Rendez vous. (Pv)

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Heidiline avait reçu, ce matin, un message sur son téléphone, qu'elle utilisait peu en ce moment, de la part d'Ethan. Ce dernier lui demandait de le rejoindre à Central Park en début d'après midi. La jeune femme avait cru comprendre que la raison de ce rendez vous, était qu'Ethan voulait parler, parler d'eux. Après s'est tourné l'esprit dans tous les sens possibles, Heidi en avait conclu que c'était évident. Ils s'étaient rencontrés il y a quelques semaines et vivaient une idylle, inexorablement attirés réciproquement l'un par l'autre. Seulement, malgrès les longs baisers, ils n'avaient pas échangés grands mots. Quelques phrases par ci par là, ils ne savaient rien l'un de l'autre. Certes, tout cela était étrange, trop pour Heidi qui était habituée aux relations rationelles. Entre eux, rien n'était officialisé, cela préservait en quelque sorte le charme de chacune de leur rencontre plus intenses les unes que les autres.

La jeune femme était vêtue d'un pantalon noir communèment appelé "slim" qui finissait parfaitement ses jambes fuselées, amaigrie par une vilaine gastro. Avec cela, une robe pulle cintrée en cachemire gris perle, aux pieds elle avait des escarpins à talons hauts Repetto. Elle se réchauffait avec son trench et son écharpe rose Burberry. La jeune femme faiait dans la sobriété, mais toujours dans la classe. Central Park n'était pas bondé, les enfants terminant leur période scolaire et tous les jeunes de l'Upper partis skier ou faire bronzette à St Barth. Elle vit Ethan sur un banc à quelques mètres. Elle le rejoint et s'assied à ses cotés, ne sachant que dire ni faire...

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Ethan n'aurait jamais pensé à se plaindre de ce type de relations. La conventionalité n'était pas son truc, faire comme les autres histoire de pas passer pour un crétin, il n'avait jamais aimé. Et avait toujours regardé avec un dédain certain les couples qui se dévoraient du regard en se disant qu'ils s'aimaient alors qu'ils allaient se séparer plus vite qu'ils ne l'auraient pensés.

Mais bien qu’il méprise l’amour autant que les gens, il ressentait pourtant pour Heidiline ce qu’il appelait en lui même des crises de mièvreries aigues. Il aurait aimé pouvoir vivre avec elle, si c’était possible, ce qu’on appellerai communément une véritable histoire.
Car si le fait de la voir faisait battre son coeur, si le fait de pouvoir la toucher, l’effleurer à peine éveillait ses sens, il se sentait comme vide à l’idée qu’un jour tout cela prenne fin.
C’est la raison pour laquelle il l’avait conviée au parc. Parce qu’il voulait parler de ça.

Arrivé à l’heure, vêtu d’une tenue dite hivernale (il avait mis une veste), il était légèrement tendu parce qu’il avait à dire.
Et enfin, elle arriva, si belle comme toujours, et s’assit à ses cotés. Sans même l’embrasser. Cette attitude montrait à quel point leur relation était ambiguë. Non qu’il aurait voulu qu’elle se fonde aux moules sociaux, et qu’ils s’embrassent pour se dire bonjour. Mais il voulait simplement qu’elle soit à lui.

Se tournant vers elle, le visage froid, comme toujours (il ne souriait pas souvent) il commença.

- « Bon... Je ne sais pas vraiment quoi dire. En fait, je voudrais qu’on ... Se connaisse mieux... Tu vois? »

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Ethan gardait toujours au visage cette expression froide, presque dure, qui n'était plus inconnue à Heidi. Ca l'avait frappé dès leur premier échange de regard. Mais elle savait bien que même si Ethan était parfaitement heureux, cette expression continuerait de marquer ses traits fins, si bien dessinés. Restait à savoir si actuellement, cela masquait de la joie ou bien était il tout simplement distant... Enfin, il lui dit, qu'il aimerait qu'ils se connaissent... Mieux. Evidemment. Ignorant le comment du pourquoi, voila qui vint toucher Heidi comme un ballon qui éclate. Pourquoi vouloir se connaitre? Evidemment, en restant tant ensembles ils auraient "appris" à se connaitre. Heidi ne comprenait pas qu'il veuille imposer cela ainsi. Au fil du temps ça serait venu tout seul, du moins Heidi espèrait qu'Ethan leur laisserait assez de temps. Ca n'était pas le cas.

Elle passa la main dans ses cheveux blonds, se mordillant la lèvre inférieure, évitant même le regard de Johnes. Non pas qu'elle ai es choses à cacher sur elle...

