la tête. Mais ce n'est pas ça qui allait arrêter Giulia. On le sait tous, les gamins de l'Upper East Side ont toujours ce qu'ils veulent et à ce moment, Giulia voulait un café, c'est tout. Heureusement, Fernando et ses collegues étaient là pour se plier à leurs nombreux caprices. Qui a dit que nos chers upper sidiens étaient des priviliégiés déjà ? Aucun idée mais il avait tout à fait raison. <<Oui, je vous apporte ca tout de suite.>>, Giulia hocha la tête en murmurant un imperceptible remerciement. Une minute et trois secondes, Fernando ressurgit de nul part, et posa le café qu'elle avait commandé avec un <<... Et voila pour madame. Et en remerciement son plus beau sourire?>>.

Giulia releva les yeux vers lui, se demandant si elle avait bien entendu ou si il s'agissait d'une remarque sarcastique comme tout le monde avait l'habitude d'en faire dans le quartier. Mais à priori il s'agissait juste une remarque sympathique ce qui fit, effectivement sourire Giulia.

Merci. Pour être aussi courtois, tu ne dois être originaire de New York je me trompe ?

Lui demanda-t-elle en arquant un sourcil avant de boire une gorgée de son café. Bien qu'elle sache la réponse, Giulia voulait juste entamer la conversation. Quoi de plus ringard que de boire un café assiste au bar toute seule, genre en train de lire un livre. Autant faire ça chez soi, si on sortait, c'était pour étendre son réseau sociale.

Fernando n'avait pas une minute a lui, il etait sans cesse en mouvement, a prendre commande, puis a apporter ce qui etait convenu, tout cela sans relache. La clientele faisait beaucoup de bruit, par moment on pouvait entendre des cris qui sortaient de la bouche d'une de ces etudiantes. La majeure partie des personnes ici presentes etaient des etudiants, certains etaient la, a reviser, seul, souvent deconcentre par la table a ses cotes, puis d'autres venaient entre bandes de copains, s'installaient et se racontaient leurs peripeties de la journee, balancer des rumeurs comme ils savaient tres bien le faire, dont la plupart etant fausses. Ce genre de rumeurs avaient tendances a enerver Fernando, il detestait ce genre d'attitude, heuresement pour lui, il se disait qu'il n'etait pas vise pas tout ca, qu'en effet ne connaissant personne a part Arya, il ne voyait pas comment les gens pouvaient parler d'un total inconnu, surtout qu'il estimait que personne n'avait remarquer son arrivee dans New-York.

Il n'arretait pas de se demander comment ce fait-ce que la demoiselle qui venait de lui demander un cafe, qui au debut, a son arrive etait avec une copine a elle qui etait partie quelques temps plus tard, etait tout de meme restait au Jackson or qu'elle etait toute seule, elle etait meme venu au bar. Il lui avait servi le cafe qu'elle lui avait demande le plus vite possible, avec le plus d'amabilite possible, lui avait meme fait une petite remarque dont la reaction de la jolie fille rousse ne l'avait pas laisse indifferent, en effet elle avait sourrit, un sourire qui selon lui lui allait au mieu du monde, non pas se grand sourire, mais ce petit sourire en coin, qui a tendance a plaire un bon nombre de garçon, dont Fernando. Apres ce petit sourire, il avait baisser les yeux, puis relever juste apres car elle lui parla:

- Merci. Pour être aussi courtois, tu ne dois être originaire de New York je me trompe ?

En effet, il n'etait pas originaire de New-York, loin de la, il venait de l'autre cote de l'ocean, d'une ile de Portugal, et fut assez surpris qu'elle le comprit du a son comportement de "courtois" selon elle. Pour lui il agissait tout a fait normalement, meme si il s'avoua que le coup du plus-beau-sourire-en-remerciement etait tout de meme charmeur, mais tant qu'il n'allait pas plus loin...

- Oui, je viens d'arriver dans New-York cela ne fait pas longtemps, je suis originaire du Portugal, mon pere et moi sommes venus vivre ici pour son travail. Cela se voit tant que ca? Parce que justement j'essaie de m'adapter au mieu a la vie d'ici maintenant, c'est pour ca que j'ai chercher un travail en tant que serveur d'avoir du contact avec les gens et voire leur façon de se comporter. Je suis assez surpris d'ailleurs pour le moment, c'est vraiment different... Tu es originaire d'ici toi?

Fernando faisait sembler de prendre des notes sur son petit calepin afin de ne pas montrer qu'il etait entrain de parler avec la cliente autrement que pour le travail, il jetait souvent d'ailleurs des coups d'oeil de droite a gauche pour voir si personne ne l'avait remarque. Ca avait l'air d'aller pour le moment.

Giulia but une nouvelle gorgée de son café en dévisageant ledit Fernando. Comment avait-elle su avec Olivia qu'il s'agissait bel et bien de lui ? Bonne question. D'abord la célèbre Gossip Girl en avait parlé sur son site. Ensuite, Olivia et Giulia avaient croisé plusieurs fois Arya à Constance Billard et s'étaient arrêtées pour papoter un peu avec elle. Giulia avait connu Arya dans des circonstances assz particulières dirons nous. Lors de cette fameuse soirée au Harrisson Street Club où un énorme quiproquo avait entrainé un rectangle amoureux avec Max, Damon, Arya et Giulia. Tout ça c'était finalement remis en plca puisque Giulia sortait actuellement avec Damon, Olivia avait des vues sur Max tandis que le jeune français en avait sur Olivia et pour finir Arya avait rencontré Fernando et semblait filer le grand amour. Enfin d'après ce qu'elle leur avait dit, bien sûr, Katy Farkas et Isabel Coates, les langues de putes de Constance Billard s'en étaient rapidement mêlées et avaient circurlé la rumeur selon laquelle Fernando était en faite un clandestin qui voulait se marrier avec Arya pour avoir la nationalité américaine. Katy et Isabel allaient souvent chercher trop loin. Il ne faut pas chercher à comprendre, je vous assure.

Le jeune homme entreprit finalement de répondre à la question posée par la jeune italienne quelques instants plus tot <<Oui, je viens d'arriver dans New-York cela ne fait pas longtemps, je suis originaire du Portugal, mon pere et moi sommes venus vivre ici pour son travail. Cela se voit tant que ca? Parce que justement j'essaie de m'adapter au mieu a la vie d'ici maintenant, c'est pour ca que j'ai chercher un travail en tant que serveur d'avoir du contact avec les gens et voire leur façon de se comporter. Je suis assez surpris d'ailleurs pour le moment, c'est vraiment different... Tu es originaire d'ici toi?>>. Giulia hocha lentement la tête suivant le regard du jeune homme qui se dirigeait vers un homme en costard-cravate, qui était le gérant du Jackson Hole et qui était par la mêm occasion un ami du père de Giulia. Tout le monde se connait dans l'Upper East Side de toute façon.

