Bouquine (libre)

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Térence ne connaissait pas New York. Kenzie lui avait certes fait visiter Big apple, les quelques fois ou il était venu la visiter, mais, de toutes manières, New York ne l'intéressait pas, et le tourisme encore moins.
Le jeune homme avait néanmoins repéré trois lieux de la plus grande importance: La bibliothèque, des commerces divers, (pour qu’il puisse acheter son stock de pommes et ses clopes.) et central Park. New York avait donc de quoi faire de lui un homme heureux, si l’on pouvait se permettre le terme.

Il ne comptait pas rester en ville longtemps de toutes manières. Le temps n’était pas du tout le même que celui de Californie, et on ne pouvait pas s’installer sous les arbres morts et déprimants de Central park. à cette saison.

Parce qu’il ne voulait pas encombrer le large appartement de Kenzie, et qu’il avait envie de prendre l’air, il quitta donc l’appartement, un livre sous le bras, une pomme dans la poche et une clope au bec.
Après avoir marché quelques minutes, il pénétra dans l’enceinte du parc, et s’installa sur un banc, ouvrit son livre et alluma une nouvelle cigarette.

Invité

Pour sa première sortie de la journée, si l'on ne compte pas un passage chez une amie quelconque pour une quelconque visite de courtoisie (oui, oui, c'est un sportif, il fait ça dès le matin... huh!), Alcée avait décidé d'opter pour un look sobre, et s'était emparer d'un bouquin épais... Pourquoi? mais, pour son activité favorite, le repérage de damoiselle en quête d'amour profond... la chasse à la dinde.
Pour cela donc, son arme naturelle: un visage d'ange, et ses munitions masquées: un livre assez épais pour lui donner un air intelligent, et une courte recherche sur le résumé du dit livre qui lui permettait de laisser aller son imagination débordante sur des sujets plus barbants les uns que les autres. Rien de plus divertissant, et en plus ça marchait à chaque fois.

Le visage timidement baissé donc, Alcée s'apprêtait à s'installer sur le premier banc venu (après des mois de recherche DU banc qui offrait la vue la plus avantageuse, sans pour autant exposer sa peau diaphane au soleil etc...), lorsque le pire survint, sous la forme d'un type qui avait eu le culot d'avoir eu la même idée que lui. Solution un: appeler un garde du corps et faire jarter ce pauvre type de son chemin. Cependant, cela risquait de briser son image de gosse, et ça, il ne pouvais se le permettre, surtout après tant d'efforts, et surtout lorsque qu'il y avait...hey, pas mal la brune là bas!

Ok, capacité de concentration focalisées sur la prochaine dont il visiterai les draps, Alcée décida de passer outre la présence du pseudo rival au regard visqueux, et s'installa sur son banc, en dépit du fait qu'il soit en partie occupé.

Quelques minutes passèrent où le jeune Arobin dût se fader les longues pages d'un poème atrocement chiant, sans doute un truc français. Beurk... Goethe, c'est qui ça? Non pas classe en tout cas. Bref, quelques minutes passèrent en silence, puis, voyant que la douce brebis approchais, le petit brun releva un visage timide vers son voisin de ban, et demanda avec un petite toux étouffée....

"Pardon monsieur...est-ce que...."
Il baissa les yeux, comme gêné de finir, puis termina à mi-voix
"est-ce que vous pourriez éteindre votre cigarette, s'il vous plaît?"

**et profite-en pour te casser de là, pov'con -_-**

"Je... La fumée me rends malade, je suis désolé..." fini-t-il dans un soupir digne des plus grands acteurs. La petite brune lui adressa un sourire compréhensif, puis fit mine de passer son chemin, pour s'installer sur un banc proche, l'air de rien.
**humpf, elle porte des collants... c'est dingue, personne lui a dit que c'était gravement antisex? et l'autre qui PUE à côté... j'hallucine...**
"Monsieur?"

