Arya et Max, une rencontre foudroyante ...

Arya venait de revenir du lycée. Evidemment ses parents n’étaient pas là, mais chose étonnante son frère, Marco, non plus … En temps normal, il était toujours rentré avant elle étant donné que St Jude libérait ses élèves avant Constance Billard. Elle entra alors dans sa chambre et vit qu’elle avait reçu un nouveau mail …
- Qui peut bien m’avoir écrit, tout le monde sait que je suis que je suis en cours à cette heure-ci.
Quand elle ouvrit le message, elle vit qu’il était de son frère, qu’est-ce qu’il voulait encore ?
Ne te fais pas de soucis pour moi, je vais bien !
Papa et Maman sont partis en voyage en Italie, ils reviennent dans 4 ou 5 jours.
Rejoins-moi vers 21h30-22h au loft qu’on avait loué pour le Nouvel An.
Ne m’en demande pas plus.
À ce soir, ton grand frère qui t’adore xxx

Une fois ce mail lu, Arya commença à péter les plombs.
- Pourquoi ils partent toujours sans me prévenir et sans me proposer de les accompagner ??? Et toi Marco, qu’est-ce que tu es encore en train de mijoter ? Tu commences sérieusement à me saouler, à t’en aller comme ça sans dire où, sans prévenir personne. Je sens que quand je vais te revoir ça va aller mal pour toi …

Vu l’endroit où son frère lui avait dit de le rejoindre, elle s’attendait à ce que ce soit plus ou moins une fête alors au lieu de s’emmerder pendant un peu plus de 4 heures à attendre l’heure du rendez-vous, elle prit son mal en patience et commença à chercher une tenue pour une fête dont elle ne savait rien. PRATIQUE, NON ?

[ 4 heures plus tard ]

Arya était sur le point de partir de chez elle quand son portable se mit à sonner. C’était une de ses copines de Constance qui l’appelait pour savoir ce qu’elle faisait ce soir. Arya lui répondit qu’elle partait rejoindre son grand frère à une fête même si elle n’était pas certaine que ça soit bien une fête. Mais ce qu’elle savait, c’était que son amie était raide dingue de son frangin et qu’elle n’avait que moyennement envie de passer la soirée avec les copains de son frère même si certains étaient super sexy … Elle aurait au moins quelqu’un avec qui discuter ! Elle donna donc l’adresse où avait lieu la « soirée » et lui dit de la rejoindre là-bas dès qu’elle voulait.
Elle pu enfin sortir de chez elle, sauter dans un taxi et partir. Au bout de 30mn dans un taxi, Arya arriva enfin. Elle entra et quelle ne fut pas sa surprise quand elle vit que beaucoup de visages lui étaient inconnus … Elle commença à se demander si elle ne s’était pas plantée d’adresse mais elle était sûre que non. Elle chercha donc son frère pour lui demander quelques explications mais n’arriva pas à mettre la main sur lui.
- Pourquoi, quand je cherche mon frère, il n’est jamais trouvable ?? pesta t-elle.
Elle commençait vraiment à s’énerver et sa colère n’allait pas tarder à exploser tel le bouchon de champagne lorsque l’on ouvre la bouteille.

Heureusement à ce moment-là, elle tomba sur Nate et sa bande.
- Hé, les garçons, vous n’auriez pas vu mon frère par hasard ?? ( très énervée)
- Non, aucune idée, tu devrais aller voir dans les pièces du fond peut-être …
- Merci quand même et essayez de ne pas trop forcer sur les joints et l’alcool, je tiens pas tellement à devoir vous mettre dans un taxi à la fin de la soirée !!
Puis elle repartit comme une fusée, une fusée très sexy …, à la recherche de Marco. Elle avait quand même remarqué le nouvel « ami » de Nate, un superbe mec blond …, sûrement pas un américain !! Mais elle ne se doutait pas de la conversation qui avait lieu un peu plus loin.
En effet au même moment, un échange passionnant avait lieu entre Max et Nate.
- C’était qui cette beauté enragée qui vient de croiser notre route ??
- Oh, Arya, c’est la sœur de Marco et je dois dire qu’elle est plutôt pas mal …
- Intéressant, au fait elle a quel âge ?
- Elle va fêter ses 16 ans en juillet pourquoi ? Ah oui, en passant, elle est à moitié française …
- Française, cette soirée commence à devenir très sympa, moi qui avais peur de m’ennuyer !!


[ Max à toi de continuer si tu veux faire quelques changements préviens-moi !!! :wub: ]

Finalement New York ça n'était pas si mal. On y recontrait même des gens très sympathiques, voire même charmants. Après la petite visite touristique avec Archibald&Co les unités parentales l'avaient astreignés à résidence fixe pour le week-end. Mais évidemment Nate l'avait appelé pour l'inviter à une super fête organisée au pied levé et totalement impro.
"C'est l'endroit ou tu dois être si tu veux qu'on commence à te connaitre !!" lui avait-il assuré. Si créer une mini-émeute dans Harlem n'était pas suffisant pour acquérir une certaine notoriété allez savoir ce qu'il fallait vraiment faire.
De toute manière il n'était pas question de rester chez lui un samedi soir ! Ca avait suffi du vendredi.


Il s'était donc habillé, avec un soin particulier ça va sans dire. Une chemise bleue zara, son manteau Kenzo, le pantalon eden park et les chaussures gucci. Ouais, il devait être assez présentable. Un petit tour par la salle de bain pour vérifier sa coiffure (allez savoir pourquoi il prenait un soin tout particulier à l'agencement de ses cheveux ; ça devait être l'expression de son coté féminin qui apparaissait comme il pouvait) et enfin une touche de ce parfum pour hommes qu'il appréciait tant. Un des profs de physique lui avait un jour dit que les parfums étaient composés d'hormones excitant le sexe opposé. Depuis il faisait toujours ultra attention à ce qu'il mettait.

Nate le conduisit à la fête, il était accompagné d'Olivia Waldorf et consituait le parfait couple de tout l'upper, enfin ce qu'on lui avait dir. La fête qui se trouvait au Harrisson Street Club. Giulia lui avait parlé de cet endroit ; il pourrait peut-être l'appeler maintenant, ça faisait bien quelque jours.
Tiens, justement, un message !
"Bonsoir mon fils c'est ta mère à l'appareil" oh-oh "nous constatons avec ton père que tu as fait le mur" merde merde merde " Profites bien ce soir car tu es puni pour une semaine entière ! Et evite de trop boire qu'on ait pas à t'entendre quand tu rentreras".
Ca commençait bien la soirée. Fallait espérer que Giulia soit là ce soir parceque sinon il allait falloir attendre.

Pendant qu'il expliquait à Nate l'objet du message une très mignogne fille s'abattit sur eux, littéralement. Sacrément enervée, elle cherchait visiblement à trouver son frère. Il allait passer un mauvais quart d'heure son frère, c'est dans ce gendre de situation qu'il adorait d'autant plus son adorable et angélique soeur Elisabeth (encore qu'avec l'adolescence qui arrivait ça pouvait en pas durer)
- C’était qui cette beauté enragée qui vient de croiser notre route ??
- Oh, Arya, c’est la sœur de Marco et je dois dire qu’elle est plutôt pas mal …
- fait gaffe à ce que tu dis, Olivia revient

Lui de son coté n'avait pas encore vu Giulia ; elle n'avait pas l'air d'être là. Il alla se chercher un verre. A coté du bar Arya-l'énervée discutait ferme avec son frère. Il s'approcha, ça promettait d'être amusant. Quand elle se serait un peu calmé il l'aborderait peut-être.

[Foudroyant tout ça désolé je suis pas au top niveau, c'est épuisant une quarantaine]

[Hum désolée de faire irruption, j'ai cru comprendre que ce topic était ouvert à plusieurs... Si ça vous gêne, je me retire ]

La jeune fille avait entendue des bruits qui couraient dans tout Constance, signalant à qui voulait l'entendre qu'une espèce de fête se passait au Harrisson Street Club. Bruit au quel elle ne fit pas attention premièrement, puis se disant qu'en fait, elle n'avait rien de mieux à faire. Le doute sur cette sortie s'installa et proliféra encore plus quand elle apprit les personnes qui s'y trouverait. Du genre Olivia, Giulia, peut être Serena. De plus, elle ne connaissait que vaguement l'organisateur. Un certain Marco... Bref, en fait, elle s'en foutait un peu. Sa mère serait de retour ce week end, et pour une fois, elle en était ravie.
Assise sur le canapé noir en cuire, mattant Virgin Suicides, film qui était son préféré. Le téléphone. La ligne parentale plus exactement. Se levant d'un bond avec une interrogation.