Je vois... Ce n'est pas flagrant t'inquiète pas, mais un serveur 100% new yorkais n'aurait même pas prit la peine de me répondre..

Fit-elle avec un clin d'oeil en souriant.

Sinon, non je ne suis pas née ici mais en Italie mais ça fait depuis 6 ans que je vis à New York, je me suis fondue et adapter au décor depuis le temps je pense.

Répondit-elle, pensive. C'est vrai, à part son nom italien et sa faculté à parler courament italien, il ne lui restait rien du pays sauf peut-être son obsession vis à vis de la mode, de la plage et du soleil.

Fernando remarqua que son chef le regardait de plus en plus souvent, il comprit donc que si il restait ici encore plus longtemps son chef risquerait peut-etre de mal le prendre. Le monde s'etait tout de meme dissipe, en effet le bruit de fond se faisait tout de meme deja moin entendre. Fernando devait tenir son service jusque 18h30, il etait deja 18h, et decida de se remettre a travailler. Avec son air le plus agreable possible, et ne voulant montrer aucun signe de rejet vis-a-vis de cette fille qui s'appellait... Oui, cela lui etait encore inconnu, bref il se decida a lui faire comprendre qu'il devait se remettre au travail.

- Oui donc moi je suppose que ce n'est qu'une simple question de temps avant que je me fonde dans le mouvement New-Yorkais. Sinon euh... c'est quoi ton nom en fait?

{Apres reponse}

- Je suis vraiment desole Giulia mais je vois mon chef de service qui me yeute depuis un petit moment, j'en conclu donc que je dois retourner a mon travail, maisn e le prend vraiment pas mal, ca ne me derangeait pas du tout de tenir la conversation avec toi, mais bon... le devoir m'appelle.

Fernando lui fit un clin d'oeil accompagne d'un petit sourire et se dirigea vers l'arriere salle, il remarqua d'ailleurs que son chef lui suivait, il se sentait vraiment pas bien tout d'un coup, et se mit a prier pour qu'il ne vienne pas pour lui annoncer qu'il etait virer...

Fernando fit donc semblant de ne pas avoir remarque que son chef le suivait, et si dirigea vers l'arriere salle afin d'aller prendre les commandes que certains clients avaient demander. Apres avoir passer la porte, il se retourna et vit son chef, la tenu devant lui, il le regarda puis lui adressa un sourire et finit par dire

- Bon Fernando, je vois que tu as fait la rencontre de Giulia, charmante hein? Bon aller tu as bien travaille aujourd'hui, je te permet de partir un peu a l'avance aujourd'hui, et ne t'inquiettes pas, ce ne sera pas retenu sur ta paye.

- Ecoutez, je ne sais trop quoi dire, je vous remercie deja, et je peux vous dire que je retiens ce geste et je tacherait de vous le rendre.

Fernando deposa son tablier dans son casier, il n'en revenait toujours pas de ce que venait de lui dire son chef, il avait vraiment eu peur de se faire licensier, mais bien plus de peur que de mal... Apres s'etre changer, il se dirigea vers la salle afin de faire part a Giulia de cette nouvelle, et lui demander si elle connait son chef, car lui aparement en a bien l'air.

Giulia termina sa tasse de café d'un trait. Il n'était pas vraiment fort et c'est pour cette raison qu'elle ne s'étrangla pas.. comme elle aurait eu tendance à le faire avec un café bien serré pour pseudo-artiste. <<Oui donc moi je suppose que ce n'est qu'une simple question de temps avant que je me fonde dans le mouvement New-Yorkais. Sinon euh... c'est quoi ton nom en fait?>>. Oui en effet, on s'adapte à tout et on s'habitue vite à New York... quand on se sent intégré en tout cas, Giulia n'avait jamais eu de problème, elle s'était fait une réputation de Bitch mais elle était populaire et fréquentait toute l'élite new yorkaise. Dont elle faisait partie elle aussi. Giulia reposa sa tasse, affichant toujours son hibutelle sourire en coin.

Je vais pas jouer la femme mystère plus lontemps, je suis Giulia fit-elle avec un clin d'oeil. Et je présume que tu es Fernando.

Giulia n'attendit pas vraiment de réponse puisqu'elle était sure et certaine qu'il s'agissait bien du jeune portugais, tous les éléments clés étaient rassemblés. <<Je suis vraiment desole Giula mais je vois mon chef de service qui me yeute depuis un petit moment, j'en conclu donc que je dois retourner a mon travail, maisn e le prend vraiment pas mal, ca ne me derangeait pas du tout de tenir la conversation avec toi, mais bon... le devoir m'appelle.>>. La jeune italienne hocha lentement la tête. Elle n'avait jamais ce problème ni aucun de ses amis puisqu'aucun d'eux n'avait besoin de travailler pour subvenir à leurs besoins. Mais ce n'était pas le cas de tout le monde.

Ok pas de problème, je comprends.. enfin j'essaye.

Fernando repartit donc. C'est à ce moment là que choisit Anthony Advulsen pour entrer dans le bar, complètement défoncé comme à son habitude. Il se dirigea vers Giulia, histoire de lui dire bonjour et repartit quelques minutes plus tars à l'Union Square Park pour retrouver Nate et Charlie sans doute.

Une tasse de café et deux sonneries de portable plus tard, Fernando revint vers Giulia pour lui annoncer que son chef le laissait partir avant son heure et lui demandant si elle connaissait son chef. Giulia haussa vaguement les épaules avec sourire tandis qu'elle prenait son sac.

Oui plus ou moins, c'est un ami de mon père... et son fils, on va dire.. qu'il m'apprécie fit-elle avec un sourire taquin. En effet le fils du propriétaire était, ou avait été (Giulia n'avait jamais voulu avoir de ses nouvelles) complètement euh à fond sur elle. Genre à vous suivre partout. Un peu fétichiste sur les bords. Ca faisait peur.

Ca te dit de faire un tour ? fit-elle en arquant un sourcil tandis qu'ils franchissaient les portes du Jackson Hole.

Fernando etait aller rejoindre Giulia pour lui annoncer la nouvelle, la salle etait de moin en moin bondee de monde, ce qui a eu tendance a le rassurer. La nouvelle que son chef venait de lui apprendre etait grandiose, et il se dit que c'etait tout de meme bien meritte vu toute la volonte qu'il met en oeuvre dans son travail.

