Le temps d'un week-end, tout peut arriver [pv GWD]

Toujours à New York, toujours en 2007, nouvellement en Juin. L'été se faisait sentir, évidemment et les élèves de Constance Billard, et en particulier les Terminales, avaient cessé de s'y rendre. C'est bien beau de ne pas avoir cours mais il vaut mieux avoir un planning chargé et un carnet d'adresses [Merci ma Choute xD] bien garni, sinon, c'est la mort d'ennui assurée. Ca serait triste quand même pour une upper sidienne de ne pas savoir quoi faire de sa journée... Il est dit qu'à New York, il est impossible de s'ennuyer, mais il y a des jours comme ce vendredi où l'on ne sait absolument pas quoi faire.

Et ce fut le cas pour cette très chère Giulia Gattina. Peut-être avait-elle trop d'idées et au final, elle ne savait absolument pas quoi faire. Triste à dire tout de même. La jeune italienne était encore allongée dans son lit, regardant le plafond immaculé de sa chambre. Les rayons de soleil parcouraient le chemin du combattant à travers les volets mais ils étaient bien présents, laissant ainsi le soleil éclairer la chambre de la jeune femme. Etonnant, mais il n'était que onze heures du matin, soit trop tôt pour Giulia. Qui se rendormit dès qu'elle aperçut l'heure.

Elle se réveilla quelques heures plus tard. La nuit porte conseil. Enfin dormir, le nuit avait disparu sans laisser de trace en faite. Mais Giulia avait maintenant une idée précise de ce qu'elle voulait faire. Pendant ces quelques heures, le souvenir d'un film récemment sorti au cinéma lui revint. Enfin, c'est surtout l'acteur principal qui lui avait tapé dans l'oeil.

- Giulia, arrête de rire.
- ...
- Giulia, c'est chiant là.
- ...!
- Non mais t'es sadique ma parole.
- ... Mais naaan, c'est comique !
- La fille vient de crever et tu te marres comme une malade !
- ...
- Giulia ?
- Quoi ?
- La ferme.
- Hum..
- Merci.

Giulia tourna la tête dans la direction de son amie, en plissant les yeux. Ok, ok, restons calme. C'était ça le problème entre Giulia et le cinéma, elle devenait presque hystérique. Tellement, qu'elle éclata de rire. Quelques spectateurs se tournèrent vers elle en grinçant des dents. C'est vrai que la scène avait rien de particulièrement comique. Les inspecteurs venaient juste de découvrir un cadavre. Hum, oui hilarant. C'est donc sans grande surprise que Giulia se retrouva rapidement à l'extérieur du cinéma, seule, se remettant de ses émotions et essayant d'arrêter son fou rire. Inutile de préciser qu'elle avait l'air d'une nunuche niveau II.

La jeune femme leva les yeux. Le ciel était encore bleu et il faisait assez chaud. Elle avait eut la bonne idée de mettre un slim blanc Diesel, un haut rouge à pois blancs Just Cavalli, des escarpins Jimmy Choo rouges et un sac de la même couleur Fendi, son sac fétiche. C'est en repassant devant le Plaza que le souvenir de sa soirée avec Brooke lui revint. Soirée mémorable, évidemment. La chambre sacagée, la course poursuite avec deux cinglés, l'arrivée dans une boite de strip-tease, leur kidnapping par les deux cinglés et finalement, Ashton lui-même qui leur annonçait qu'elles avaient été piégées. Un sourire aux lèvres, ses pieds la menèrent directement à l'immeuble où vivait Brooke. Arrivée devant la porte, Giulia frappa énergiquement, plusieurs fois. Si bien que, quand la porte s'ouvrit, Giulia ne s'en aperçut pas immédiatement et faillit saluer Brooke avec un poing dans la figure. Elle réalisa au bon moment ce qui pouvait se passer et s'arrêta dans son geste.