Oui ?
Bonjour, ma chérie !* Ca va ? L'école et tout et tout ?
Euh... Oui, oui, ça va... T'es déjà arrivée ? Tu veux que je t'appelles un taxi ?
En fait, je suis désolée, mais je ne pourrait pas venir. Bon, je dois te laisser, je t'aime fort !*

Gabrielle raccrocha sans prendre la peine de répondre. Comme si en fait elle ne se doutait pas que sa mère aller trouver un truc pour ne pas venir. Enfin cette fois elle lui avait épargné le truc classique du genre "J'ai trop de boulot là" Elle avait éteint le DVD, pour laisser place à sa nouvelle accisition musical. Le dernier CD de Ther Killers. Montant le son au maximun. Tout compte fait, qu'avait elle a perdre à aller à cette pseudo fête ? Bon, ok, si elle y allait seule là, ça craignait. Faisant glisser ses pieds munit de chaussette rose Hello Kitty sur la parquet flottant, elle bondit sur son lit pour attraper son portable. Appuiant sur le bouton pour accéder au répertoire. "Stan". Un peu anxieuse parce qu'inviter un gars à une soirée n'était pas de ce que l'on pouvait qualifier "son truc". Elle se mit à macher un stylo bleu qui passait dans le coin. "Hum ? Hey Stan. C'est Gaby, ou Gabrielle. Mais bref, ça va et tout et tout ? Euh juste comme ça, tu veux venir avec moi, c'est à dire m'accompagner, à la petite fête qui se déroule au Harrisson Street Club ?" Gabrielle débita sa phrase à si grande vitesse que ça le dit rire, puis il accepta avec un "Bien sûr" Ouf. Mission accomplie. Deuxième partie du plan, se trouver une tenue descente sachant que c'est H-3. Valait mieux laisser tomber pour aller faire les boutiques, pas le temps, et pour une fois, elle comptait vraiment arriver à l'heure. En sous vetements La perla devant son armoir assez fournie. Un souffle d"exaspération, puis elle opta pour un petit haut bustier rouge noir puis un jean. Une coiffure simple, les cheveux lachés, et un léger maquilliage, comme à ses habitudes. Un taxi l'avait déposée à l'entrée bien que le HSC ne se situé pas très loin de chez elle. Gabrielle entra, puis se dirigea directement vers le bar, commendant un coupe de champagne, et regarda enfin si Stan était déjà là. Croisa les jambes, esperant qu'il allait bientôt arriver.

*En français dans le texte^^

Arya avait enfin réussi à trouver son frère, une fille à son bras, un verre dans l'autre ... Et c'est ainsi que la dispute avait commencé, à coté du bar, à la vue de tous ... Arya sentait qu'elle allait regretter son accès de colère à un moment ou à un autre comme à chaque fois de toute façon !!
Alors qu'elle était en train d'engueuler Marco, elle vit que le copain de Nate était à coté du bar en train de se servir à boire, et elle se dit alors qu'une fois que Marco aurait dégagé elle irait le voir. Histoire de faire connaissance et de se changer les idées !

Ca y est Marco c'est barré avec sa nouvelle copine ...
Je vais le voir ou pas ....
Arya commençait à sentir que l'effet de l'adrénaline provoqué par la colère retombait et avait l'impression que son courage pour aborder le "nouveau" diminuait ... Enfin, elle allait se lancer lorsque le mec en question arriva à sa rencontre :
Salut, je me présente, Max Van Eyck et toi c'est Arya non ?
Oui c'est ça comment tu as deviné ?
Ah Ah, je suis extralucide ça ne se voit pas ?? Non sérieusement c'est Nate qui me l'a dit !!
Arya riait, déja un bon point pour le fameux Max ! Elle aimait ça les mecs qui la faisait rire ...
Elle hésita à aborder le sujet qui était passé à la télé aujourd'hui, c'est à dire le périple de 4 élèves de St Jude dans le Bronx, Harlem, et enfin le New Jersey grâce à un bateau. Et se retint de justesse en lui demandant d'où il venait :
Bah je viens d'arriver à New York, je viens de Paris ! Mais comment tu as deviné que je n'étais pas américain ?
Oh, tu n'as pas une tête d'américain et j'avais bien reconnu une pointe d'accent français et quelques manières étrangères à la civilisation américaine mais rassure toi ça n'est en aucun cas une critique étant donné que je suis moi-même à moitié française !!!


[désolée je n'ai pas trop le temps ce soir donc je ferais mieux la prochaine fois !!! :''': Mais vous pouvez tous continer ce sujet !!!]

[Ok donc si je peux m'incruster XD bonjour tout le monde ^^]

La jeune italienne, j'ai nommé Giulia avait entendu parlé de la soirée donnée par Marco de la bouche d'une de ses amies. Ou peut être par email. Ou par téléphone. Bref, le problème n'était pas là. Elle avait passé toute sa journée avec Olivia, séchant les cours par la même occasion, à se bichonner pour être en beauté le soir même. Elle avait finalement opté pour une robe courte en soie rouge, très tape à l'oeil mais qui lui aller à ravir. Le climat étant très froid à New York en ce mois de Janvier, elle porter un gilet en fourrure blanche court, arrivant juste en dessous de la poitrine. Ses cheveux étaient détachés mais ondulaient légèrement et pour donner une petite touche encore plus glamour à sa tenue, elle avait des escarpins rouges vernis et un sac Gucci rayé blanc et rouge. Comme je l'ai dit précédement, vraiment tape à l'oeil.

Elle arriva finalement à la soirée, avec un peu de retard. Enfin non, depuis quand il y avait un horaire à respecter pour ce genre de fêtes improvisées. Le Harrisson Street Club avait été relooké pour l'occasion, donnant un style très, euh, italien à la pièce. Et oui les familles venant d'Italie avaient une grande influence à New York, vive le melting pot. Il faut avouer que le club était déjà bondé, d'ailleurs ce n'était pas la bande de Nate la bas ? Ah bah oui, Anthony et Charlie étaient d'ailleurs avec lui. Et Olivia aussi. Giulia lui fit d'ailleurs un signe de la main et se dirigea vers le bar. Par chance il restait une place à côté d'une fille brune. Elle s'installa alors à côté d'elle puis au moment où sa voisine de bar leva la tête, elle s'aperçut que c'était Gaby.

Ah tiens, c'est rare de te voir dans une soirée branchée déclara-t-elle avec un sourire hypocrite. Gaby et Giulia, une véritable histoire d'amour. Leur caractère était tellement opposé mais en même temps, tellement semblable qu'elles se conduisaient (presque) comme des sadiques l'une envers l'autre. La barman les interrompit pour prendre la commande de Giulia, son habituelle Cosmopolitan. Une fois servie, elle fit le tour de la pièce des yeux. N'était-ce pas Max, son cher petit Frenchy en compagnie d'une fille blonde mais après réfléxion, elle s'aperçut que c'était la soeur de Marco. Son prénom ? Aucune idée, Giulia ne pretait guère attention aux petits détails totalement inutiles. Elle laissa toute de même échapper un soupir se tournant vers Gaby, peut-être attendait-elle quelqu'un ?

On t'a posé un lapin ? fit-elle avec un sourire genre "cause toujours tu m'interesses" puis son regard se reposa sur la soeur de Marco qui riait aux éclats. Et ça s'y croit en plus. remarqua-t-elle en s'addressant à Gaby.

Cela faisait 5 bonnes minutes que Max faisait rire au éclats la jeune fille blonde prénommé Arya ; non pardon, l'ange blond qui s'était adouci après avoir maudit son frère quinze fois et qui s'appelait Arya, oui voilà c'était d'elle dont on parlait.
Plus ça allait plus il commençait à se dire que décidément ce soir il devait être dans une forme pas croyable, il avait du mal à se rappeler la dernière fois qu'il avait été aussi spitituel avec une fille, simplement en lui racontant quantités d'histoires d'un humour douteux. Bah de toute manière c'était ça ou bien envisager qu'en réalité on se moquait conscieusement de lui. Mais avec 4 coupes de champagne descendu en un ryhtme record il n'était plus tout à fait capable de pousser un raisonnement aussi loin. Arya de son coté se montrait remarquablement sobre, ça tranchait avec ce qu'il connaissait des new-yorkais pour le moment

"...et donc la différence entre Paris et une vierge est que Paris restera toujours Paris !"
Arya lui répondit de son très joli rire tout en seccouant ses ravissants cheveux blonds. Il fallait bien avouer qu'elle était vraiment séduisante, frêle et menu comme une précieuse oeuvre d'art qu'on oserait à peine effleurer de peur de la briser. C'était triste à avouer mais si Max se complaisait à la faire rire de si bon coeur ce n'était pas sans certaines arrières pensées et adages divers qui eussent pu être déplacé si sa légère ivresse joyeuse ne l'en disculplait entièrement.
Et puis de toute manière ça n'était pas comme si il était pris. Evidemment il y avait bien cette charmante italienne à laquelle il pensait souvent mais...

"Eh ! On va danser ?"
Les Killers avaient entamé leur tube "Smile like they mean it", pas franchement un slow dans l'âme mais potentiellement très pratique pour les premières danses à deux.
De toute évidence Arya adorait dancer ; dès les premiers elle se lacha complètement, laissant libre cours à son énergie et son impulsivité. Un sacré rythme dans la peau fallait le reconnaître ! Maudissant sa cinquième coupe de champagne Max s'appliquait à se donner à fond ; enchaînant les pas de quatre puis improvisant une rapide chorégraphie avec Arya il parvint assez bien à donner un excellent change jusqu'à ce que le groupe se lança sur une chanson au rythme lente, preque un slow. Bénissant la programmation musicale Max attrappa Arya par la taille et l'entraina dans un mouvement lent et souple, collés l'un contre l'autre. "Mes fonctions cérébrales m'imposent de te garder près de moi" lui dit-il de son sourire n°36, version "je slow donc nous sommes" "Non, non pas de protestations il en va du bonheur de l'humanité" Les compliments ne font jamais de mal dixit Henri IV-le vert galant.
Arya avait l'air d'apprécier cette "danse". Son parfum dégageait un arôme puissant teinté d'oranger. Difficile d'y être insensible, surtout en resentant la pression de ses courbes sur les muscles de son thorax.