Apres son travail Fernando s'etait dit qu'il irait courir, afin de se changer les esprits sur toute la journee qu'il venait de passer, il aurait comme a son habitude enfiler un survet en "pas tres bon etat" et un tee-shirt, aurait chausser ses baskets, et puis avec son ballon serait parti dans central park ou union square park afin de se defouler les jambes. Comme si le travail qu'il venait de faire au Jackson ne l'avait pas siffisament fatigue... Puis apres son petit footing, il se serait mit desesperement a ses devoirs, et oui, lui n'avait pas ses facilites a l'ecole que certains ont, lui si il ne travailllait pas, se voyait se coler une belle ptite bulle en haut a droite de sa copie. Voila ce qu'etait son plan, enfin, plan qui ne tena pas tres longtemps la route etant donne la proposition de Giulia:

- Ca te dit de faire un tour ?

Fernando fut d'ailleurs assez surpris de cette proposition, mais estima que le footing pourrait attendre au lendemain, et conte tenu du peu d'"amis" qu'il avait ici, a New-York, une petite sortie avec une nouvelle relation en ferait pas de mal. Avant toute choses tout de meme, il decida d'appeler sa petite amie Arya afin de la tenir au courant, car on sait jamais, il suffit qu'ils croisent une personne qui connaissent Arya et ca y est, les rumeurs partent et la vie de son couple est en danger. De tout façon, Fernando sait tres bien qu'il ne se passera rien de mal, qu'il a un respect absolu envers elle et qu'il tient beaucoup trop a elle; malgre d'ailleurs le peu de temps qu'ils sont ensemble; pour la perdre.

- Ouai, d'accord, super idee, je passe un coup de telephonne et on est parti!

- Coucou Arya, c'est moi Fernando, c'est pour te dire que je viens de finir mon travail au Jackson Hole la, mon chef m'a laisse file un peu plus tot que prevu, j'ai fait la rencontre d'une fille du nom de Giulia, elle m'a propose d'aller faire un tour, j'ai accepte j'espere que ca ne te derange pas, en tout cas, ne t'inquiettes pas, je ne ferai rien de mal, je tiens trop a toi pour ca... Aller je te laisse, tu me manques vivement que l'on se revoit, bisous bye.

<<Ouai, d'accord, super idee, je passe un coup de telephonne et on est parti!>>, Giulia hocha la tete, en souriant. Non pas qu'elle ait une idée sadique dernière ce sourire d'ange diabolique, loin de là même. Ce n'était pas du tout son genre de s'attaquer à de pauvres innocents. Son style à elle, ou plutot celui du GOW (G pour Gattina, O pour O'Bryan W pour Warldof soit le trio le plus glamour et machévélique de tout l'Upper East Side jusqu'à présent) c'était de s'attaquer à de pauvres ames innocentes qui l'avaient bien cherché, et Dieu n'est pas le seul à savoir qu'il y en avait. C'était pour ça que les filles avaient rédigé leur liste noire et en ce moment, elles étaient assez chargée.

Fernando porta finalement son portable à l'oreille et s'éloigna de quelques mètres de la jeune italienne, un peu d'intimité que Diable. Mais Giulia ne put s'mepecher d'entendre des bribes de la conversation entre, semble-t-il, Fernando et le répondeur d'Arya. La jeune femme arqua un sourcil tandis qu'elle s'allumait une Menthol delight, cigarette dont elle raffolait. Ils sortaient ensemble depuis combien de temps déjà ? Deux semaines, à peine ? Et il rampait quasiment à ses pieds ? Waho. Ce n'était pas à New York qu'on voit les mecs appeler leur copine pour leur annoncer qu'ils avaient rencontrer quelqu'un durant leur service. Fernando rangea finalement son portable et revint vers Giulia tandis que cette dernière tirait une première taffe sur sa cigarette. Ils se mirent finalement en route sans vraiment avoir de but précis, vagabondant dans New York en discutant de tout et de rien. De rien surtout.

Tu as eu l'occasion de visiter un peu New York depuis ton arrivée ?

Demanda-t-elle alors qu'ils passaient devant un groupe de touristes français qui brayait "Ooooooooooooooooooooh c'est graaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaand*".

Fernando avait du se contenter de parler a la messagerie d'Arya, car elle n'avat pas decroche. Il esperait vraiment qu'elle ne lui en voudrait pas de ce qu'il s'appretait a faire, a savoir une petite balade avec Giulia. Apres avoir raccroche, il revient au cote de Giulia, puis ils commencerent a marcher, sans direction precise aprements. Il y avait un silence qui reignait au debut, enfin entre Giulia et luin car on pouvait tres bien entendre le bruit des voitrures, car comme c'etait connu, la circulation ce n'etait pas ce qu'il manquait a New-York. Quelques instants apres, Giulla brisa le silence et entama la discution:

- Tu as eu l'occasion de visiter un peu New York depuis ton arrivée ?

- Avec une copine, j'ai eu la possibilite de voir le Metropolitan Museum of Art, puis je suis aller la chercher un jour a la sortie de son ecole, Constance Billard, je suppose que tu y es aussi non? Sinon je vais souvent a Union Square Park ou Central Park pour aller courir certains soir et tapper un peu dans le ballon, qui est ma pasion en faite. Voila, a part ca, non je ne connais rien... Alors, on va ou la? Je te suis, parce que comme tu as pu le voir, ce n'est pas moi qui t'apprendra quelques choses a porpos d'ici.

Après que le silence se soit installé, et après que Giulia eut le bonne idée de le briser, oui elle ne supportait pas le silence, c'était une immodice pour elle. Elle avait toujours besoin de parler, même de rien mais le silence l'angoissait, allez savoir pourquoi. Bon ok, dans certains moments, le silence était agréable mais le silence genre gêné, ça elle ne supportait pas. Fernanda commença donc à répondre à la question qu'elle venait tout juste de poser, à savoir si il avait eu l'occasion de visiter un peu la Grosse Pomme depuis son arrivée... <<Avec une copine, j'ai eu la possibilite de voir le Metropolitan Museum of Art, puis je suis aller la chercher un jour a la sortie de son ecole, Constance Billard, je suppose que tu y es aussi non? Sinon je vais souvent a Union Square Park ou Central Park pour aller courir certains soir et tapper un peu dans le ballon, qui est ma pasion en faite. Voila, a part ca, non je ne connais rien... Alors, on va ou la? Je te suis, parce que comme tu as pu le voir, ce n'est pas moi qui t'apprendra quelques choses a porpos d'ici.>>. Giulia tira une nouvelle fois sur sa menthol, avant de s'éclairsir la gorge afin de répondre aux questions de Fernando et de les questionner à son tour.

Oui, toute l'élite féminine de l'Upper East Side se retrouve à Constance Billard... Tu es à Saint Jude, à Riversid Prep. ou à St Christophe ?

Fit-elle en arquant un sourcil tandis qu'une vielle femme se retournait vers eux en train de raler car Giulia l'avait bousculé par faute d'inattention. Ensuite pour répondre à la question "Où on va là ?", Giulia n'en avait pas la moindre idée. Cherchant quelque chose d'un peu délirant à faire, elle s'arreta au beau milieu de la rue, afin de réfléchir.