Saluuut, sale garce, remise de tes émotions ? Tu me laisses entrer fit-elle avec un grand sourire, oui Giulia est ce que l'on qualifie de fille ingenable. Brooke s'écarta finalement de l'encadrement de la porte et les deux filles se dirigèrent vers le luxueux salon de l'hote.

Début juin, les oiseaux chantent, les filles sont en bikinis et les mecs sont à poils...
Gnée ? Traduction exacte du discours de Mme Davinson sur le répondeur de sa fille. Avec biensur le mot de la fin, "Protège-toi !".
Mon Dieu.
Mais comment pouvait-on avoir une mère aussi, pseudo-ado ?
Brooke leva les yeux aux ciels avec un sourire qui disait "Tageule et reste dans ta France pourrit !!!".
Il était quoi..9H00 du matin, et le frère de Brooke était partit à l'aube, claquant la porte derière lui biensur, pour réveiller tout ceux qui voulait d.o.r.m.i.r. Et depuis quand son frère était de retour chez lui ? Hum, he bien depuis 10 heures à peine. Brooke ne l'avait même pas aperçus, mais elle savait déjà qu'elle ne le reverrais pas avant longtemps, et qu'elle aurait droit aux coup de fils rasoire du mois. Ce matin-là, elle était infectée par une terrible flemardise..9H00 passé, elle s'installa dans son canapé avec un bol de céréals, préparer par sa sale garce de boniche. Elle zapa, puis tomba sur une redifusion de l'émission en vogue du moment "Punk'd"..elle ne put s'empêcher d'exploser de rire lorsqu'elle se vit en sous-vêtements, en compagnie de Giulia.

Cette soirée avait été..mémorable, oui, c'était mémorable. En récapitulant, "défonçages", course poursuite, dans les poubelles dans les rures et dans les égoûts, suivit de la fameuse imitation des 2 russes streap-teaseuses de la boîte fétiche de leur profs' de Constance. Et finalement, le ténébreux Ashton Kutcher en personnes sortant d'une camionette en leur annonçant qu'elles avaient été litérallement piégées. Brooke était habillé..toujours avec son pyjama, de la semaine. Oui, elle changait tout le temps. Là, elle portait un débardeur/marcel blanc, et un caleçon de mec..Mmmh, d'où elle sortait ça ? xD
Sans faire attention, Brooke s'assoupit dans son canapé, la télé allumé, son bol entres les mains. Quand soudain, quelqun frappa à la porte. Elle se réveilla d'un bond, les cheveux vaguement attaché en queue de cheval, et se leva lourdement, et alla ouvrir la porte, son bol de céréals à la main, et la bouche pleine. Il était quel heure au juste ? Elle épserait de tout coeur que ce ne soit pas l'un de ces mecs avec qui elle avait passé..d'agréable moment qui venait maintenant la voire, dans ses vêtements ?

He bien non, ce n'était que sa chère amie Giulia Gattina. Qui faillit la frapper en pleins visage..sa aurait été bien, encore.
Elle souria à son amie avant de se dégager de l'entrée, toujours la bouche pleine elle répondit à son amie qui lui demandait si Brooke s'était remise de ses émotions, un peu ouaiiiiii !! xD

-Chalou cHale gaChe !
Ouai, tout à fait remise, Cha cHe voit non ?

Euuh, il fallait vraiment que Giulia répondre à cette question ?
Parcque même si c'était le cas, son look, je-suis-pas-réveiller-et-je-vous-emmerde-tous, contre-disait quelques peu ses propots..quelques peu seulement !!