Le slow prit fin et sans trop savoir comment ils se retrouvèrent implicitement à l'écart de la piste, entourés de leur intimité et de visages impersonnels. En temps normal il aurait déjà du avoir réfléchi à ce qu'il était en train de faire, et où il voulait que ça le mène. Mais là il envoyait positivement au diable tous ces raisonnements de libertins et profitait de l'instant present, avec Arya sur ces genoux. Cette dernière s'approcha de son oreille :
"Reste-moi ici, je n'en ai que pour une minute", puis elle fila aux sanitaires ; l'appel du miroir sans doute.

Tandis qu'il buvait sa sixième coupe, un chardonnay 1997 et puis il fallait bien patienter, il manqua de s'etouffer. De l'autre coté, là, cette superbe rousse vêtu de cette fantastique robe rouge, oui bien sur ! Ca ne pouvait être que Giulia. Elle était occuppé à parler avec animation avec une brune et ne semblait pas l'avoir remarquer.
Des signaux d'alarme retentirent tous azimuth dans sa tête. Tous les voyants passèrent au rouge dans la seconde en hurlant le mot "Catastrophe !!!". Diverses pensées lui traversèrent l'esprit en un instant : "Mais qu'est-ce qu'elle fiche là ?" "pourquoi je l'ai pas vu avant ?" "et je vais lui dire quoi ?" "et à Arya ?" "est-ce qu'elle m'a vu ?" et autres joyeusetés du même ordre. Sans compter le fait qu'en plus il savait parfaitement qu'en réalité son premier mouvement en la découvrant avait été d'être sincèrement ravi.

Et bien sur de son coté elle l'avait aperçu. De cette grâce qu'elle semblait avoir innée elle s'avança vers lui, rapidement.
Premier reflèxe : changer son sourire actuel, qui devait être celui de l'imbécile heureux, pour le sourire n°45 "tout s'écroule mais surtout on en panique pas". Voilà, très bien ; respire maintenant crétin. Voilà, c'est parfait. Bon maintenant trouver une idée, et une bonne.
Pour ne rien arranger deviner qui venait en plus vers Max à ce moment-là ?


[On fait monter les enchères n'oubliez pas la grace de Cesar pour le futur pauvre gladiateur]

Giulia but d'un trait son verre. Elle avait besoin d'oublier sa semaine, donc de boire, voilà tout. Elle demanda alors une coupe de champagne. Ah, la champagne, cette boisson qui vous fait à tous les coups passer une bonne soirée. <<"Pff... Toujours aussi à côté de la plaque, ma chère Giulia.">>, Giulia jeta un coup d'oeilà Gaby, cherchant une bonne réplique.

Mieux vaut être à côté, que pas du tout ma chère Gabrielle fit-elle en vidant une fois de plus la moitié de son verre. Fiouu, Giulia était prete à parier que si elle regardait Gaby dans les yeux, elle y verrait une lueur qui lui indiquerait que la fin est proche. Pour elle du moins. <<... Genre la pouf blonde, qui en fait, n'arrive même pas à la cheville d'une pouf tout court.>>. A moins que... non, pas possible. Les deux filles étaient vraiment d'accord entre elles. Et bien si. L'alcool avait souvent des effets bénéfiques.

Giulia regarda de nouveau Olivia, la robe qu'elle portait était magnifique. Leur après midi passé à vider le compte en banque de leurs chers parents avaient été nécessaires. Pure vengeance. D'ailleurs, Olivia venait de retrouver Nate. Rien à dire, c'était le couple parfait. Il était impossible de les voir sans l'un ni l'autre. Bref Giulia vida son verre.

Je t'en offre un autre demanda-t-elle à Gaby. Sa B.A. de la soirée. Sa seule bonne action de la soirée, voir de la semaine, elle se sentait incapable d'être gentille. Quoi que, elle ne l'avait jamais été et ne ferait jamais d'effort pour l'être. Sa réputation en dépendait. Bref, les deux filles enchainèrent verres sur verres, jusqu'à ce que le regard de Giulia se repose sur Max et sa protégée dans un coin tranquille de la salle. Prise d'un élan de générosité, Giulia entraina avec elle Gaby.

Je vais te présenter quelqu'un fit-elle avec un sourire quelque peu...heumh, sadique ?

La cavalière de Max était allée se repoudrer le nez, laissant ainsi Max tout seul. Elle s'approcha alors rapidement de lui. Bien qu'elle ait bu au moins 5 verres de champagnes, elle avait arreté de compter après celui ci, Giulia était encore capable de marcher, correctement. A priori, Giulia avait surpris le jeune homme. Bon ou mauvais signe ? Telle est la question.

Je savais pas que tu venais passer la soirée ici fit-elle avec un sourire puis voyant Arya arriver, et accompagnée en plus.

Evidemment on retrouvait le gratin new yorkais ici comme à toutes les soirées un tant soit peu branchées .... Mais Arya aimait ça !!!

Pour le coup, Arya avait vraiment été contente de faire la connaissance de Max. Elle retrouvait enfin un semblant de culture, de manière françaises et ça n'était pas pour lui déplaire !! Il faut dire que les USA ce n'était vraiment pas la France .... même si elle adorait New York, Arya était assez nostalgique du temps passé. Elle avait un peu envie d'aller plus loin avec Max tellement ce dernier lui était sympathique ... Au moment où elle allait commencer à parler, ce dernier l'entraina sur la piste :

- Alors là un mec qui aime danser ça devient rare de nos jours !!!

En réalité Arya adorait danser et ça se voyait à son visage qu'elle était heureuse ...
Après une chanson avec un rythme plutôt pulsant, le groupe sur scène commença à jouer un morceau qui tenait beaucoup de slow ... Etait-ce Max ou l'alcool qui prononcèrent ces mots :
- Mes fonctions cérébrales m'imposent de te garder près de moi, Non, non pas de protestations il en va du bonheur de l'humanité
- Serais tu le représentant de l'humanité sur cette Terre ??lui dit Arya en riant mais une ombre ternissait son premier slow avec Max, cette ombre, la tête qu'avait fait Giulia au moment où Max avait invité Arya .... elle n'arrivait pas à se défaire de cette impression de déja vu.

Un peu plus tard, Arya et Max se retrouvèrent isolés dans un coin de la salle. Arya profita de ce moment pour s'eclipser aux toilettes -petit recoiffage au programme- et à l'instant où elle revint, elle eu une vision d'horreur. Giulia en train de serrer Max dans ses bras et ce dernier se laissant faire. Bien décidée à ne pas céder un pouce de terrain au niveau des mecs, Arya arriva telle une bombe aux abords de la tablée.
Elle eu juste le temps d'entendre Giulia dire :
Je savais pas que tu venais passer la soirée ici et accompagné en plus.
- Oh Giulia je ne t'avais pas vu. T'étais pas en cours aujourd'hui ? Tu préparais déja ton attaque ou quoi ? ces derniers mots ne furent qu'un murmure seulement entendu par Giulia.
Salut, ça va ?
Très bien et toi avec ton nouveau mec ? Comment il s'appelle déjà ?

Elle espèrait ne pas avoir à s'expliquer pour sa dernière phrase ... elle voulait juste que tout continue comme avant, avant l'interruption de Giulia. Mais ça elle ne pouvait le dire à Max...... Elle resta donc avec les trois autres en essayant de faire preuve du plus d'amabilité dont elle était capable ... On verrait bien ensuite ce que la suite nous réserve !!

[ Suis pas trop en forme se soir dsl, j'essaie de mieux faire la prochaine fois !!! :wub: ]

Tout à fait intéressante, cette soirée. C'était ce que ce disait Nate. Il était d'humeur plutôt badine, d'ailleurs, pour quelqu'un condamné à des travaux d'intérêts généraux par la faute d'un certain français à qui il n'avait absolument rien demandé... Voilà ce que ça faisait de se la jouer genre je suis serviable et je le vis bien.

Mais il le vivait vraiment bien, et n'avait eu de but à sa venue dans cette soirée que de s'enfiler quelques verres de champagne, et de se fumer des joints, entre potes.
C'était d'ailleurs pourquoi il était en train de comater joyeusement en compagnie de ses potes.
Ainsi, l’alcool aidant, il émit un avis positif sur la jeune Arya, qui devait être la seule nana de seconde à fréquenter un minimum la bande de nos jeunots de l’upper.

D’ailleurs, Max ne tarda pas à se lancer à l’assaut de la beauté blonde. Chose qu’il aurait lui-même fait si: 1: il ne sortait pas avec Olivia, 2: il était du genre à draguer quiconque, et 3: si il n’avait pas eu un joint entre les doigts, chose qui était beaucoup important pour lui à la seconde précise que toutes les belles nana de New York et d’ailleurs.
Ainsi, Nate, faisant tourner un joint spécialement serré à ses potes, observa le petit français faire son numéro de séduction qui foira quelque peu à l’arrivée de l’Italienne. L’échange allait s’avérer assez intéressant d’ailleurs...
Mais l’arrivée d’Olivia ne se fit pas attendre. D’ailleurs, la jeune femme n’était pas accompagnée de Serena, ce qui était assez étrange, on ne la voyait plus beaucoup ces temps ci... Il répondit à son baiser, toujours groggy mais toujours parfaitement resplendissant, et lui tendit la main pour qu’elle vienne s’asseoir à coté de lui. Certains verront d’ailleurs dans ce geste le signe d’un amour sincère, mais c’était simplement parce que lever la tête pour la regarder lui donnait mal au crâne. Mais évidemment, il ressentait toujours pour sa petite amie l’affection qui lui était due...