J'ai une idée... C'est la meilleure vue de New York que tu n'auras plus jamais l'occasion de voir !

Fit-elle en reprenant d'un bon pas leur marche pour héler un taxi qui rappliqua directement devant eux, et oui, la classe on l'a ou on l'a pas. Les deux jeunes gens s'engouffrèrent à l'intérieur de la voiture, le chauffeur leur jeta un coup d'oeil dans le rétro avec un air interrogateur, oui plus bavard tu meurs.

Empire State Bulding s'il vous plait.

Giulia etait donc a Constance Billard, selon ce qu'elle disait, toutes l'elite feminine se retrouvait la-bas, Arya en faisait-elle donc partie? Surement, apres tout, elle ressemblait tout de meme fortement a Giulia, point de vue vetement deja. Avant de repondre a la question de Giulia qui etait "Tu es à Saint Jude, à Riversid Prep. ou à St Christophe ?" Fernando se demanda si, chez les garçons aussi, il y avait une ecole ou se retrouvait l'elite masculine, ne connaissant absolument pas la reponse, il se contenta de tout simplement lui dire la verite:

- Je suis a Saint Jude, mais ne me demande pas les noms des personnes de ma classe ou de l'ecole, je ne les connais absolument pas, a part demander une gomme ou une question sur un exercice, ce sont les seuls mots que j'ai pu echanger avec les gens de ma classe... Et oui, je suis assez timide en fait...

Fernando avait remarque que Giulia fumait depuis tout a l'heure, il trouvait que ce lui enlevait un certain charme, lui qui etait totalement contre le fait de fumer et de boire, il n'avait jamais toucher a ca, meme pas une seule fois essayer, il ne le voulait meme pas d'ailleurs, il trouvait ca sans interet, mais par respect, il ne disa rien a Giulia de ce qu'il ressentait vis-a-vis de tout ca, et puis apres tout, c'est sa vie, et non la sienne, cela ne le regardait donc en aucun point. Il tacha d'ignorer ca, ce n'etait vraiment pas important de tout façon, et il etait bien decider a profiter de cette petite promenade, mais ou ca deja?

- J'ai une idée... C'est la meilleure vue de New York que tu n'auras plus jamais l'occasion de voir !

L'arret impulsif de Giulia sur le trotoir afi nde reflechir a ou aller avait fait sourire Fernando, cette fille etait bien surprenante!Ainsi elle voulait l'enmener voir la plus belle vue de New-York, il ne savait pas du tout ou cela allait l'enmener, mais il appreciait cette idee de partir a l'aventure, avec un quasi inconnue. Apres avoir trouver son idee, Giulia s'etait dirige pour appeler un taxi, qui vint tout de suite, alalala, quelle avantage d'etre une fille jeune, jolie et loin d'etre coince! Fernando suivit donc Giulia dans le taxi jaune, ne savant toujours pas ou l'enmenerait-elle...

- Empire State Bulding s'il vous plait.

Ainsi elle avait decider de l'enmener voir l'Empire State Building, Fernando en avait vaguement entendu parler, il ne savait pas trop a quoi cela ressemblait, mais cela devait surement etre une grande tour ou quelque choses du genre pour qu'il puisse y decouvrir la plus belle vue de New-York!

- Tu te decides souvent comme ca sur des coups de tete pour savoir comment occuper tes journees? je dois t'avouer que tu es tres surprenante comme fille, mais j'apprecie vraiment le sens que tu donnes a la vie. Fernando ne put s'empecher de sourire apres avoir dit ca, il ne savait vraiment pas comment le prendrai Giulia, apres tout il ne la connaissait que tres peu...

- Sinon, Empire State Building, ca ressemble a quoi au juste, un jour on m'en avait parler, mais je ne l'ai jamais vu, ne serait-ce qu'en photo, mais je suppose que ca doit vraiment etre sympas a voir, au moin une fois, surtout si il y a la plus belle vue de New-York...

Avant de monter dans le taxi, Fernando lui annonça qu'il était à Saint Jude mais qu'il n'y connaissait personne puisqu'il souffrait d'une chose qu'on appelle souvent "timidité" et qui avait souvent le don de vous faire passer pour un raté ou un intello.

Saint Jude donc... Tu dois être entouré de waspoides défoncés, de pseudo-artistes et d'intellos barbants fit-elle en plaisantant.

Bon évidement, c'était en parti vrai, la majorité des élèves du lycée non mixte se résumait à Waspoides arrivant défoncés en cours, des pseudos-artistes qui se balladaient toujours avec un air "je-me-fais-chier-grave-mec" et des intellos le nez dans les bouquins, et quand ils en sortaient ils vous regardaient avec ce regard "ta-gueule-y-en-a-qui-bossent". Enfin, vous voyez le genre...

Giulia jetta finalement sa cigarette à moitié consummée par la fenêtre, ça ne se faisait pas de fumer dans un taxi, et vu le regard que lui avait lancé Fernando en la voyant fumer, elle en avait déduit qu'il n'appréciait que moyennement. Mais Giulia fumait oui. Elle buvait aussi, parfois un peu trop même. Et ça lui arrivait même de consummer quelques substances illicites. Mais c'était normal, comment voulez-vous rester sobre quand vous sortez avec un Waspoide nouvelle génération 100% défoncé 50% de son temps mais 100% canon et 150 % irrésistible. Ca releve du miracle, ouais, c'est pour ça que ça n'est jamais arrivé.

La taxi longeait à présent la Vème Avenue dont le traffic était connu pour être excessivement... immobile dirons-nous. Giulia jeta un coup auchauffeur qui était totalement concentré sur ce "traffic-jam". Pourquoi ? Euh bonne question puisque rien ne bougeait. Fernando prit finalement la parole, un sourire aux lèvres <<Tu te decides souvent comme ca sur des coups de tete pour savoir comment occuper tes journees? je dois t'avouer que tu es tres surprenante comme fille, mais j'apprecie vraiment le sens que tu donnes a la vie.>>. Aaaah, si il savait.

Eh bien, on va dire que oui, ça m'arrive souvent... je suis plutot imprévisible et prete à tout... fit-elle en affichant un air malicieux sur son visage. Si tu veux des exemples, je peux te dire que voler un bateau lors des vacances à Saint Bart, ça procure de nouvelles sensations... ou voler une des calèches de Central Park pour se rendre en pleine nuit à Dreamland... Et toi, ça t'arrives souvent de suivre de parfaites inconnues ?