Invité

Alfa, Bêta, Gamma... Peut-être Epsilon. Si l'on pouvait classer les gens, sans doute que les New-yorkaises se placeraient dans les Deltas. Pas Epsilon, car les Epsilon ne pourraient pas distinguer un Gucci d'un Balenciaga. Or, les Delt... Les New Yorkaises, avaient été formatées pour reconnaître au premier coup d'oeil quel était la griffe du vêtement que portait autrui. Si ce dernier était griffé, naturellement, sinon, elles n'en voyaient pas l'intérêt, et ne le voyaient pas tout court. Mais ça n'étaient pas que les New Yorkaises, qui raisonnaient de la sorte, mais plutôt l'ensemble de la Jet Set américaine, ans doute... Peut-être que même, Tania Van Tissel, la mère de Térence, raisonnait ainsi.
Non, c'était impossible, autrement, elle n'aurait pas eu la présence d'esprit d'interdire tout poste de télévision au logis, pour pousser ses enfants à la lecture, et surtout pour pousser son propre époux à délaisser les émissions sportives pour se consacrer aux soirées caritatives qu’elle organisait. Et à sa propre personne.

Telles étaient les pensées de Térence, tandis qu’il était penché sur son ouvrage du jour, le meilleur des mondes, de Huxley.
Tandis qu’il lisait, sa main allait distraitement, ou plutôt machinalement, à sa bouche, ou il aspirait tantôt les sombres volutes de fumées que dégageait son bâtonnet de nicotine.
D’ailleurs, sans doute allait-il bientôt entamer sa pomme verte, histoire de mêler le goût acide du fruit à la saveur toxique de sa cigarette.
Ou peut-être pas.

Tandis qu’il tournait lentement les pages de son livre, engloutissant les lignes avec une certaine forme d’avidité, le jeune homme sentit sur le banc sur lequel il était installé depuis bientôt dix minutes, la lourde pression produite par l’appui du fessier d’autrui sur la structure d’acier et de bois qui composaient son siège. Térence ne leva pas la tête. Il savait d’expérience que si autrui ne se sentait pas observé, il n’avait pas tendance à engager une certaine forme de conversation, destinée à le faire parler. Parler... C’était bien une idée primaire, ça, digne des humains. Inventé par quelque Epsilon, sans doute, parce qu’incapables de communiquer par écrit, pensée, voire signes...

Le silence se fit entendre. Le doux silence qui permettait d’entendre galoper les informations transmises par l’ouvrage.

Et puis, une petite voix se fit entendre. Sans doute n’étais-ce pas la voix de sa raison, car cette dernière avait fini par prendre le large tantôt. Mais plutôt celle de son voisin de banc, homologue humain, qui à l’intonation, n’avait guère l’age de se promener à cette heure de la journée.

Il n’avait pas cours? Les gens n’avaient pas cours? Lui, d’accord, n’était qu’un simple touriste. Un touriste n’a pas cours, il visite, ou du moins lis, tranquillement, sur un banc. Et ne se fait pas déranger par un gamin. Ni par quiconque d’ailleurs. Térence pouvait toujours feindre de n’avoir entendu.

« -Ford, non!- Bernard ne put s’empêcher de rire. John rit aussi, mais pour une autre raison. Il rit d’une joie franche »

La voix se fit entendre à nouveau. Térence ne pourrait-il jamais savoir pourquoi, grands dieux, John était-il en train de rire, dans ce monde si superficiel qu’était celui du roman à la page 161?
Non, apparemment non, parce qu’au moment ou John citait Tempest, la voix chétive lui demanda d’éteindre sa cigarette.

Enfin, Térence leva les yeux. De toutes manières, il avait presque fini. Mais il pouvait pas se mettre ailleurs? Il y avait un banc, en face, sur lequel était assise une de ces Delta. Et elle ne fumait pas.

Enfin, il était à New York, ne l’oublions pas. New York, et pas en Californie, ou il aurait pu s’asseoir sur de l’herbe fraîche, et non sur ces bancs glacés au milieu de cette masse neigeuse qu’était le parc en ce mois de février.
Il écrasa donc la cigarette sous la semelle de ses chaussures, et sortit sa pomme de sa poche, baissant les yeux à nouveau vers son livre. Sans rien dire de plus. Ou plutot, sans rien dire du tout.