- « Ouais ça va... Et toi? »

il trouvait Oliva carrément canon avec sa robe noire, mais l’euphorie des joints l’envahissant déjà, il n’eut pas la force de le lui dire, se contentant de l’entourer d’un bras protecteur. Genre.
Il montra d’un signe de tête le groupe composé de Gaby, Giulia, Max et Arya, et dit alors, étonné:

- « Depuis quand Gaby et Giu traînent ensemble? »
Même lui, dans son état, avait remarquer; il allait neiger...

[ Bon ben je m'incruste aussi si ça ne gêne personne...]

Upper East Side, aux environs de 23 heures. Damon Flahery claqua la porte du taxi jaune qui l’avait escorté jusqu’à un bâtiment à la façade blanche, typique de l’époque victorienne. Il avait appris dans l’après midi par des types de sa classe qu’une fête se déroulait au Harrison Street Club. Le mec qui l’organisait était un certain Basiriara… Ce nom lui disait vaguement quelque chose, il l’avait sans doute déjà croisé à une soirée du même genre. Quoiqu’il en soit, Damon avait tout d’abord eu l’intention de ne pas s’y rendre, il se trouvait en pleine période de création artistique. Monsieur éprouvait le besoin urgent de composer en ce moment, toute vie sociale pourrait gâcher son élan créatif, on ne sait jamais. Il n’avait d’ailleurs vu personne depuis trois jours, se contentant de suivre ses cours à St Jude, il avait d’ailleurs battu son record personnel de présence au lycée.
Quoiqu’il en soit, l’éventualité d’un dîner avec ses parents l’avait refroidi. En effet, ses deux frères avaient désertés pour la soirée, et la perspective de passer la soirée en compagnie de ses parents qui pour une fois se trouvaient dans la même pièce au même moment ne le réjouissait pas, ce que l’on peut facilement comprendre à vrai dire…
Ses chaussures en cuir noir pointues frappaient le bitume des marches du club alors qu’il montait les escaliers. Il était vêtu d’un pantalon noir, genre cheap Monday. Ce style de pantalon que ne portent que les rock star classes et infiniment hype. Un pull en cachemire vert par-dessus une chemise blanche, et tah dah ! Le tour était joué. Damon entra dans le club, avec son air typiquement anglo-saxon et son regard si particulier, à la fois d’un bleu-gris glacial, mais teinté d’une je ne sais quoi qui semblait dire « Eh ! Regardez-moi, je vous en met plein la vue, même si c’est bien malgré moi ».
Il s’arrêta et survola la salle du regard. Mince. Finalement, il aurait peut être été mieux tout seul dans sa chambre à composer des chansons incroyablement torturées sur sa guitare… Il était encore temps de faire demi-tour après tout. Il se rappela ensuite de ses parents. Nan, il était bien mieux ici, et puis il y avait du champagne.
Il attrapa d’ailleurs une coupe sur le plateau d’un serveur qui passait devant lui. Il en bu la moitié d’un seul coup. Avant de s’avancer un peu plus dans la foule. Un attroupement de personnes se tenait dans un coin. Il s’appuya nonchalamment contre le bar, sa coupe toujours à la main.
Il reconnu Archibald et sa si célèbre petite amie, ainsi que Gabrielle, une amie de Kenzie [ On va dire qu’ils se connaissent, hein ^^] et puis il y avait Guilia aussi. Il ne l’avait pas rappelé depuis la dernière fois qu’ils s’étaient vus, fois ou ils avaient d’ailleurs… disons eut quelques échanges buccaux. Si ça se trouvait elle avait eut dès le lendemain une prise de conscience et regrettait amèrement ses actes, commis sous les effets de la drogue. C'est pour cela qu'il ne se dirigea pas vers elle, comme il aurait eu tendance à la faire d'habitude. En plus, elle était en grande conversation avec une espèce de bellâtre blond, plus une autre jeune fille blonde elle aussi.
Il resta là ou il était, il n’allait quand même pas aller vers ce joyeux groupe de personnes en criant « Salut les amis ! ». Nah. Il n’était pas assez bourré ni défoncé pour ça, ou bien il n’était tout simplement pas un joyeux petit hippy.

L'ivresse est un phénomène étonnant, tout comme l'enchainement de certains petits événements insignifiants mais qui entraient les plus grands effets. En un mot comme en cent il nous suffirait de dire que le destin semblait d'humeur facétieuse ce soir, qui serait l'arlequin ?

Max Van Eyck avait acquis la capacité de tenir l'alcool au cours d'un événement tragique ; à la mort de son frère il en avait été jusqu'à consommé une bouteille de vodka par semaine, c'était un temps où il ne souhaitait plus réfléchir ou penser. Il s'était malheureusement rendu compte que ce voeu lui était refusé, et que tout ce qu'il en retirait était de très mauvaises gueules de bois. Il avait donc fini par suivre la thérapie familliale, à grand renforts de tranquilisants et de psychologues. Au final donc il en avait surtout retirer une impressionnante résistance à l'alcool, pas en soi au fait d'être ivre mais plutôt en pouvant en quelques dizaines de secondes retrouver un état parfaitement clair. Il avait encore dans sa mémoire quelques souvenirs gravés dans le feu qui suffirait à dessouler n'importe qui. Finalement à chaque chose malheur est bon.

Aussi tandis qu'il observait la première passe d'arme entre Giulia et Arya son cerveau prit immédiatement le relais et enfonça à son grand soulagement le levier "Lucidité". C'était délicat à expliquer et pourtant ça fonctionnait : il se mettait maintenant à regarder toute la scène de son regard attentif, analyseur et surtout en pleine possession de ses moyens. Il retrouva son regard perçant, et la dureté de ses yeux bleu-verts se firent à nouveau sentir alors qu'il alpaguait silencieusement le serveur. L'échange entre l'italienne et la française se faisait de plus en plus vif et un peu de champagne calmerait peut-être un peu tout ça.


"En quoi ma vie amoureuse pourrait interesser une pauvre élève de Seconde ?"

Vite du champagne please ! Ca allait tourner au catch là !
La situation était ce qu'on peut qualifier de difficile ; bon en fait il était dans une merde noire et devait avoir au mieux une ou deux minutes pour trouver une sacrément bonne solution.
Résumons-nous : il avait embrassé Giulia il y avait 3 jours, puis après une certaine petite expédition le lendemain il était interdit de sortie, il avait d'ailleurs appelé Giulia à ce sujet, puis il avait finalement fait le mur pour venir ce soir, ne voyant pas Giulia il avait admiré la très mignonne Arya qu'il avait conscieusement entrepris, puis voilà que Giulia était finalement arrivée, et pour finir Arya et elle manifestait une animosité digne des commères de marchés. Sauf qu'il était à l'origine du débat en question et que ça allait lui rétombait dessus d'ici peu.


"...pas à t'occuper de lui"

La dernière réplique de Giulia semblait avoir eu le dernier mot, du moins pour les 5 prochaines minutes. L'italienne se mit à dévisager chacun d'entre eux, en commençant par la brune qui l'avait accompagnée. Cette dernière, plutôt jolie d'ailleurs, croisa le regard de Giulia et lui dédia un sourire carnassier ; elle avait l'air de bien s'amuser. En tout cas ça n'avait pas adouci Giulia qui croisa alors le regard avec Max. Ses beaux yeux marrons lui exprimaient en pleine face sa colère et cette pointe de déception ; il aurait pu alors dire un mot, s'avancer vers elle ou même simplement faire passer un peu de sympathie dans ses yeux mais non, il ne baissa pas sa garde et lui adressa son intense regard froid et pénétrant, cherchant à percer au plus profond d'elle-même. Elle se détourna vers Arya mais il avait eu le temps d'apercevoir une dernière lueur qui le poigna d'une émotion certaine. Il se maudit alors de son impassibilité et s'apprêta à parler mais il vit Arya. Arya qui bouillonnait d'une colère sourde, de la colère de la trahisson et même si elle le cachait sous des répliques mordantes et vénimeuses il comprit qu'il l'avait blessé, peut-être autant que l'italienne.

La situation lui apparut dans toute sa catastrophe ; il avait simplement voulu se montrer séduisant et passer du bon temps en se rendant lui aussi appréciable mais voilà que bientôt il devrait s'expliquer, humilier une de ces deux merveilles jeunes filles et admettre sa trahison à la deuxième.
C'est à ce moment que choisit enfin le serveur pour arriver bardé de l'espéré champagne de la reconciliation qui avait plutôt fait long feu.

Giulia recommençait à envoyer des piques ; il la coupa après une dernière remarque plutôt vexante.

"Okay temps mort !! Champagne pour tout le monde et on me laisse parler"

Le double regard meurtrier qu'il reçut alors eut suffi à persuader geroges Bush d'enfermer les deux filles pour possession d'arme de destruction massive. Il était sur que les dernières guerres n'avaient pas atteinte le dixième de qu'il allait vivre d'ici dix secondes. Il n'en apprécia que plus l'oeil presque neutre de la brune, Gabrielle si il se rappelait bien.

Bon, champagne fini. Il avait voulu parler, qu'il parle ! Ca faisait très, De Gaulle, les français parlent aux français, 18 juin 1940 tout ça quoi. Bien, bien quand faut y aller...