<<Sinon, Empire State Building, ca ressemble a quoi au juste, un jour on m'en avait parler, mais je ne l'ai jamais vu, ne serait-ce qu'en photo, mais je suppose que ca doit vraiment etre sympas a voir, au moin une fois, surtout si il y a la plus belle vue de New-York...>>, pas de préjugés. On va faire comme ça. Même sans le connaitre, le jeune homme devait sans doute l'avoir vu. Le taxi arriva finalement à bon port. Avant que Giulia ne puisse répondre, enfin c'est surtout qu'elle ne voulait rien dire avant que Fernando voit par lui même. Ils sortirent donc du taxi, Giulia paya la course avec "Vous pouvez garder la monnaie".

Eh bien... ça ressemble à ça.

Fit-elle en indiquant un immense building de 449 mètres qui leur faisait face.

Allez, viens, c'est parti fit-elle en le tirant légèrement par la manche tandis qu'ils franchissaient l'entrée du batiment.

- Eh bien, on va dire que oui, ça m'arrive souvent... je suis plutot imprévisible et prete à tout... Si tu veux des exemples, je peux te dire que voler un bateau lors des vacances à Saint Bart, ça procure de nouvelles sensations... ou voler une des calèches de Central Park pour se rendre en pleine nuit à Dreamland... Et toi, ça t'arrives souvent de suivre de parfaites inconnues ?

Decidement, cette fille epatait de plus en Fernando, il n'avait vraiment pas l'habitude de rencontrer des filles comme ca, autant pleine de vie et si interessante...

- Non, c'est vrai qu'il est rare comme ca que je suive de parfaites inconnues, mais bon, ce n'est pas comme si j'en avais souvent l'occasion...

C'etait vrai, il n'en avait pas vraiment l'occasion, deja, ou il vivait avant, tout le monde se connaissait, et il n'y avait pas du tout autant de personne qu'ici a New-York, donc, de nouvelles tetes etaient assez difficile a trouver. Mais cette idee de partir a l'aventure comme ca lui plaisait, et il n'hesiterait jamais a recommencer, meme si ce n'etait seulement que le debut, mais la suite devait etre grandiose, le plus belle vue de New-York, la Grosse Pomme comme ils l'appelaient ici.

Il etaient dans la Veme Avenue, les voitures avaient assez de mal a avancer, en effet, elle etait bondee, comme a son habitude. En regardant par la fenetre, on pouvait voir de grands magazins de marques tres connues tels que Dolce & Gabbana ou encore Calvin Klein en passant par Chanel... ¤Vive la richesse!!¤ IL y avait egalement de grands ilmmmeubles, touts plus grand les uns que les autres, mais cela, ne choquait plus Fernando qui commencait a avoir l'habitude contrairement le jour de son arrivee.

Les voila enfin arrives a destination, Giulia avait etait plus rapide que lui pour payer le taxi, il trouvait ca bizarre de se faire payer par une fille, mais n'ajouta rien pour le moment, il se contenta de descendre de la voiture. Elle n'avait toujours pas repondu a la question qu'il lui avait poser, a savoir a quoi ressembler l'Empire State Building, mais la reponse ne se fit pas attendre plus que ca, elle dit tout simplement:

- Eh bien... ça ressemble à ça.

Fernando leva la tete, mais n'en finit pas, il y avait devant lui un immense batiment, et se demandait si il etait possible d'acceder tout la haut, mais si c'etait le cas, en effet, il allait vraiment avoir la plus belle vue de New-York. Giulia l'interrompit dans sa songerie en le tirant par la manche afin de l'enmener a l'interieur

- Oui oui j'arrive, en tout cas c'est vraiment tres impressionnant comme c'est grand. Ah oui en fait, tout a l'heure pour le raxi, je te dois combien? Tu as ete plus rapide que moi et je n'ai meme pas eu le temps ni de voir combien ca coutait et encore moin de sortir mon argent.

Tout en parlant, ils franchirent les portes du batiment, et se retrouverent dans le hall d'entree.

- Et bah dit donc, je suis reelment impatient de monter afin de pouvoir enfin voir, la plus belle vue de New-York.

Sinon toi, ca se passe bien les cours? Selon moi il ne te manque plus que ca pour etre une femme comblee, tu as tout ce que tu veux, et si en plus tu assures question ecole, la vie n'est pas pret d'arreter de te sourire! Du moin, c'est comme ca que je vois les choses, mais peut-etre que je me trompe.

<<Non, c'est vrai qu'il est rare comme ca que je suive de parfaites inconnues, mais bon, ce n'est pas comme si j'en avais souvent l'occasion...>>, Giulia hocha vivement la tête en riant. Difficile à croire mais sur tous les faits qu'elle avait cité s'étaient bel et bien réalisés. Elle avait aussi oublier le bain de minuit à 3 heures du matin avec Anthony dans le lac de Central Park... Ils avaient même atteri au poste de police. La classe. Euh, non pas vraiment.

Profite de cette chance alors fit-elle, à prendre au second degrè, Giulia n'était pas vraiment vaniteuse comme on aurait tendance à le croire, c'est juste qu'elle aime beaucoup ironiser voir se moquer d'elle même. Quel abruti a dit que tous les gamins de l'Upper East Side se prenaient tout le temps au sérieux ?

Ils pénétrèrent finalement à l'intérieur de l'Empire State Building, Fernando et Giulia se dirigèrent vers un des agents de sécurité qui leur bloquait le passage. Giulia fouilla vivement dans son sac à main et finit par trouver son pass. La jeune italienne releva finalement les yeux vers Fernando qui lui demandait le montant de la course du taxi. Giulia hausse les épaules en faisait un signe de la main qui disait "Laisse tomber, c'est déjà réglé", c'est vrai quoi, Giulia était loin d'avoir des problèmes d'argent. <<Et bah dit donc, je suis reelment impatient de monter afin de pouvoir enfin voir, la plus belle vue de New-York.>>, oh que oui il pouvait l'être. Surtout que le pass que Giulia avait retrouvé dans son sac donnait accès à un des bureaux inoccupés de son père. Pas un bureau genre table, ordinateur, téléphone non. C'était son petit coin d'évasion new yorkaise. C'est à cet endroit qu'il aimait regarder un match de l'AC Milan avec ses copains et un pack de bière. Le bureau avait donc été amménagé pour l'évenement. Le vigile s'écarta de leur chemin et leur indiqua un ascenseur où les deux jeunes gens s'engouffrèrent.

Deux autres personnes étaient présentes dans l'ascenseur mais elles le quittèrent au 12ème étage. Sachant que l'étage où ils allaient était situé au 72ème, ils leur restaient assez de temps pour papoter tranquillement <<Sinon toi, ca se passe bien les cours? Selon moi il ne te manque plus que ca pour etre une femme comblee, tu as tout ce que tu veux, et si en plus tu assures question ecole, la vie n'est pas pret d'arreter de te sourire! Du moin, c'est comme ca que je vois les choses, mais peut-etre que je me trompe.>>, Giulia se renfrogna légèrement, bien qu'elle ne fut pas interessée le moins du monde pour ses cours, elle avait promis, et tenu promesse de passer ses examens avec succès. Enfin la plupart.