Ne pouvant laisser planer un tel silence, elle dit enfin:

"Je... Non."

Heidi marqua une pause, cherchant ses mots. Comment expliquer? Elle reprit:

"Je pensais que ça se ferait tout seul.... On ne... Je ne sais pas. C'est tellement étrange une telle relation, je ne sais pas m'imposer des rendez vous uniquement à se bécoter, d'autres uniquement à parler. C'est censé se faire tout seul! Enfin on... On arrive même pas à discuter normalement."

Ces derniers mots résonnaient dans les oreilles de la jeune femme, elle détourna une fois de plus les yeux. Elle alluma une cigarette, pour au moins plonger son regard dans son sac à main...

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Peut-être s’était il mal exprimé. Parfois, malgré le fait que l’on veuille faire professeur de littérature, on arrivait pas toujours à dire les choses que l’on souhaitait vraiment.
Mais il ne comprenais pas pourquoi Heidi réagissait comme ça. Il ne lui avait pas demandé de mettre des mots sur leur relation, c’était tout simplement impossible. Mais en étant aussi distant, il semblait que tout ce qu’elle voyait en lui était quelqu’un à embrasser, à toucher, juste de la chair, de la chair sans âme. Or, ça n’était pas comme ça qu’il se voyait, ni comme ça qu’il la voyait. Tout ce qu’il voulait, lui, c’était l’entendre dire qu’elle ne voulait que lui, et le fait de savoir qu’elle avait grandit dans une maison avec quatre chiens, il s’en fichait un peu. Enfin, pas dans le sens ou ça ne l’intéressait pas, mais si elle ne voulait pas en parler, elle n’était pas obligée.
Tout ce qu’il voulait qu’elle dise, c’était qu’elle lui appartenait.
Mais bien entendu, exposer les choses ainsi, c’était impossible, et lui même ne pouvait mettre sur des mots ce qu’il ressentait.

Le fait qu’elle lui dise non, de la sorte, si sèchement, c’était comme si elle lui disait qu’elle ne voulait pas de lui. Il le ressentit comme ça, comme un coup dans le coeur, disons. Son visage habituellement si inexpressif marqua un air... Différent. Comme si l’on voyait qu’il était blessé, mais sans pour autant que rien n’ai changé...

Il la regarda allumer sa cigarette, ne sachant que dire... Et ne dit d’ailleurs rien. Il se sentait un peu ridicule d’avoir voulu dire ce qu’il ne comprenait pas lui même, et il ne voulait pas que Heidi le pense... Plus faible qu’il ne paraissait.
Il avait envie de lui dire qu’elle ne comprenait pas, mais c’était lui qui ne comprenait pas... Il inspira, et dit tout simplement:

- « Peut-être qu’on essaie pas... »

Vitalie venait tout juste de terminer ses bagages en vu du surlendemain. Elle s'en allait à Aspen pour le temps des vacances. Elle avait hâte de se retrouver sur les pentes enneigées de la grande montagne. Elle pratiquait le ski depuis ses 3 ans.

Vitalie était maintenant enfin prête. Ces temps-ci elle pensait beaucoup au semaines passées. Elle avait donné sont numéro de portable à un jeune homme à Coney island. Il ne laviat jamais rapellé comme Vitalie s'en attenfait bien sur... Avant de s'envoler vers Aspen, elle voulait une se promener dans les jardins de central park. Rendue au centre du parc, elle vit l'inconnu auquel Vitalie s'ennuyait tant. Il discutait avec une fille blonde... C'était peut-être sa petite amie, mais à présent Vitalie s'en foutait. Elle voulait lui avouer ses sentiments à son égard avant de partir en vacances. Elle se ferait surement jetée, masi elle voulait se "répentir" de ses problèmes avant la nouvelle année.

Elle s'approcha donc de lui d'un pas décidé et le tapota sur l'épaule droite. Il était assez grand, pour ne pas dire très grand. Une chance que Vitalie n'était pas petite, car avec ses hauts talon elle faisait environ 1m80. Elle nA'vait jamais été une pro en amour, pour ne par dire qu'elle était toalement nulle... Quand il se tourna vers elle, il semblait ébahit d'éêtre dérangé dans sa convarsation avec l'aure "pimbeche"... Vitalie aurait voulu lui avouer ses sentiments autrements, mais elle était tellement stressée à preésent que ses paroloes sortirent... Disons assez brusquement...

Je t'aime! Je sais que je ne connais pas ton nom, mais depuis que l'on s'est vu à Coney Island je ne peux cesser de penser à toi...

... Ouais quelle révélation pénible...