"je vous ai compris !!" Ce qui marche De Gaulle n'avait pas de raison de ne plus fonctionner 50 ans plus tard "Oui vous avez raison et je sais ce que vous pensez. Mes fautes sont sans excuses et je ne mérite rien<d 'autre que le chatiment suprême, seule la peine capitale peut expier mes crimes. Car mes crimes sont devant moi, rayonnants de beauté et de charme dont le seul regard suffit à faire perdre la tête au premier homme sensible. Oui je l'avoue vous m'avez enflammé, éblouit et rendu comme l'enfant qui vient de naître devant vous. Mon unique désir dès l'instant où je vous vis fut d'être à vos cotés, rendu hommage et gloire à vos présences. Loin de vous on ne me voit point heureux et c'est un état que je ne peux supporter" il se tourna alors vers Giulia "Sublime italienne, qu'as-tu fait de moi ? Je ne cesse de te voir et de te rever depuis le jour où nous nous rencontrés." Il lui prit les mains et les posa sur son coeur "Sens donc l'effet que tu lui fais ! Il n'aspire qu'à te revoir ; pourquoi donc aurais-je braver le foyer familial dans un autre but que celui de venir ici, lieu dont tu m'as toi-même appris l'existence, venir ici et te retrouver me sachant d'avance éloigné de toi par la volonté de la famille ! Ah Giulia, mon crime est d'avoir voulu te voir." il s'adressa alors à Arya "Car je ne t'ai pas vu Giulia, et l'homme est ainsi fait qu'une désespoir s'abattit alors sur moi. Et tandis que je morfondais sur l'épaule d'une ami, qu'Archibald en soit témoin, j'eu alors la vision d'un ange devant moi. Arya, frêle et douce jeune fille, deus ex machina venant à ma recontre et me soulagent de ma peine en me laissant entrevoir un paradis qu'on venait de m'arracher. Ah je me maudis d'être aussi faible, mais le ciel m'est étonné que tu me séduis alors dans l'instant."
Il reprit son souffle et leur vit face ; elles semblaient indécises.
"Moi seul suis coupable, moi seul mérite de subir votre courroux car la beauté et l'innocence ne saurait être incriminées. Mais reconnaissez-moi cette unique vérité, cette seule constance dans ma conduite : je ne peux me passer de la douce lueur de vos visages. Ne me privez pas de la lumière de vos faces !! J'implore cette grace ; pardonnez-moi et laissez-moi enfin accorder toute mon unique attention à celle qui m'a émue au plus profond de mon âme"

Les mots sont insuffisants pour décrire l'effet de ces paroles sur chacun des jeunes gens. Max était effondré ; non seulement il avait livré tout un discours amoureux à deux jeunes filles mais en plus il exprimait presque exactement ce qu'il ressentait. Depuis quand était-il aussi transparent avec les autres ? Décidement il se passait quelque chose.

Il attendait, fébrile, la réaction de Giulia et d'Arya. Gabrielle ne pipait mot.
Il porta son regard dans la direction qu'avait regardée Giulia un peu avant ; au départ il pensait qu'elle cherchait juste un serveur mais maintenant...
Maintenant il voyait un brun-chatain, habillé en pull et jean, qui s'avançait résolument vers eux, le regard vrillé sur Giulia. Cet inconnu dégageait trop d'assurance, si jamais il venait dans la discussion alors qu'il attendait des réactions importantes.... il pouvait bien tout faire capoter cet imbécile.

"Toi si tu t'approches et que tu me casses mon effet je t'atomise" Le pouvoir de la pensé n'allait pas jusqu'à la télépathie, dommage. Car il continuait à avancer ; tant pis pour lui.

Et enfin une d'entre elles lui répondit.

Key était affalée sur son couvre lit.. tête en bas en pleine méditation.. Méditation au sujet de ? Bonne question. Elle était trop défoncée pour penser en réalité.. Le compteur de la chaîne hifi affichait 23h03.. Putain.. 23h03 un Samedi soir.. qu'est-ce qu'elle foutait encore chez elle ? Depuis son retour dans l'Upper la jeune fille n'avait pas eu de très grande occasion de sortir, les fêtes se faisaient rare il fallait dire. Peut être tout ces crétins avaient-ils souffert de restriction budgétaire suite au dernier crash de leur livret scolaire.. Pathétique.
Ou bien tout simplement n'était-elle plus invité. Cette seule pensée lui laissa échapper un léger rire.. Kenzie Stewarts ne plus être invitée à une fête ? Vous rigoliez. Même si tout ces gamins archi Has Been la détestait au plus haut parce qu'ils voyaient tous en Kenzie les individus qu'ils ne pourraient jamais devenir car bien trop condescendant. Tous se damneraient pour que la jeune fille mettent ne serait-ce qu'un petit bout d'orteil sur leurs parquets de bois de merisier venu tout droit de Florence.
Kenzie était ce qu'on peut appeler la fille rebelle de l'Upper East Side : Junky, Grunge & Sexy.. au caractère de feu.
Elle était beaucoup trop comment dire.. impossible qu'elle ne soit pas invitée quelque part. En général c'était-elle qui optait pour venir ou non t pas le contraire.
D'ailleurs en parlant d'invitation.. La sonnerie de son portable venait de la sortir de sa méditation. En général c'était lorsqu'elle était défoncée que la jeune fille parvenait le mieux à composer des mélodies pour ses compo.
Elle ne percuta donc pas tout de suite que cette sonnerie venait de son portable et était non pas la matérialisation d'une future composition mélodique provenant tout droit de son inconscient.

Un message de Gaby qui lui disait de venir au Harisson.. Pourquoi pas après tout. Ce serait certainement mieux que de rester fourrer là. Surtout qu'elle n'avait plus rien pour sa consommation.. Là bas il y aurait forcément quelqu'un susceptible de lui fournir ce dont elle avait besoin.

Comme à son habitude la jeune fille ne resta pas des heures dans la salle de bain. Un des avantages d'avoir eut don d'une beauté naturelle.. Que voulez-vous, dix minutes à peines suffisait pour la rendre resplendissante.
C'est vêtue d'une robe bustier ample en mousseline Rouge chloé qui lui arrivait mi cuisse et d'une paire d'escarpin manolo assortie -cadeau des créateurs - que la jeune fille se rendit à la dite boite.
Kenzie n'aimait pas les taxi et tout ce superflu d'accessoire mais en même temps elle n'avait pas trop le choix.. parfois elle devait elle aussi agire en tant que gens de sa classe social.

Le videur qui la connaissait depuis sa plus tendre enfance presque la salua, visiblement ravie de la revoir ici. Après deux trois formules de politesse, la jeune fille s'engouffra à l'intérieur de la boite noire de monde. Juan un des serveurs l'orienta vers la soirée privée qui l'attendait.

La jeune fille put rapidement reconnaître des visages plus que familier.. Gaby semblait en pleine discussion avec un type inconnu du bataillon, autour d'eux : oh..oh.. Archibald qu'elle n'avait pas revue depuis leurs folle escapade à St Barth, sa copine était elle aussi d'ailleurs là. Kenzie se demandait bien si elle était au courant ou non.. Peu importe de toute manière, elle s'en fichait qu'elle sache ou non.
Il y avait Giulia Gatina qui semblait comme toujours en pleine démonstration de superficialité auprès d'une jeune fille blonde tout aussi inconnu au bataillon que ce type..
Décidément malrgès cela rien n'avait changé..

Le temps passe mais tous se ressemble.. que c'est déprimant.. s'exclamât-elle ironiquement en attrapant une coupe de champagne sur l'un des plateau.
Pathétique.. qu'est-ce que tu fou là.. se dit-elle avant d'avaller la totalité de sa coupe d'une traite.

La jeune fille entendu alors quelqu'un lui répondre. Elle se retourna aussi stoïque et blasée que d'ordinaire afin de pouvoir lieux voir à qui appartenait cette voix..

Décidément.. dit-elle en levant les yeux au ciel. Damon aussi était de la partie. Que de retrouvailles..

Arya bouillonnait intérieurement, ceci était sans aucun doute du à la pique de Giulia... <En quoi ma vie amoureuse pourrait interesser une pauvre élève de Seconde comme toi... Regarde autour de toi, que fais-tu dans le monde des grands, la garderie, c'est en face. Et pour ta gouverne, tu n'as pas à t'occuper de lui.>
Arya refusa de s'abaisser au niveau de Giulia, elle avait beau être plus agée, elle n'en demeurait pas moins une fille ... Elle préféra opter pour le silence. C'est à ce moment là qu'elle surprit le regard que Giulia jettait à Max, le même regard qu'on lance à ceux qui nous font vraiment pitié. Arya se sentait humilié par Giulia, mais aussi déçue, trahie par Max qui n'avait rien fait pour la défendre ... Mais à lui elle lui aurait à la limite pardonné à quelques conditions alors qu'entre Giulia et elle la guerre était déclarée et Arya n'était pas connue pour sa capacité à oublier ...

A ce moment là,Max commenca :
"Okay temps mort !! Champagne pour tout le monde et on me laisse parler"
Juste 2 minutes, Giulia pour moi c'est pas de Champagne mais pas pour la raison à laquelle tu penses mais pour des raisons médicales, diabète oblige !!!
Max continua :
je vous ai compris !!Oui vous avez raison et je sais ce que vous pensez. Mes fautes sont sans excuses et je ne mérite riend 'autre que le chatiment suprême, seule la peine capitale peut expier mes crimes. Car mes crimes sont devant moi, rayonnants de beauté et de charme dont le seul regard suffit à faire perdre la tête au premier homme sensible. Oui je l'avoue vous m'avez enflammé, éblouit et rendu comme l'enfant qui vient de naître devant vous. Mon unique désir dès l'instant où je vous vis fut d'être à vos cotés, rendu hommage et gloire à vos présences. Loin de vous on ne me voit point heureux et c'est un état que je ne peux supporter Sublime italienne, qu'as-tu fait de moi ? Je ne cesse de te voir et de te rever depuis le jour où nous nous rencontrés Sens donc l'effet que tu lui fais ! Il n'aspire qu'à te revoir ; pourquoi donc aurais-je braver le foyer familial dans un autre but que celui de venir ici, lieu dont tu m'as toi-même appris l'existence, venir ici et te retrouver me sachant d'avance éloigné de toi par la volonté de la famille ! Ah Giulia, mon crime est d'avoir voulu te voir.