Disons que j'échoue lamentablement dans les matières littéraires... mais je peux faire des maths en dormant fit-elle avec un sourire. Oui malgrè quelques rares points noirs au tableau, Giulia était bel et bien une femme comblée, elle avait tout ce qu'elle souhaitait et n'était plus dépendante de ses parents. Et toi ?

Apres etre rentre dans L'Empire State Building, ils s'etaient dirige vers deux sortes de vigils, qui leur bloqua l'acces, c'est alors que Giulia sortit de son sac une carte, a priori simple, mais qui a elle toute seule detenait l'acces a un endroit fabuleux que Fernando n'aurai peut-etre plus jamais l'occasion de voir, mais ca, il ne le savait pas encore. Au depart, ils etaient 4 dans l'ascensseur, puis deux descendirent au 12e, Fernando allait sortir avec eux, mais vit que Giulia ne bougeait pas, il resta donc la a attendre encore on se savait combien de temps, afi nde faire passer le temps, il entama avec elle le sujet des cours, et oui, ce sujet lui tenait vraimenjt a coeur, lui qui eprouvait des lacunes dans a peu pres chaque matiere, sauf bien evidement le sport, ou il excellait. Giulia lui fit comprendre que l'ecole ne la motivait pas plus que ca, et a propos de lui, bah...

- Bah moi, j'ai vraiment du mal a m'en sortir, si je ne travaille pas un maximum c'est vraimen l'echec assure, alors il faut que je travaille sans cesse, donc entre le travail maintenant au Jackson Hole, puis les cours, puis le temps que je passe avec ma petite amie, en enfin mon sport, a vrai dire j'ai vraiment de quoi bien occuppe mes journees...

Pendant qu'ils parlaient, il n'avaient pas vu le temps passer, l'ascensseur affichait maintenant l'etage 72, les portes s'ouvrirent, et Giulia sortit, Fernando la suivait de pres.

12ème. 13ème....35ème. 36ème... Les étages défilaient tandis que les deux jeunes gens discutaient. Avec leur chance habituelle, l'ascenseur ne se bloqua pas, et heureusement car Giulia souffrait d'une petite claustrophobie. Elle apprit pendant ce laps de temps que Fernando pouvait avoir quelques difficultés au lycée si il ne se donnait pas à fond. Mais comme tout upper sidien qui se respecte, il aimait aussi passer du temps avec ses proches et pratiquer un sport.

Ah oui, tu joues à quoi ?

Fit-elle interessée. La porte de l'ascenseur s'ouvrit finalement sur le 72ème étage. Giulia jeta un coup d'oeil au tableau d'informations qui se trouvait à leur droite. Après avoir repérer le bureau Gattina, Fernando et Giulia errent quelques temps dans les couloirs à la recherche de la pièce désirée. Les couleurs étaient très lumineux. Pavé blanc sur lequel claquer les talons de Giulia, murs blancs où étaient accrochés des photos d'équipe de football américain.

Ils arrivèrent finalement devant une porte. Giulia passa le pass dans la borne de sécurité et là, ô miracle, la porte s'ouvrit, laissant ainsi apparaitre une pièce assez vaste, avec une immense baie vitré qui donnait une vue sur New York. Trois fauteuils en cuir blanc étaient installés au milieu de la pièce, d'un côté il y avait un pseudo-bar et de l'autre côté un immense écran géant. Pas la moindre trace d'affaire de travail ou quoi que ce soit d'autres.

Waho, je savais pas que le bureau de mon père était aussi... distrayant fit-elle en s'affalant sur le canapé.

Apres avoir regarder ou se situer l'endroit ou ils auraient cette fameuse vue, en airant dans les couloirs, Fernando avait expliquer a Giulia que depuis tout petit il n'avait qu'un seul reve, devenir footballeur professionnelle, en grande partie aussi pour rendre hommage a sa mere morte mais qui faisait tout pour qu'il jouisse un maximum de ce sport. Mais le seul probleme, c'est qu'il ne savait pas si il y avait un club dans le coin ou il pourrait s'inscrire, et que donc en attendant il allait a Union Square Park jouer tout seul afin de ne rien perdre de ce qu'il savait.

Une fois arrive dans cet endroit, qui d'ailleurs n'etait rien d'autre qu'un bureau, mais bon, tout de meme pas n'importe quel bureau! Le bureau le plus beau et le plus grand que Fernando n'avait jamais vu, tout comme ce superbe ecran plat qui etait positionne en face de 3 fauteuils. Il remarqua tout de meme que pour un bureau, soit les affaires etaient telement bien rangees qu'on n'en voyait meme pas la couleur, soit ce bureau ne servait tout simplement pas de lieu de travail, mais simplement de lieu de relaxation, afin de profiter de cette vue, qui ah oui, sans oublier, etait magnifique...

Apres que Giulia se soit installee dans le canape, il decida de se diriger vers l'imense baie vitree afin de pouvoir profiter pleinement de cette chance qu'il avait de pouvoir vivre une telle chose. Vue de la sorte, New-York parassait encore plus grand, on y voyait de grandes tours, au loin des parcs, les gens eux, c'etait limite on ne les voyait plus telement ils etaient haut, c'etait une belle journee, le ciel etait tout bleu, et Fernando interrogea Giulia:

-Dit Giulia, tu penses a quoi quand tu portes ton regard sur la ville de cette baie vitree?

Dit-il en detournant son regard de New-York pour le deposer sur Giulia

Pendant que Fernando s'était approché de l'immense baie vitré qui couvrait un mur de la pièce, Giulia s'était emparé d'un des télécommandes de l'écrancgéant et s'amusait à zapper sur les différentes chaines. Le plus vite possible. Oui activité puéril mais pour l'instant rien d'autre n'avait attiré son attention. Après quelques minutes, elle tomba sur MTV Pulse, sa chaine préférée qui passait à longueur de journée des clips vidéos de rock, ou d'autres émissions consacrées à cette même musique que Giulia affectionnait particulièrement depuis quelques années.

Quant à Fernando, il semblait captivé par la vue que donnait la pièce sur New York entier, enfin c'était compréhensible, la vue était magnifique. Il reprit finalement la parole en lui demandant à quoi elle pensait quand elle regardait la ville par cette baie vitrée. Bonne question. Giulia se leva du fauteil, rejoignant ainsi Fernando. Elle resta silencieuse quelques instants, réfléchissant tout d'abord à une réponse puis ensuite pour chercher ses mots.