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Heidiline tira une bouffée de sa cigarette tandis qu'Ethan proposa la solution qu'ils... n'essayaient peut être pas? Heidi ne sut quoi répondre: chaque fois qu'elle le voyait, il était comme muet, elle tentait bien de faire entrer quelques phrases entre deux baisers mais non, pas de conversation à tenir. Et voila à présent qu'il lui donnait rendez vous unqiuement pour parler, tout ceci était vraiment... Estomaquant? Evidemment qu'elle était raide dingue de lui, sa mine froide s'était attristée lorsque qu'elle avait prononcé le mot Non. La jeune femme en perdait ses moyens, elle aurait tant voulu lui ébouriffer les cheveux, l'embrasser, puis ils auraient été prendre un café afin de relater leur situation respective puis ils seraient allés chez lui, ou chez elle, et enfin tout irait...

Heidi voulut mettre son plan en action, bien que du coin de l'oeil elle voyait toujours une petite silhouette s'approcher. Sûrement allait-elle au stang de glaces un peu plus loin... Non, eh bien non. A l'instant ou Heidi venait d'écraser sa cigarette et décroisait les jambes, la jeune femme brune, qu'Heidi crut reconnaitre en Vitalie, dont la fête ou elle n'était même pas conviée, se révéla être sans aucun succés, cette Vitalie là, tapota l'épaule d'Ethan et lui avoua son amour. Heidi les regarda, tous les deux, le silence planant. Ainsi donc Ethan aurait... Coney Island? L'autre jour, il s'était avéré qu'il avait du quitter les lieux pour se rendre à Coney Island. Heidiline pinça les lèvres, referma son sac et se leva. Ses cheveux étaient portés sur son visage par le vent, elle les retint par sa main et dit:

"Tu fais le coup du Je-te-dirais-pas-mon-nom à toutes les filles que tu rencontre? C'est pathétique..."

Sur ces mots, elle tourna les talons et repartit d'un pas rapide, tête haute, afin d'aller se blottir dans ses draps et se remettre de cela, elle fit un arrêt au Starbuck, elle eut presque les larmes aux yeux revoyant la mine attristée d'Ethan puis enfin Vitalie qui arrivait balancer ses sentiments... Pour garder sa dignité, elle s'empressa de rentrer chez elle.

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Heidiline allait répondre. Tout était si compliqué qu'il aurait eu envie de partir, simplement, et de retourner s'enfermer dans le monde scolaire dans lequel il était enfermé depuis si longtemps. Ses parents avaient raison lorsqu'ils disaient qu'il n'était qu'un bon à rien. Il était incapable de faire quelque chose de bien. Et il avait apparemment réussi à briser la relation qu'il avait avec Heidi. Alors que ça le rendait plus heureux que n'importe quel cours de littérature; Mais ça, il ne pouvait pas le dire. Parce que ça le dépassait.

Et c’est là qu’arriva une autre jeune fille, qu’Ethan avait déjà vue quelque part. Coney Island, apparemment, c’est ce qu’elle lui dit lorsqu’il se retourna. Et elle lui dit autre chose aussi. Qu’elle l’aimait. Les mots qu’il aurait voulu entendre de la bouche de sa pseudo petite amie venaient d’une fille qu’il ne connaissait qu’à peine.

Et dont il ne se souvenait pas...

Passer une main dans ses cheveux, puis se mettre à réfléchir. Mais il n’en eut pas le temps, la vie était comme une dissertation: on avait jamais assez de temps pour réfléchir.

Mais, comme il n’eut pas le temps de le faire, Heidi était déjà partie au quart de tour, ayant très mal pris cette intrusion dans la conversation.
Alors qu’elle allait dire quelque chose. Mais non. Elle l’avait apparemment déçue. Alors qu’il n’y était absolument pour rien. Pour rien.

Et elle partit, les laissant tout deux dans le parc, devenu comme le lieu sordide d’une altercation entre deux, non, trois personnes, dont l’une était complètement dépassée par les évènements. Il n’eut pas le temps de la rattraper. Peut-être n’avait il pas se résoudre à le faire.

Il rebaissa les yeux vers la fille qui venait de lui déballer ses sentiments. C’était... Courageux, de sa part, mais ça ne servait à rien. Il se souvenait d’elle, à présent. C’était la fille qui avait envoyé sa copine lui parler. Quelque chose dans le genre. Et dit, presque tristement:

- « Ethan. Je m’appelle Ethan. »

Il soupira. Il n’était même pas en état de s’énerver. Après tout, ça n’était pas vraiment sa faute, mais plutôt la sienne.