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Ok, le blaireau éteignait enfin sa cigarette de sous-marque, sans doute achetée au tabac du coin, ou une bonne femme aux mains rougeaude lui avait... rendu la monnaie! Yeurk, qui que d'y penser, Alcée devait se retenir de frissoner d'horreur...
Quoi que? Ouiiiii! Testons: imperceptible frissonnement du gosse frigorifié, genre, le pauvre petit garçon qui à besoin d'aller prendre un chocolat chaud en compagnie d'une bonne... euh, d'une jolie jeune femme brune, genre, une jeune femme qui porterait des collants par exemple.

...

Frissonnons donc, puisque tel est notre destin.

Une minute plus tard, Alcée semblait frémir sous une légère brise glacée, brise glacée qui, bien sur, n'avait aucune prise sur son brushing parfait, mais là n'était pas la question. A vrai dire, le petit brun aurait tout aussi bien pu porter un panneau clignotant "JE suis CHOU", tant il avait l'air adorable, et la pauvre dinde aux longs cheveux bruns semblait captivée par le charme mystérieux du petit ange frigorifié.

Tout à ses occupations de haute importance, le jeune Arobin en avait complètement oublié la présence de son voisin de banc, qui aurait tout aussi bien pu être un élément du décors. De toute façon, quel était l'intérêt de se préoccuper d'un pauvre type qui... qui bouffait des pommes... yeuuurk!

Bon, elle se bougeait cette dinde? Non mais, elle croyait quoi? qu'il avait que ça à faire de frissoner toute la matinée? bon, OK, il n'avait effectivement rien de plus urgents, ni quoi que ce soit de prévu, mais tout de même!

....

A moins que...

RAh! ce sale gueux, rat de bibliothèque aromatisé nicotine, en bref, son voisin de banc... était définitivement une nuisance!! Retenant un regard haineux à l'intention, de l'individu en question, Alcée fit mine de lire, tout en échafaudant un nouveau stratagème. Il venait de croiser le regard attendri de la meuf, mais genre, pas "oh qu'il est mignoooon" comme il avait l'habitude de voir. Là c'était genre "vive l'amour les garçons, je vous soutient à moooort!". Il fallait donc mettre fin aux jour du grand blond taciturne, et ce pas plus tard que tout de suite. Et cela, tout en indiquant à la stupide pintade que ce type n'avait rien à voir avec le délicieux et adorable enfant qu'il était, lui, Alcée Arobin, avec accent British s'il vous plaît.

"Monsieur?"

**trouve un truc à dire, Alcée chéri, un truc qui l'éjecte direct out of society... Enfin, si tant est qu'on puisse être plus out que ça... mon dieux, ces CHAUSSURES O_O**

Invité

Pourquoi les gens s'obstinaient-ils à sortir lorsqu'il faisait froid? Et d'ailleurs, la question était; pourquoi Térence était-il dehors par ce froid? Bon, il fallait avouer qu'il n'était pas du genre douillet. Lorsqu'il était petit, et qu'ils allaient déjeuner au bord de la mer baltique, et que son père s'amusait à les jeter dans l'eau, lui et sa soeur, au début du printemps, dans la douce fraicheur de l'eau dont la glace venait à peine de quitter les bords, et qu'il s'amusait à entendre leurs petits cris de joies, réclamant des "encore", ou plutot "noch einmal!", comme il le disait autrefois dans la langue de Goethe...
En clair, pour lui, la température ambiante était tout à fait propice à la lecture en plein air.

Une légère brise caressa la joue rosée du jeune Hollandais, une brise annonçant la fin de l'hiver, et accessoirement le début du printemps, qui sans être loin, était plutot proche.