A quoi ça la faisait penser ? Dans un premier temps, voir une vue comme celle-ci avait le don de lui vider totalement l'esprit, ne pensant plusqu'à ce qu'elle admirait. New York, cette ville de rêve, cette ville internationale, la ville qu'elle considérait maintenant comme sa ville. Ville où étaient installés tous ses amis, son copain et tous ses ennemis. Elle haussa finalement les épaules en gardant le regard fixe.

A ma vie en général.. Je ne sais pas pourquoi, voir New York dans toutes sa splendeur de voir Central Park comme cela et apercevoir un bout de la Vème Avenue m'a toujours rappelé un tas de souvenirs... Et toi ?

Une fois s'etre retourne, Fernando vit que Giulia lacha la telecommande avec laquelle depuis tout a l'heure elle zapper jusqu'a trouver La bonne chaine pour se lever et se placer a ses cotes. Apres avoir observe pendant un petit moment ce qu'il se passait par la fenetre, ou d'ailleurs la vue devenait de plus en plus belle car le soleil n'allait pas tarder a se coucher, on y voytait donc les traits de couleurs oranges a travers les nuages, Giulia lui fit part de son opinion:

- A ma vie en général.. Je ne sais pas pourquoi, voir New York dans toutes sa splendeur de voir Central Park comme cela et apercevoir un bout de la Vème Avenue m'a toujours rappelé un tas de souvenirs... Et toi ?

Fernando ne lacha pas Giulia du regard pendant qu'elle lui expliquait ce qu'elle ressentait lorsqu'elle regardait par la baie vitree, ansi, cette vue lui rappelait des souvenirs, car il est vrai que d'apres ce qu'elle lui a dit tout a l'heure, elle avait quittee l'Italie pour rejoindre New-Yorkn et que donc en 6 ans, oui il peut s'en passer des choses, a l'inverse, lui, ne voyait pas du tout la chose comme cela:

Bah des que je suis rentree dans ce bureau, la vue m'a tout de suite tappee dans l'oeil, et en la regardant, tout d'abord j'etais totalement impresionne, c'est vrai que je ne vois pas ca tout les jours, mais apres, en la regardant un peu mieu, j'ai eu cette sensation de liberte, de pouvoir sur New-York, voir la ville d'en haut comme ca, j'avais l'impression de la controle, que le monde etait a mes pieds, mais que en meme temps, j'avais acces a tous les endroits de cette ville, sans en negliger aucun, car vue d'en haut, on dirait que tout est a porte de main, et moi je ne le traduis que d'une seule maniere, c'est que de la vue d'un fils d'ouvrier, quand on regarde de plus pres, tout le monde peut y arriver et s'en sortir, tout le monde meme les moins riches, peuvent acceder au sommet, et que ainsi rien ne leur echappe...

Maintenant, en fin de conte, j'ai un deuxieme reve, tout simplement reussir le mieu que je peux dans la vie, m'investir le plus possible dans cette ville qui maintenant est celle ou j'habite, et avec le temps et esperons le la reussite, aucun endroit ne me sera innacsessible...

Fernando fut assez gene apres coup de lui avoir deballer tout ca d'un coup, raconter sa vie n'etait pas trop son truc, mais en revanche, ca ne le derangeait pas lui d'ecouter les autres parler, il etait toujours interesser parce que l'on avait a lui dire, a part lorsque les personnes lui parlaient avec un air superieur, dans-le-genre-moi-je-sais-tout.

- Enfin desole de t'avoir raconte ma vie, ca se trouve tu en a totalement rien a faire, et je le comprendrai parce que ce que je viens de dire peut surement paraitre bizarre meme voir totalement debile, mais bon je me suis emporte dans mon elan on va dire...

Apres cela, il alla en direction d'un des fauteuils et s'y installa, en evitant de croiser le regard de Giulia, mais en la cherchant tout de meme afin d'essayer de voir sa reaction, ce qu'elle pouvait bien se dire la tout de suite.

Sur le coup, Giula se sentit un peu stupide, afin déballer ce qu'elle pensait ainsi, c'était assez rare. En général, elle préférait garder ses pensées pour soi, afin de ne pas paraitre trop nostalgique et pas trop cruche devant ses amis, mais cette vue de New York lui avait fait oublier ces légers détails et en plus, ce n'était pas comme si Fernando la connaissait beaucoup, Giulia était rarement prise au sérieux étant donné sa réputation, mais elle ne s'en plaignait pas, c'était juste un petit moment de déclarations à coeur ouvert. Elle croisa finalement le regard de Fernando qui était rivé sur elle et lui souria mais d'un air gêné, et pourtant Giulia était bien la fille la plus ingenable qu'il existe à New York.

La jeune italienne écouta attentivement le petit discours de Fernando <<Bah des que je suis rentree dans ce bureau, la vue m'a tout de suite tappee dans l'oeil, et en la regardant, tout d'abord j'etais totalement impresionne, c'est vrai que je ne vois pas ca tout les jours, mais apres, en la regardant un peu mieu, j'ai eu cette sensation de liberte, de pouvoir sur New-York, voir la ville d'en haut comme ca, j'avais l'impression de la controle, que le monde etait a mes pieds, mais que en meme temps, j'avais acces a tous les endroits de cette ville, sans en negliger aucun, car vue d'en haut, on dirait que tout est a porte de main, et moi je ne le traduis que d'une seule maniere, c'est que de la vue d'un fils d'ouvrier, quand on regarde de plus pres, tout le monde peut y arriver et s'en sortir, tout le monde meme les moins riches, peuvent acceder au sommet, et que ainsi rien ne leur echappe... Maintenant, en fin de conte, j'ai un deuxieme reve, tout simplement reussir le mieu que je peux dans la vie, m'investir le plus possible dans cette ville qui maintenant est celle ou j'habite, et avec le temps et esperons le la reussite, aucun endroit ne me sera innacsessible...>>. Giulia hocha la tête d'un air pensif, c'est vrai que d'arriver comme ça à New York, c'était impressionnant, on perd tous ces repères, on doit se refaire des amis et s'y adapter.

<<Enfin desole de t'avoir raconte ma vie, ca se trouve tu en a totalement rien a faire, et je le comprendrai parce que ce que je viens de dire peut surement paraitre bizarre meme voir totalement debile, mais bon je me suis emporte dans mon elan on va dire...>>, gné ? Giulia arqua un sourcil, si il la saoulait vraiment, ça ferait belle lurette qu'elle l'aurait congédié. Au lieu de ça, elle l'avait invité dans le bureau de son père, elle lui souria finalement alors que le jeune homme fuyait son regard. Elle se réinstalla dans un des canapés et prit finalement la parole.

Non au contraire, je comprends tout à fait, je suis passée par la aussi donc je suis totalement d'accord avec toi...