Arya, je ne t'ai pas vu Giulia, et l'homme est ainsi fait qu'une désespoir s'abattit alors sur moi. Et tandis que je morfondais sur l'épaule d'une ami, qu'Archibald en soit témoin, j'eu alors la vision d'un ange devant moi. Arya, frêle et douce jeune fille, deus ex machina venant à ma recontre et me soulagent de ma peine en me laissant entrevoir un paradis qu'on venait de m'arracher. Ah je me maudis d'être aussi faible, mais le ciel m'est étonné que tu me séduis alors dans l'instant.

"Moi seul suis coupable, moi seul mérite de subir votre courroux car la beauté et l'innocence ne saurait être incriminées. Mais reconnaissez-moi cette unique vérité, cette seule constance dans ma conduite : je ne peux me passer de la douce lueur de vos visages. Ne me privez pas de la lumière de vos faces !! J'implore cette grace ; pardonnez-moi et laissez-moi enfin accorder toute mon unique attention à celle qui m'a émue au plus profond de mon âme"

Arya se demandait quoi penser de tout cela... Une chose était sûre, Max n'avait d'yeux que pour Giulia, chose qu'elle comprenait étant donné que Giulia avait le même âge que lui et donc des centres d'interets plus proches .... Mais elle refusait de perdre la face devant cette peste de Giulia car elle savait pour avoir fréquenté les ami(e)s de son frère que pour Giulia Max n'était qu'une passade. Et elle ne voulait pas que ce charmant frenchie souffre ! Ce qui commençait déja à se produire à en juger par la mine de Max à la vue de Damon qui arrivait vers eux. Elle se décida alors à répondre à Max quelque chose :
Max, je peux te parler deux minutes s'il te plait *

Ce qu'Arya s'apprétait à lui dire réclamait un grand courage et une grande conviction car elle n'était pas totalement convaincue par sa pensée mais c'est ce qu'elle estimait être la meilleure solution pour Max et pour elle. Mais pour cela, Max allait devoir y mettre un peu du sien.

* En français dans le texte.

"Max, je peux te parler deux minutes s'il te plait* "

Voilà, tout un discours improviser en quelques secondes et c'était la première phrase qu'il recoltait ; d'habitude ça ne présageait pas des moments agréables. Ca l'apprendrait à s'exprimer en étant un peu sincère.
Bon il devait quand bien ça à Arya. Même si elle avait répondu avec un bel entrain à ses avances c'était quand même lui qui était venu la chercher ; de là à dire qu'il était bien le seul "fautif", si faute il y avait,... mouais, n'éxagrons rien quand même. Faut pas pousser, par contre il lui devait bien ces deux minutes d'explications à part.

Deux minutes qu'il aurait accordé sans rechigner, avec l'enthousiasme de l'appel au devoir ou celui de la patrie mais il l'aurait quand même. Soyons clair, pour ce genre de requête il n'avait rien d'un lâche c'était même le contraire.
Donc le fait qu'Arya n'eut pas, dans l'instant, ces fameuses deux minutes ne saurait en aucun cas remette en question la classe innée et naturelle de Max. Non, non, tout cela n'était du qu'à l'arrivé impromptue de l'arrogant, fat et sot chatain et qui avait décidé de jouer les insolents par dessus le marché.

Pas mal ton petit speech froggy, Edith Piaf serait fière… oh ! Moi c’est Damon… puis il retira sa main tendue. Méfiant Max n'avait avancé la sienne que discrètement. Evidemment tous avait cependant remarqué ces gestes : l'humiliation était visible mais au moins il avait évité de se retrouver avec une main pendante dans le vide. Il prolongea son geste et appela le serveur. A peine un semblait d'apparence de sauvé. Mais cela appelait une réaction immédiate

"Ton semblant hypothètique de culture qui t'a permis d'évoquer Piaf aura au moins été rattrappé par ces exigences de l'étiquette ; même un inculte sait bien ce qu'il faut faire quand se trouve devant son seigneur et je suis fort aise que tu sois venu de toi même te présenter à moi", le ton employé était d'un dédain suprême, "Bien entendu cette gaucherie ridicule au moment ou tu te présentais ne nous a point importuner le moins du monde ; l'insecte ne peut faire d'ombre au soleil surtout quand ces derniers sont aussi nombreux" il inclua par ces mots l'assistance de son regard "Bien, cela étant dit je vous libère de notre service. Allez docn aider ce pauvre garçon qui nous sert le champagne. Et tachez de vous être lavé si d'aventure vous étiez amenés à nous approcher de nouveau"

Il ponctua ces paroles en plongeant son regard d'acier dans les yeux d'airain de Damon. Des yeux bleu-gris, très beau, très durs. L'intensité de leur deux regards se fit plus violente ; personne n'avait encore réussi à soutenir sa conversation quand Max le regardait de cette manière. Il voulait faire plier son adversaire, le forcer à abondonner c'était toujours sa première victoire. Ensuite venaient les coups, de part et d'autre.
Mais lui ne céder pas. Ces yeux, qui manifestaient tous les signes du shooté clinique, continuaient à le défier.
Et Damon parla finalement.

"Oui les français sont très doués avec les mots ; on a bien vu avec Pétain pendant la seconde guerre mondiale. Tout ça ça n'est que des mots, tu n'oseras rien faire d'autre"

Pendant une demi-seconde Max envisagea très sérieusement la possibilité d'emplâtrer Damon dans le sol du Harrison. Ca ferait sans doute une très belle peinture abstraite.
Mais non, ça serait bien plus amusant de l'emmener sur ce terrain pour le voir ce dégonfler ou mieux se faire humilier après. Il avait pratiquement le judo jusqu'à cette année et sa carrure lui permettait de ne redouter aucun adversaire à part des monstres de 2m15.

Il se prépara à lui lancer une réplique cinglée et à le provoquer dehors mais quelqu'un prit alors la parole.

[Next please ; hummm, il va y avoir du sport on dirait]

[Fiou, ça va chercher loin, merci Arya de m'avoir mise au cou de Max :''': ]

Giulia allait ouvrir la bouche pour ressortir encore une quelconque vanne adressée à Arya quand Max s'écria <<Okay temps mort !! Champagne pour tout le monde et on me laisse parler>>. Giulia commençait à penser qu'elle n'aurait même pas du se lever ce matin. Cette hypothese se trouva confirmer en écoutant le discours passionné de Max. Adressé aux deux filles. Arf, c'était ce qu'elle n'avait pas envie d'entendre pour le moment, c'était une situation tellement grotesque. D'ailleus Arya ne tarda pas à se réveiller en disant une phrase en français <<Max, je peux te parler deux minutes s'il te plait>>, une private joke ? Non, je ne pense pas. Tant pis, elle pouvait lui dire ce qu'elle voulait après tout ce n'est pas ça qui pou.. Une main se posa sur la nuque de Giulia. A chi è ? Quel est le pauvre crétin qui avait posé ses sales pates sur elle. Elle tourna vivement la tête poussa un soupir de soulagement reconnaissant Damon accompagné par Kenzie. Il aurait peut-être le don de rétablir la situation, qui sait ? <<Pas mal ton petit speech froggy, Edith Piaf serait fière… oh ! Moi c’est Damon… >>, heumh, pas exactement à en croire ce qu'il venait de dire à Max et encore moins en voyant le regard qui lui lançait. Ca s'annonçait mal, très mal. Il faut avouer que Giulia n'avait rien d'un ange mais se retrouver dans une situation telle que celle la, c'était son karma qui lui avait joué un mauvais tour. C'était obligé. Elle n'avait qu'une hate : rentrer chez elle et se rouler un bon joint pour oublier tout ça. Ecouter ses derniers vinyles achetés et s'enmitoufler dans sa couette. Malheureusement le destin rejetait cette hypothèse. Mais heureusement, Giulia eut une alliée innatendue. Gaby semblait penser la même chose que la jeune italienne. Le sang va-t-il gicler sur les murs ? Suite dans le prochain épisode. Non, évidemment, mais il était temps d'agir. Arya se donnait à fond pour convaincre Max pour aller discuter à l'écart. Que voulait-elle lui dire ? Rien à faire, surement quelques commentaires sur Giulia pour le mettre "en garde des risques encourus" si il finissait par fréquenter l'italienne et non la française puisque le discours fait il y a déjà quelques minutes avait été assez clair. Nous étions dans une jungle, le monde des filles. Coups de fourbe, hypocrisie, trahison et autres termes peu flatteurs le décrivaient parfaitement. Quand il s'agissait des mecs, les filles pouvaient se transformer en vraies tigresses. Mais ce soir, l'envie n'était pas au rendez-vous. Elle était venu ici dans le but de s'amuser un peu avec ses amies et de rencontrer par pur hasard,le type qui occupait ses pensées depuis leur rendez-vous, attendant un coup de fil à toute heure du jour et de la nuit. Revenons maintenant au Harrison Club Street, les répliques s'enchainaient à une vitesse hallicinante.<<"Ton semblant hypothètique de culture qui t'a permis d'évoquer Piaf aura au moins été rattrappé par ces exigences de l'étiquette ; même un inculte sait bien ce qu'il faut faire quand se trouve devant son seigneur et je suis fort aise que tu sois venu de toi même te présenter à moi..." Le discours continuait. 1-1, la balle était maintenant dans le camp de Damon qui répliqua aussitot, "Oui les français sont très doués avec les mots ; on a bien vu avec Pétain pendant la seconde guerre mondiale. Tout ça ça n'est que des mots, tu n'oseras rien faire d'autre". 2-1 pour Damon. Les deux jeunes hommes se défiaient du regard et si personne n'intervenait, le sang giclerait dans la pièce. Dans le même genre que le fim culte "Carrie". Giulia s'avança au milieu du cercle formé les protagonistes de la scène qui se jouait. Elle finit son verre d'un trait puis affronta le regard de Damon et Max. Oups, était-ce vraiment une bonne idée ? Elle toussota, assez mal à l'aise avec tous ces paires d'yeux figés sur elle. A présent une chanson défiler dans sa tête <<S.O.S. please someone help me, Boy you know you got me feeling open, And boy your loves enough with words unspoken, I said boy I'm telling you, you got me open, I don't know what to do its true, I'm going crazy over you I'm begging>>. Comeback to Earth. Giulia s'éclaircit une nouvelle fois la gorge. Que c'était dur de s'excuser. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle ne présentait jamais d'excuses.