Mais son voisin de banc ne semblait pas être de cette avis, puisque son frissonnement témoignait de son état. D'ailleurs, que faisait-il dehors, sur un parc, à lire, alors qu'il souffrait du froid? Non qu'il soit contre les personnes qui lisent par le froid. Mais il était contre toute personne lisant sur un banc sur lequel il était installé, et qui étaient incapables de se tenir tranquille.

Térence croqua dans sa pomme. ça n'était pas le moment de se déconcentrer, il allait enfin connaitre la suite. Sentir l'acidité de sa douce pomme lui décaper le palais, telle était l'un de ses petits plaisirs de la vie.
Continuer à lire, encore et encore, en était un autre. A présent, Bernard revenait après une folle épopée au domicile de Lenina, sa douce moitié.

"Les pantoufles vertes de la jeune femme étaient les choses les plus belles qu'il eût jamais vues."

Térence s'arrêta un instant. Sa mémoire exemplaire retiendrait ces lignes jusqu'au tombeau, et pourtant, à quoi bon retenir ces phrases d'une poésie si exquise qu'elle emplissaient son esprit du doux nuage de la béatification. Nuage qui flotta l'espace d'une miliseconde, Térence n'étant pas du genre dans le passé, mais plutot à passer très vite le futur.

Tournement de page, encore et encore, ce livre était une merveille, comme tous les ouvrages que lisait le jeune homme depuis l'age de six ans. Il n'en préférait aucun. Chacun se valait, mais chacun était différent. De toutes manières, il lisait tout ce qui lui tombait sous la main, et avait même appris le braille, un jour de pluie, pour voire si les traductions étaient littérales.

Et c'est alors que la voix enfantine se fit entendre à nouveau. Etais-ce les New Yorkais qui avaient la manie de déranger leurs pairs? N'avait-il pas lu que la ville était plutôt du genre impersonnelle, ou chacun était mélé à la masse, et ou le temps importait plus que la nature humaine, contrairement aux états de l'ouest Amérique, ou chacun comptait pour son prochain? Foutaises que tout cela, voila ce que ça faisait de se documenter. Mais peut-être que "le guide de New-York 1934", qu'il avait lu lorsqu'il avait quatorze ans, lors d'un voyage scolaire, dans une petite boutique perdue près de l'Elbe, était-il passé de mode? Hum, il n'avait pas pensé à cet inconvéniant. Mais avait songé que les moeurs ne changeaient pas si vite que cela, et que puisqu'il retenait chaque information lue, ç'aurait été incommodant de se faire un débat intérieur durant plus d'une minute, sur la différence entre l'American Heritage, le Merriam Webster, et le Collins, qui étaient tous trois les dictionnaires qu'il avait lus pour approfondir son anglais.

Le visage impassible, comme toujours, il leva les yeux à nouveau sur le jeune homme, attendant sa requête.

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* Holy shit... surtout, te bouge pas, gros veau*

Non mais sérieux... L'adorable et angélique Alcée avait du mal à le croire. ça faisait plus de 5 minute qu'il avait interpellé son prochain, et celui-ci venait à peine, à grand peine, de réagir. Plus mou, tu décède... Encore un qui s'était pas fait sa trace de speed matinale... Beurk, Alcée détestait les drogués presque autant que les pauvre. Non, pas autant quand mêm. mais peu importe.

"Est-ce que... vous pourriez jeter votre... Je, enfin... Pourriez vous jeter le trognon de votre pomme directement dans la poubelle, s'il vous plaît? Le parc est si joli en hivers, ce serait dommage de gâcher la vue avec des détritus..."

*... et c'est quiiii le GROS détritus ici?*

"Enfin, si ça ne vous gènes pas..." Acheva-t-il dans un murmure, enfouissant (d'un geste artistiquement maladroit) son vissage dans les replis d'une large écharpe, comme s'il cherchait à masquer ses joues rougissantes de timidité -ou peut être un rictus de perfide, qui sait.

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LVDB prit enfin la parole. Enfin continua sa phrase au bout d'un certain temps. Il avait l'air sensible, comme individu. Sans doute du genre à avoir besoin d'une cour entière pour pouvoir parvenir à s'endormir. Certainement pas élevé avec la simplicité avec laquelle Térence avait lui même grandi, même si lui même venait d'une famille beaucoup plus qu'aisée. Il suffisait de voir ses vêtements griffés, d'un style sobre, certes. Il n'aimait pas se faire remarquer.