- « Et, tu vois, moi c’est elle que je veux. Et si je ne l’ai pas, alors je préfère rester seul. Désolé. »

Après lui avoir débalez ses sentiments, Vitalie se sentait plus idiote qu'elle ne l'avait jamais été... L'inconnu ne répondit pas tout de suite, se fut la blonde qui lui cracha des mots u visage. Il semblait terriblement décontenancé. La seule chose que Vitalie avait retenue c'étai les mots: "C'est pathétique"... À peine avait elle dit ses mots qu'elle s'en était aller. Assez rapidement disons, puisque le jeune homme n'eut même pas le temps de la rattraper, ce qui les laissa seule dans ce parc.

À présent Vitalie regardait l'inconnu tristement. elle venait de faire une gaffe... Enfin deux. Heidiline, enfin c'est ce nom qui était revenu en tête de Vitalie. Elle semblait sortir avec le grand brun. Et Vitalie avait tout fait raté... Enfin elle devrait s'en fouter puiqu'elle aurait peut-être plus de chance, mais il ne semblait pas vraiment interessé par elle...

Quand Heidi fut partit, il commença à lui parler. Il s'appellait Ethan... Ouais ça aurait pu être un bon début, masi les mots qui s'en suivirent ne firent qu'empirer la situation. Il ne l'aimait pas... Enfin il l'aimait Heidi et si leur relation serait fini il ne voudrait même pas de Vitalie...

Vitalie sentit son coeur se serrer. Elle regardait toujours Ethan masi à présent, des larmes vinrent se joindre dans leur conversation...

- Désolé... *Sanglot* Je crois que j'ai plus rien... à faire ici...

Elle allait se retourner et partir en courant mais Ethan ajouta quelque chose...

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La jeune fille semblait désemparée par sa réponse, et Ethan ne pu s’empêcher de se sentir coupable. En effet, après tout, il lui avait peut-être parlée trop brutalement? Il n’aurait pas du répondre comme ça. Mais... Le choc, et surtout la question qui lui trônait dans la tête: Est ce qu’Heidi lui en voudrait toujours pour ça? Il faudrait absolument qu’il aille s’expliquer avec elle. Il voulait la garder pour lui: tout en elle lui plaisait: son visage au teint parfait, ses lèvres charnues, sa voix légèrement rauque qui lui donnait un air si... Attirant...

Il n’aurait qu’à lui dire qu’il s’en fichait, après tout, tout ce qu’il voulait c’était elle. Et il valait mieux poursuivre la relation ambiguë qu’ils avaient plutôt que de la perdre pour ça.

Mais restait la jeune fille qui pleurait devant lui. Il ne savait même pas qu’il pouvait être aimé par quelqu’un, et après tout, c’était vraiment bien de lui avoir dit. Enfin, pas bien dans le sens ou ça flattait son ego, mais plutôt parce la jeune fille avait au moins réussi à dire ce qu’elle pensait vraiment. Et une réaction pareille était assez admirable. Il sourit tristement, et lui dit alors d’un ton hésitant:

- « Heu... Écoutes, je devrais pas dire ça, mais si tu veux, on peut quand même être... Amis? Enfin... Faut que j’y aille, tu comprends, mais, tu as mon numéro, tu n’auras qu’a appeler si tu as envie de parler... »

Bon, proposer à une fille d’être son ami n’était pas la meilleure chose à faire, peut-être. Mais Ethan n’avait jamais été doué au niveau séduction, et n’avait eu qu’une petite amie avant Heidiline, ce qui expliquait qu’il soit si... Maladroit. Il ajouta alors avant de partir à grand pas.

- « A plus »

Vitalie pleurait toujours quand Ethan lui annonca qu'il voulait être amis... C'était pas vraiment ce qu'elle voulait, mais bon si au moins elle pourrait rester en contact avec lui, elle serait aux anges... peut-être pourrait elle même changer ses sentiments d'amours pour des sentiments d'amitiés... QUi sait avec le temps... Lui par contre il se metterait surement en couple avec la jeune fille blonde de tout à l'heure. Ok, ça lui ferait mal masi elle ne voulait pas dut out perdre Ethan. Peut être même qu'Heidi serait elle aussi une bonne amie... Elles n'avaient jamais eu vraiment la chance de faire plus ample connaissance...

Bien sure, pour l'instant, Vitalie aimait de tout son coeur Ethan... Même elle ne savait pas pourquoi ses sentiments était aussi accrus sachant qu'elle ne connaissait rien de lui.

Elle lui fit alors son plus beau sourire essuya ses larmes et quand il lui dit à plus elle ajouta:

- C'est d'accord... Je veux dire je veux bien être ton amie... Bon et bien à plus..

Elle se dépêcha de se retourna et s'en alla à vive allure...

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