Si Giulia ne connaissait pas si bien sa garce d'amie, j'ai nommé Brooke, elle aurait pu croire qu'elle venait de se faire jeter par sa dernière conquête. Mais c'était impossible, on ne plaquait Brooke. On se faisait plaquer par elle. C'est donc avec un air de perplexité affichée que Giulia détailla la tenue de Brooke quand elle vint lui ouvrir la porte. Un débardeur immaculé avec un caleçon de mec ? Oula, ça ne ressemblait pas du tout à Brooke. Giulia se dit tout d'abord que ça devait être un souvenir de son dernier copain en date. Ce qui était fort possible, toutes les filles aiment porter les fringues de leur copain. Même si ce sont des caleçons déjà usés. Ew. Puis, Giulia dévisagea son amie de la tête aux pieds, l'hypothèse qu'elle vienne de se réveiller était tout à fait possible. Après tout, c'était à cette heure que la jeunesse dorée upper sidienne aimait se lever. Le fait que Brooke tienne dans ses mains un bol et mâchonnait des céréales confirmer encore plus cette hypothèse. Brooke finit par répondre à sa question après l'avoir saluée. Ca m'étonnerai qu'on lui ait déjà dit qu'elle était ultra sexy quand elle avait des céréales plein la bouche, des traits fatigués et affublée ainsi. Néanmoins, Giulia ne fit pas de remarque, elle connaissait que trop bien les réveils difficiles. Et puis, c'était Brooke (comme si ça excusait tout...). Mais, la déclaration fracassante de Brooke finit par faire craquer Giulia, qui partit dans un nouveau fou rire. Il était difficile de tenir sa langue. Langue de pute qui plus est. Encore plus difficile.

Je ne dirai pas ça de cette manière là... Tu les as déniché où ses fringues, je croyais que pour dormir, tu ne portais que du Victoria's Secret déclara-t-elle entre deux rires tandis qu'elle franchissait la porte d'entrée de Brooke pour arriver à l'intérieur de son appartement. Giulia avait toujours adoré cet endroit, ça allait parfaitement avec le caractère de Brooke, à la fois frappa-dingue, glamour et tendance.

Mais bon, tu es pardonnée s'écria-t-elle en s'affalant sur un des canapés qui ornaient le salon de son hôte. Oui, oui Giulia ne changera jamais, c'est dit une fois pour toute. Tu viens de te réveiller ?

Et oui, dans les questions stupides, Giulia pouvait faire fort. C'était les effets nocifs du cinéma, ils la mettaient toujours dans un de ses états... Son côté hystérique et écervelée éclataient au grand jour. Non, non, je divague complètement, Giulia était peut-être hystérique par moment, mais elle était loin d'être une écervelée de première. Giulia était une fille qu'on peut qualifier de.. Garce intelligente. C'est très rare dans l'Upper East Side, croyez moi. Soit on est une garce complètement conne, soit on est un reclus de la société intelligent. Giulia prenait le meilleur des deux cas et s'inventait un caractère bien à elle.

Ce sont les vacances mais franchement... Je m'ennuie.. fit-elle en levant les yeux vers Brooke qui s'était installée à ses côtés. Sans se faire attendre, Giulia fouilla dans son sac, à la recherche de la seule chose qui pourrait lui procurer un peu d'amusement immédiatement. Ne faites pas l'étonné, vous voyez très bien de quoi je parle. Giulia avait hérité de ce cher Damon de sa fameuse boite métallique où il avait pour habitude d'y ranger quelques joints roulés à l'avance. Et ce n'est pas demain la veille que cette tradition changerait. Giulia posa la petite boite sur la table, la laissant ainsi giser sur la surface de verre. Elle hésita quelques instants, puis tendit un joint à Brooke (qui était surement une des seules filles à partager le même gout pour les drogues) avant de s'en allumer un. Elle tira plusieurs fois dessus, accélérant quelque peu les effets de la drogue sur son organisme.

Hey Brooke... T'as pas envie d'aller faire un tour en Floride demanda-t-elle à sa voisine, un sourire en coin, avec une lueur de défi dans les yeux. Ouh, vous savez déjà quels sont les effets des joints sur Brooke et Giulia... Et à ce moment là, Giulia n'avait qu'une envie, partir sur le prochain avion, en direction de Miami !