Oui c'était exactement cette même situation, à quelques points près, ses parents n'étaient pas des ouvriers, loin de là. Mais ils avaient toujours été peu présents dans la vie de Giulia donc elle n'en avait que faire. Bon bien sur, elle restait et était une enfant pourrie gatée par la carte de crédit de ses parents.

Tu veux quelque chose à boire au faite ?

Fernando fut quelques peu surpris de la reaction de Giulia apres tout ce qu'il venait de lui avouer, lui qui aurait enser qu'elle l'aurait plutot regarder d'un air moqueur, se demandant bien ce qu'elle faisait avec un garçon comme lui, ici, dans le bureau de son pere, a observer la plus belle vue que New-York puisse proposée, mais non, bien au ontraire de tout ca, elle acquiesa son point de vue, laissant un air de deja vue... Decidement, cette fille ne faisait que de l'impressionner...

Elle lui avait avouer que ses parents n'avaient pas toujours etaient la dans sa vie, a l'inverse de lui, aparement il ne reignait pas trop une relation tres proche entre ses parents et elle. Depuis la mort de sa mere, en effet, Fernando s'etait enormement rapproche de son pere, il l'aidait sans cesse, que se soit des taches menageres ou alors dans la vie en general, lui dont faire les poussieres et tout le tralala qui s'en suivent ne suivaient vraiment pas ses habitudes.

- Tu veux quelque chose à boire au faite ?

[color:aeb5=darkblue:aeb5]- Non merci ca va pour le moment, enfin en fait si tu as un verre d'eau je veux bien. Merci.

Il vit Giulia se diriger vers le bar qui etait au fond de la piece, elle sortit un grand verre Coca-Cola et le remplit d'eau et y mit deux glacons. Il vit egalement qu'elle se servit quelque chose a boir mais il ne distinga pas c'etait quoi. Alors qu'elle faisait tout cela avec concentration et la plus grande des atentions, Il ne put s'empecher de lui demander qu'elle lui parle de l'Italie...

[color]- Sinon, dit moi Giulia, il te reste des souvenirs de ton enfance en Italie? C'etait ou exactement que tu vivais? Tu avais deja la vie "facile" comme tu as maintenant ou alors la richesse est venue avec le temps?

Un verre d'eau ? Waho raisonnable. La pensée fait fit sourire Giulia tandis qu'elle se levait du fauteil afin de traverser la pièce pour aller derrière le bar. Après quelques minutes de recherches, elle trouva finalement où les verres étaient rangés. Elle remplit celui de Fernando, puis chercha quelque chose de plus fort pour elle.

Non, on la changera jamais, c'est clair non ? N'allez pas penser que c'est à cause de ses fréquentations très waspoide et fetardes qu'elle s'est mise à boire à tout heure de la journée, non c'est juste que comme toute upper sidienne, elle aimait profiter. Elle se servit donc un ménage de jus de fruits rouges avec un peu de Vodka.

Elle revint finalement s'assoir sur un des canapés en cuir et tendit le verre d'eau à Fernando tandis que celui ci l'interrogeait sur son enfance en Italie, si elle en gardait des souvenirs, où est-ce qu'elle avait grandi et si elle faisait déjà partie de ses enfants pourris gatés. Giulia pencha la tête sur le côté cherchant ses mots afin de répondre.

Oui je m'en souviens, je suis partie de Milan quand j'avais environ 10-12 ans. J'ai passé toute mon enfance dans la capitale de la mode. Et pour la vie facile, je l'ai toujours eu mais à Milan c'est un peu moins snob qu'à New York. Bien sur tous les enfants sont habillés avec les dernières créations de grands couturiers mais en Italie, c'est... différent, tout le monde se connait, c'est chaleureux alors qu'à New York, il faut s'imposer. Et toi, comment c'est le Portugal ?

Giulia revint quelques instants plus tard avec les deux verres a la main, l'un soft, l'autre un peu moin... Apres s'etre assis, elle prit donc le temps de repondre a sa question, a savoir, sa vie vecue en Italie, avant qu'elle enmenage ici, dans une des villes les plus connues du monde: New-York.

- Oui je m'en souviens, je suis partie de Milan quand j'avais environ 10-12 ans. J'ai passé toute mon enfance dans la capitale de la mode. Et pour la vie facile, je l'ai toujours eu mais à Milan c'est un peu moins snob qu'à New York. Bien sur tous les enfants sont habillés avec les dernières créations de grands couturiers mais en Italie, c'est... différent, tout le monde se connait, c'est chaleureux alors qu'à New York, il faut s'imposer. Et toi, comment c'est le Portugal ?

Fernando but une gorgee de son verre d'eau, l'eau etait tres fraiche, exactement comme il l'appreciait, a croire qu'elle avait lu dans ses pensees. D'apres son prenom et son nom de famille, il etait en effet tres facile de deviner que Giulia n'etait pas originaire de New-York, et comme elle venait de le preciser, d'ou elle venait, tout le monde se connait, les gens ont la parole facile, et d'apres ce que venait de voir Fernando, meme du peu qu'il venait de voir car il l'avait rencontre seulement aujourd'hui pendant son travail, elle etait tres chaleureuse, ce qui se mariait tres bien avec ses origines italiennes.

Et puis Milan en plus, un joueur de football comme lui ne pouvait que connaitre cette ville et les deux clubs locaux le Milan AC et l'Inter Milan, dont ce dernier faisait partit des prefere de Fernando, apres bien sur Manchester United et le Sporting Lisbonne.

- Bah moi ce n'etait pas vraiment du Portugal meme que je viens, mais d'une de ses iles, Madere. Donc la vie que j'ai mene la bas est forcement moin aisee que si je l'aurait vecu au Portugal, mais je ne crache pas dessus, car j'aime vraiment l'endroit d'ou je viens. Je trouve le paysage magnifique, il n'y a pas tous ces grands batiments que l'on peut trouver ici, et puis la circulation est un peu plus facile, mais il y a une ressemblance avec la ville d'ou tu viens, ce lien qui unit tous les gens, cette chaleure qui reigne constament. Je peux tout de meme noter un point commun entre ici et d'ou je viens, les filles, dans les cas, elles sont a tombees par terre... Dit-il en finissant sa phrase de son plus beau sourire.

- Sinon pour en revenir a toute la fin de journee que l'on vient de passer, je trouve ca vraiment sympas de ta part, et je tiens a t'en remercier. Pour ma part, j'ai trouver ces petits moments passes avec toi tres sympathiques, d'autan plus que tu es une fille tres ouverte et tres surprenante, je pense qu'il est impossible de s'ennuyer avec toi, il devrait y en avoir plus de gens comme toi ici, peut-etre que l'atmosphere serait alors plus chaleureuse et cela nous permetrait de nous rappeler certains souvenirs.

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