LVDB. Le Voisin De Banc. Il avait oublié de le précicer. Après tout, ça n'était pas comme si il avait besoin de connaitre son nom, puisque vu comme il semblait agité (il n'avait pas cessé de gigoter depuis les quelques minutes assis ici) il allait pas tarder à décamper. Du moins, Térence pouvait l'espérer. Car, même si ça n'était pas visible, LVDB commençait à l'agacer. Le distaire dans sa lecture, ça devrait être interdit.

Et il prit la parole, pour lui demander... de jeter son trognon de pomme dans la poubelle. O_o. Certaines personnes n'avaient aucune idée du prix de la salive, de nos jours. Du gaspillage de salive. Bien entendu qu'il jetterait son trognon dans la poubelle. Après un sensible haussement de sourcil, il rebaissa les yeux vers son ouvrage.

A oui. Répondre, sinon le marmot allait encore parler.

-"Non".

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Ah!
Terrible... Alcée avait terriblement envie de réponde "non quoi?" juste pour user les nerfs de ce stupide lecteur qui ne faisait pas l'effort d'être clair. Mais, étant donné qu'il se fichait eperduement de la réponse, il valais mieux éviter d'avoir l'air de se rapprocher trop de ce spécimen particulièrement lourd de pommivore, histoire que la jeune donzelle en face de ne se fasse pas trop d'idée.

Il lui restait donc deux possibilités: donner un grand coup...euh non. Oui, voila, deux possibilité: soit ça voulait dire "non, jveux pas, chui un méga rebelle de la société et jvais laisser mon trognon là" ce qui serait stupide (mais guerre surprenant, on est à NY après tout), soit, et ça semblait plus plausible "non, ça ne me dérange pas."

A ce stade là de la conversation -si tant est que l'on puisse considérer cela comme une conversation- Alcée aurait tout aussi bien pu se lever et aller rejoindre la jeune fille en face sous un quelconque prétexte. Mais, n'est pas un petit teigneux qui veux, et Alcée était genre... le prince de la teignicité. Il était peu probable que l'adorable petit brun ait eu ne serait-ce que l'idée de lâcher l'affaire. non, à présent, il comptait virer ce type de là, quitte à passer sa journée pour pourrir celle de quelqu'un d'autre... Quoi que, il n'était sans doute pas assez patient pour cela.

"Oh... merci... enfin, je crois... ça ne vous dérange vraiment pas hein?" *vire de là, vire de là, vire de lààààà!*

Invité

[ouh c flou tt ça]
Le meilleur des mondes était, comme chacun le savait, un bouquin. Et la seule raison pour laquelle il était et demeurait un vulgaire bouquin, quoique pas vraiment vulgaire, car qui pouvait définir la vulgarité? Bref, la raison pour laquelle c'était un bouquin, c'était parce que cette chose au titre bien iddyllique ne risquerait pas d'arriver.
Si il meilleur des mondes était un bouquin, c'était parce qu'un monde parfait serait un monde ou les hommes n'auraient pas le droit d'interragir entre eux.
Ce qui aurait évité les sangsues de se genre. Et il semblerait que plus Van Tissel évitait les gens, et plus ils venaient. Il devait envoyer des signaux silencieux. "Venez, j'adore discuter" Nan trop pas.
Et le jeune homme continuait à blablater. Qu'avait-il fait pour mériter ça? Un instant, il songea à partir. Mais n'était pas en admettant une défaite qu'on gagnait un combat.

Mais non, ne nous laissons pas aller à ces enfantillages. Ça n’était qu’un gamin, il ne savait pas qu’ilé tait énormément agaçant à parler. N’est ce pas?

- « Nooon » Ow, on pouvait penser que Térence s’énervait. Mais non.. Il était si calme, si posé…si sur de lui…

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