C'est bon, ça suffit. Je suis la seule fautive dans l'histoire et j'en suis sincèrement désolée fit-elle en marquant une pause à chaque mot. Elle se tourna vers Max puis continua.. Je ne voulais vraiment pas te donner de faux espoirs, tu es arrivé dans ma vie il y a une semaine, le feeling est bien passé mais on ne se connait pas assez pour dire qu'on a des atomes crochus... Ton discours passioné m'a touché mais tu m'idéalies trop, je suis pas parfaite la preuve. Elle tourna alors vers Damon, un sourire au lèvres Tu dois te douter que je suis impardonnable mais que je suis quand même désolée. J'ai attendu ton coup de fil et puisque ça n'arrivait pas, je me suis laissée un peu, ok, beaucoup aller. conclua-t-elle en lui prenant les mains. Geste risqué mais qui ne tente rien n'a rien. Et puis tu sais bien que...

Pas le temps de finir une autre voix l'avait déjà interrompu...

[Vraiment désolée Max :Snif: mais j'évite la guerre civile, enfin j'espère :S: :bgrin: ]

Sans trop comprendre comment, Kenzie se retrouva propulser au centre de cette meute en furie. Et meute en furie était le terme parfait pour les définir.
Retour sur image.

Le type qui c'était mis à lui parler n'était autre que Damon.. vous savez ce garçon qui chante tout le temps pour rien.. et qui accessoirement venait de lui faire il y a de cela quelque jour un masque de beurre de cacahuete sur le visage.. . D'ailleurs il ne faudrait pas qu'elle oublie de se venger.

Damon : Non mais je rêve, c’est bien la grande Kenzie Stewarts qui est assise à mes côtés ? N’a-t-elle pas peur de se mélanger à cette populaces ?

Ce léger pic fut suivie d'un clin d'oeil dont le but était sûrement de lui montrer qu'il plaisantait.
Il ne servait donc à rien puisque Key se fichait qu'il plaisante ou non. Et pour répondre à la question si si.. "elle avait peur de se mélanger à cette populaces" pour reprendre sa phrase. Bien que "peur" ne soit pas vraiment le mot qui convienne. Pour toute réponse, la jeune fille se contenta de boire une gorgé de son Savana Righ, cocktail qu'elle prenait souvent et que donc un serveur était venu lui déposer.La classe que voulez-vous

La jeune fille avait les idées assez clair pour remarquer que Damon fixait quelque chose sur la piste. Son regard accompagna le sien afin de constater par elle même qu'elle étaite cette chose qui pouvait tant l'intriguer.. et le mettre dans cette état de "jalousie" ?

Il soupira et se retourna de nouveau vers Kenzie

Damon : Suis moi mon petit, je suis sûr que ces individus ont une folle envie de nous voir, même si ils n’osent pas nous le dire.

Ce après quoi, il lui choppa le bras toujours très subtil vous conviendrez.. Il avait zappé qu'elle était une fille ou quoi. Limite il lui avait arraché l'avant bras en l'entraînant vers ces crétins.

Damon :Je t’expliquerai plus tard, on va bien s’amuser tu vas voir… di-il en voyant le regard rébarbatif qu'elle lui adressait.

ok..ok.. c'est bon.. Pour une fois Kenzie joua le jeu. Et s'avança de sa démarche la plus classieuse vers le petit groupe. Elle avait bien envie de s'amuser elle aussi. Et quoi de mieux comme joujou que ces lobotomisé à l'american express ?

Kenzie ne prit pas la peine de les saluer. Elle adressa simplement un sourire malicieux à Gaby. Qui elle avait un petit sourire sadique. Elle devait s'amuser devant tout ce lavage de linge sale. Voilà pourquoi donc elle lui avait dit de venir. Sacrès Gaby toujours là pour pensez à ses amis .
Elle devait aussi être bourrées. Ken la connaissait assez bien pour deviner ces choses là, même sans lui parler.

Kenzie manqua de s'étouffer avec la gorgé de Savana right qu'elle était entrain d'ingurgiter. Un sacré fight entre Damon et Ce Français*
Ah mais oui.. il y avait Giulia dans les parages tout s'expliquait donc.

Bien que Key n'aime pas cette fille, elle l'amusait. Son comportement de petite garce était souvent pathétique. Elle n'avait jamais pu réellement l'encadrer depuis toute petite mais cette fille était marrante pour mettre de l'ambience.

-Rappelons toute fois à titre indicatif que Kenzie n'aime personne ici présent, hormis sa minipouss ca va de soi -

La situation devenait intéressante. Même s'il était un peu imbus de sa personne Le Français répondait plus que bien aux pics envoyait par l'autre mâle jaloux.. si si jaloux cela se sentait à des kilomètres à la ronde. Le pauvre

Key les regardaient tous avec un sourir mesquin.. Puis elle soupira.. en prenant une nouvelle gorgée. Elle avait eut le temps de remarqua que Wardolf la regardait. Oui ??! avait-elle envie de lui demander. Mais jamais elle ne perdrait son temps à parler à une telle personne.
A vrai dire, notre petite grunge était là sans réellement l'être. Le mélange entre cock et alcool la faisait vraiment planée.. Pourquoi les gens étaient-ils entrain de tourner ? Il n'avait rien de mieux à faire ?

Elle resta deux, trois minutes dans cet état de flou total. Mais elle reprit ses esprits au moment ou "Pam" l'un des types était tombé. Voilà ce que cela faisait de trop tourner..
Ah non.. Damon.. couché .. coquard à l'oeil. C'était donc le Français qui lui avait fait ça ? ah oui.. elle n'aurait jamais cru qu'un Français puisse faire ça. Ce n'était pas eux qui était contre toute forme de guerre. Et qui n'avait pas voulu participer à la guerre en Irak ?
Rapidement Archibald s'interposa entre les deux Don Juans qui n'en avait visiblement pas fini. Les petites pouf étaient toute entrain de jubiler de ce spectacle.

[Désolé tout le monde.. mais la guerre civil aura bien lieu :cool: ]

"Ton semblant hypothètique de culture qui t'a permis d'évoquer Piaf aura au moins été rattrappé par ces exigences de l'étiquette ; même un inculte sait bien ce qu'il faut faire quand se trouve devant son seigneur et je suis fort aise que tu sois venu de toi même te présenter à moi Bien entendu cette gaucherie ridicule au moment ou tu te présentais ne nous a point importuner le moins du monde ; l'insecte ne peut faire d'ombre au soleil surtout quand ces derniers sont aussi nombreux. Bien, cela étant dit je vous libère de notre service. Allez donc aider ce pauvre garçon qui nous sert le champagne. Et tachez de vous être lavé si d'aventure vous étiez amenés à nous approcher de nouveau" Ohoh. Damon continua de regarder le garçon, j’ai nommé l’illustre-inconnu-à-l’accent-français-et-aux-dicours-bien-trop-solennels. Bien entendu, Damon n’avait pas le talent que le français semblait avoir en matière de répliques, mais il parvint tout de même à lui sortir un :

"Oui les français sont très doués avec les mots ; on a bien vu avec Pétain pendant la seconde guerre mondiale. Tout ça, ça n'est que des mots, tu n'oseras rien faire d'autre"

Le DJ avait changé de chanson, un bon vieux tube des Rolling Stones résonnait dans la salle à présent : « Hey, you, get out of my cloud ! » scandait Mick Jagger. Mais quel hasard. Max allait devoir dégager du nuage de Damon, ou sinon, les choses risquaient de devenir plus… vénéneuses. Il se rapprocha de Max, sous les regards des autres personnes témoins de la scène.

Les mots tu sais, au fond…

Il s’arrêta un instant, sourire machiavélique aux lèvres.

En Italie, pendant 30 ans sous les Borgia, ils ont eu guerre, terreur, meurtre, et carnage, mais ils ont produit Michel Ange, Leonard de Vinci et la Renaissance. En Suisse, ils ont eu 500 ans de paix et d’amour fraternel, et qu’es ce que ça à donné ?