La réaction de Giulia était tout à fait préméditer. Se moquer des fringues tout miteux de Brooke étai très très rare, étant une vrai fan de mode, celle-ci ne se laissait jamais aller. Mais pour une fois, vue que ses dizaines d'autres pyjama était quelques part dans l'appartement, elle ne prit pas la peine de faire attention à ce qu'elle allait mettre. Surtout qu'elle n'attendait personne en particuler. Enfin bref, Giulia lui demanda donc où-est-ce qu'elle avait réussi à dégoter des fringues aussi laide, puisque, apparament, ce n'était pas du Victoria's Secret. Apparament, non. Brooke ria légèrement à la réponse de son amie, après avoir posé son bol de céréals à moitier vide, sur le bar de la cuisine à deux pas où Giulia s'était déjà installer..elle prenait très vite ses aises, et Brooke s'était habituée..avec le temps. Puis elle lui répondit:

-Je t'emmerde sale garce, ne soit pas jalouse. Contrairement aux apparences, ses fringues sont hyper confortables ! Ajouta Brooke entre deux rincanements, pendant que Giulia lui disait qu'elle était pardonnée. Ce qui fit sourire Brooke.
Puis Mlle Gattina continua dans les paroles..qui ne servent à rien. Elle lui demanda si elle venait de se réveiller. En s'approchant du canapé, Brooke se pointa du doigt, fit une grimace, puis sur un ton ironique ajouta.

-Non non, pas du tout, je viens de rentrer de Barney's.

Ohoh, quel humour. Leurs discution plus folles les une que les autres restonront dans les anales. Pour une fois qu'elles ne s'étaient pas choutés, l'une était fatiguée, tendis que l'autre paraissait bizarement surexiter, aller savoir pourquoi. Les deux amies commencèrent à disctuer pendant que Brooke partit à deux pas, dans son dressing. Elle ressortit les cheveux lisses, sa coupe était plus courte qu'auparavant, mais cela faisait tout à fait bien sur elle..évidemment. Brooke s'était enfilée un débardeur vert, avec quelques émeraudes par-ci par-là..émeraudes ? Oui, rien que ça. Et une pantalon blanc, accompagné par les dernières et sublimes ballerines verte Manolo Blahnik.

Puis elle repartit aux côtés de Giulia qui lui disait qu'elle s'ennuyait. Gné ? C'était pas censé être les vacances ? Le genre de moment innoubliable ou vous passez tous votre temps à vous marrez avec vos meilleurs amies ? Bon, peut-être que Giulia était venue pour ça. Puis elle sortit cette veille boîte que Brooke ne pouvait pas supporter. Elle ne supportait pas la boîte, mais ce qu'elle contenait ne la dérangait pas-du-tout. Son amie lui proposa un joint. Elle le prit entre ses doigts, mais sans l'allumer, elle l'avait entres ses doigts, c'est tout. Alors que Giulia avait déjà tout presque fumée.

Et on dirait bien que ce n'était pas le premier de la journée pour elle. C'était une apparance, ou Giulia mourrait d'envie de refaire une connerie, genre, pire que la dernier fois, avec Punk'd ?
He bien non, Brooke ne se trompait pas. Puisque Giulia s'empressa de lui demandait si elle voulait qu'elles aillent faire un tour en Floride..Gné ? Pour elle, un tour voulait-il dire, une escapade d'une journée, pour genre, changer d'air ? Ou rester le temps des trois mois de vacances à draguer tout en allant à la plage ? Aucune idée. Brooke regarda son amie d'un air étonner..quoique qu'elle devrait être habituée, à force, et lui répondit:

-Euuh, Giulia, quesque tu as encore fumée avant de venir ? Les effets nocifs des joints sont donc si terrible sur toi..dit-elle en soupirant, avant de se mettre à rire. Je veus dire, tu sais, la Floride..c'est loin d'ici, c'est pas la Vème avenue !

Puis Brooke partit dans un fou rire. Elle adorait vraiment Giulia, mais parfois elle se demandait vraiment comment elle pouvait sortir des truks aussi dingues..facile, elle fumait..trop ! xD Puis Brooke prit le briquet des mains de son amie avant de commencer à son tour de fumer ce fameux joint..qui le fera peut-être changer d'avis..vous savez, les effets nocifs des joint n'était pas non plus sans réaction sur Mlle Davinson...
Floride, attention les yeux..les deux superbe-diva-mais-complétement-défonçé-arrive !!