Le sourire de Damon s’élargit. Il n’avait pas qu’à le provoquer sur son hypothétique culture. Cette citation dite pas Orson Welles était tirée d’un film appelé « the third man ». Il finit donc par achever sa citation.

… Une pendule à coucou !

En gros tout ça pour dire que… que quoi d’ailleurs ? Bref, Damon agissait vraiment comme si il cherchait les embrouilles, sans doute son petit côté kamikaze qui ressortait de temps à autre… En tout cas, il n’allait pas tarder à avoir des ennuis, vu la manière avec laquelle il regardait Max. Son regard de petit con arrogant et absolument insupportable devait en effet donner envie de le frapper, le l’encastrer dans les murs, de l’immoler, bref, de le faire taire de manière définitive.
Max s’apprêtait de toute évidence à lui répondre, lorsque Guilia s’interposa, s’auto-rejettant la faute. Damon ne savait pas trop quoi en penser, il ne se gênait évidemment pas pour jouer avec les filles qu’il rencontrait, se montrant parfois même un peu cruel. Etrangement, il aimait beaucoup moins que l’on joue avec lui. Si Guilia le voulait vraiment, elle allait devoir faire preuve d’imagination, il était têtu à ce petit jeu là.
Soudain, sans qu’il ne comprenne vraiment ce qui se passait, Max lui assena un coup de poing dans le visage, le faisant tomber par terre par sa violence. Dans sa chute, il entraîna Kenzie en essayant de se raccrocher à elle, lui renversant par la même occasion son verre, quasiment plein [ muahaha ].
Il parvint tout de même à se relever, se dirigeant droit vers le français.

Qu’est ce qui se passe ? Tu es a court de mots peut être ? Tu as épuisé ton cota de 400 mots de vocabulaire ?

Fit il d’une voix ironiquement doucereuse, cachant bien mal son agacement. Pour le français, il représentait sans doute « le vil Albion ». A grande échelle : la guerre de cent ans, à petite échelle : le Harisson Street Club.
Il regarda son agresseur, un regard froid et à la fois plein de fougue comme il savait si bien les faire. Damon n’aimait pas se battre, mais si le jeune français s’avisait de recommencer, il n’allait pas tendre la joue gauche.

.

Depuis son retour de St-Barth, Michelle s'etait faite discrete, tres discrete. Elle ne sortait plus que pour aller en cours, et encore, il lui arrivait de ne pas y aller pour pouvoir rester tranquillement chez elle pour profiter du silence, et pouvoir se soualer a volontee, a l'abri de tous ragots. Cela, faisiat donc un peu plus de deux semaines qu'elle n'etait plus partie s'amuser.

Ce soir, elle voulut enfin sortir de sa tanniere pour aller voir du monde. Dans la journee, elle avait entendu d'une fete qui etait organisee au Harrison Street Club, et avait donc l'intention de s'y rendre a... attendez, le temps qu'elle regarde l'heure sur sa nouvelle montre Cartier blanche incrustee de diamants sur tout le cadran, il etait pres de minuit. Elle entreprit donc de sortir de son lit, et d'aller prendre une douche, puis d'aller enfiler une tenue correcte. Elle mit donc une robe en soie Christian Lacroix imprimee en noir et blanc, et des bottes Chanel rouges, qui ressortaient magnifiquement avec sa tenue. Elle sortie donc, dans cette tenue, malgre le froid qui regnait dans la rue, elle ne prit avec elle q'une petite pochette Dior rouge assortie a ses chaussures.

Une fois dans la rue, elle commencait a frissonner avec le froid qui y regnait. Mais, elle hela rapidemment un taxi, et arriva en peu de temps au Harrison Street Club, bien que d'habitude, la route soit encore tres bouchee, mais etrangement, ce soir, elle ne l'etait pas. Cependant, cela ne preoccupa pas plus notre chere Michelle, qui avait ouvert la fenetre du taxi, malgre le foid.

Arrivee devant le club, elle vit le vigil, qui travaillait la-bas depuis de longues annees, et qui l'avait reconnue, malgre sa longue absence. Il l'a fit donc passe devant tout le monde, car il n'etait pas sans dire, que le club ou allait Michelle, etait un club tres en vogue.

Une fois dans le club, elle ne manqua pas de remarquer la presence de nombreuses de ses camarades de Constance, et des garcons de St-Jude, ainsi que quelques nouvelles tetes. Elle s'avanca donc vers eux, avec sa fameuse demarche a la francaise.

Elle commenca par saluer les personnes qu'elle connaissait.

- Salut Guilia, ca va ? ...

Puis elle apercut Gabrielle.

- Oh Gaby, contente de revoir, ca faisait longtemps depuis le petit incident au resto a St-Barth.

Ensuite elle remarqua qu'une bagarre commencait a eclater entre deux nouveaux de St-Jude, dont l'un avait deja fait la une dans la presse people.

[ Desolee :''': , je m'incruste, un peu tardivement peut-etre ?! ]

Il n'était pas tard et Stan était chez lui, dans sa chambre, assis sur son lit a jouer de la guitare, il remanier pour la dixième fois une musique qu'il avait entièrement composer, mais, jamais satisfait de son travail, il trouvai toujours quelques choses qui n'allait pas, le jeune homme travaillai depuis déjà deux heures sur un passage qui a son goût, sonnai faux.
Prit d'une colère excessive vis a vis de lui même il jeta sa guitare plus loin, fatiguer, il c'était énerver pour très peu, il en avait marre, l'entrer en studio il y songeai, mais il traînait, il avait peur de pas pouvoir travailler autant que l'on lui demandai, et le stress emmagasiner avait engendrer une colère qui lui rongeait les entrailles. Il finit alors par se diriger vers le frigo pour y attraper une bouteille de Vodka, il avait besoin de se calmer et il croyait que cela serait le seul moyen, il attrapa une verre qui traînait par la et y déversa quelques centilitres du liquide transparent, avant de ranger a nouveau la bouteille, il alla alors finalement s'asseoir sur le canapé, son verre de Vodka en main, son regard se fixa sur la télé qui était éteinte, puis le téléphone se mit a sonner.
Stan décrocha et répondit d'une voix fatiguer "Ouais ..." un sourire apparut alors a nouveau sur ses lèvres, au téléphone, c'était gabi, il ne l'avait pas revue depuis son retour de vacance, et celle ci lui proposai de se revoir se soir même, il accepta alors rapidement et les deux jeunes gens raccrochèrent pour se retrouver plus tard dans la soirée.

Quelques heures plus tard Stan était prêt, habiller assez classe, pour l'occasion, il avait décider de faire bonne impression a Gabi pour leurs retrouvailles, il ne souhaitai pas non plus lui montrer une image fausse de lui et dans cette optique il n'avait pas exagérer sur la tenue qu'il avait enfiler, il était habiller d'une chemise violet foncé, et d'un pantalon de la même couleur.
Un quart d'heure avant l'heure prévu il descendit alors les marche de son immeuble pour se diriger vers le Harrisson Street club, le lieux de rendez vous, les deux mains fourrer dans les poches le jeune homme marchait d'un pas lent, rêveur, il prenait le temps de savourer l'impatience qu'il avait de retrouver, sa Gabi, peut étre les retrouvailles allait étre froide ou plus décontracté, quoi qu'il en soit il imaginai le meilleur des scénario et prenait goût a ne pas imaginer une seul fois le pire, c'était ca le meilleur moyen d'être déçus, mais aprés tout, pourquoi toujours penser au pire, il avait décider d'être optimiste et lui même sentait que c'était dangereux.
Arriver devant le Harrisson Street Club, Stan se mit en queu de file, apparemment beaucoup de personne attendait, l'attente allai étre longue, mais le jeune homme n'avait pas le choix.
Une bonne demi heure d'attente plus tard il arrivait enfin au niveau du videur qui se mit a le regarder de haut en bas, il lui demanda alors d'un air froid de lui présenter sa piece d'identitée, le jeune amuser la lui montra et l'énorme videur se dégagea pour laisser passer le petit Stan.
A peine avait il mit les pied dans la salle que déjà il put apercevoir quelques tète connue, Giulia et quelques autres personne croiser d'autre fois dans NY ou en vacance, puis son regard croisa alors celui de Gabi, un sourire apparut sur ses lèvres et ses jambes ne purent s'empêcher de le diriger d'un pas rapide vers la sublime jeune femme mais alors qu'il était presque arriver a destination, un jeune homme tomba a terre devant lui, un autre l'avait frapper au visage, Stan ne connaissait aucun des deux mais son coté pacifique se mit en avant, surtout lorsqu'il vit que Giulia était mêler a tout ca, et alors que le jeune homme se releva pour s'avancer vers l'autre, Stan se mit entre eux deux, plaça sa main droite sur le torse de Damon et l'autre sur le torse de Max, il les regarda alors a tour de rôle pour leur parler sans trop envenimer la situation
-Hey les gars, qu'est ce qui se passe la? on est pas des animaux, si on est doté du langage c'est pour s'en servir vous croyez pas? Alors stop maintenant plus de connerie, vous êtes censé être la pour faire la fête alors buvez un coup ensemble plutôt que de vous envoyer des coups de poing en pleine figure...
Il savait bien que ca servai a rien et qu'il se fichait tout les deux de ce qu'il disait, Mais il voulait eviter qu'il y est du grabuge.
Il soupira alors puis son regard se déposa sur Giulia, pendant qu'il retenait toujours les deux jeunes hommes...