Oh, oh, mais c'est que Mademoiselle Davinson pouvait se révèler vulgaire quand on la cherchait un peu. Dans le cas présent, le problème venait de Giulia qui avait osé critiquer la tenue "spéciale-dimanche-mise-en-semaine" que portait Brooke. Sacrilège ! Si Giulia charriait Brooke sur sa tenue, le monde ne tournait plus rond ! Ou les circonstances étaient atténuantes. Réponse B, c'est mon dernier mot Miss Davinson. Et c'est la bonne réponse ! Youhouh.

Je ne répondrai pas à cette provocation déclara Giulia avec un sourire mesquin. Oh, non, ne vous fiez pas aux apparences, Giulia a-do-rait cette sale garce de Brooke. Elle ne connaissait pas beaucoup de personnes qui s'étaient faites piéger par Punk'd. Haha, blague à part. Et on continue dans les petites vannes adorables échangées entre Brooke et Giulia avec un "Non non, pas du tout, je viens de rentrer de Barney's". Il ne faut pas que Brooke prenne la grosse tête mais Giulia éclata de rire, sans doute les premiers effets du joint qu'elle fumait.

J'ai bien du mal à le croire répliqua-t-elle après avoir recraché de la fumée et regardé Brooke, une nouvelle fois, des pieds à la tête avec un air moqueur. A croire que ce fut la réplique de trop, quoi que Brooke n'était pas le genre de fille à être vexée pour rien, mais elle partit à l'assaut dans son dressing room, conversant en même temps avec Giulia. Méchant et gratuit, mais depuis quand les blondes pouvaient faire deux choses à la fois ? Brooke ressortit finalement, complètement métamorphosée et bien mieux ainsi. Cheveux lisses, pantalon blanc, haut vert choc&chic et une superbes paire de Manolo. Et là petit French Touch, c'était inné chez Brooke. La jeune française resta quelques instants sans allumer le joint que Giulia lui avait offert. Contrairement à la jeune italienne qui ne voulait pas laisser le sien en paix et tirer dessus dès qu'elle ne parlait pas. Moments rares mais ça lui arrivait, par exemple en attendant la réponse suite à sa question fracassante conscernant une possible escapade en Flooooride. Et quand Giulia disait "escapade", Giulia pensait à "week-end passé à Miami à faire la fête, draguer des mecs et se faire dorer à la plage". Le tout accompagné de soleil, drogues et alcool. Et fringues. Et tout un tas de trucs qui riment avec vacances. Tout ce que Giulia désirait c'était de s'éclater un peu. Quitte à s'attirer des ennuis, ou pas. Brooke ne sembla pas vraiment partager le même avis et le même enthousiasme que la jeune italienne. Réponse fracassante et méchante : "Euuh, Giulia, qu'est-ce que tu as encore fumé avant de venir ? Les effets nocifs des joints sont donc si terribles sur toi.. Je veux dire, tu sais, la Floride..c'est loin d'ici, c'est pas la Vème avenue !" accompagné d'un fou rire. Giulia la regarda ahurie, depuis quand Brooke n'aimait plus l'impossible ? Ils avaient déjà rompu ?

Heeey, mais j'ai même pas fumé avant de venir sale garce ! Mais justement, nous sommes dans l'Upper East Side, mon père posséde un jet privé qui est actuellement à JFK... Que demander de mieux ?

Giulia croisa le regard de Brooke, qui tirait comme une malade sur son joint. Et là, BAM. Non pas de coup de foudre, mais ce regard signifiait bien plus. Sans un mot, Brooke se dirigea vers sa chambre, prit quelques fringues à la va-vite tandis que Giulia appelait le pilote de l'avion de son père et un taxi. Taxi qui arriva peu de temps après et dans lequel Brooke et Giulia s'engouffrèrent en direction de l'appartement de cette dernière. Certes elle était dingue, mais pas au point de partir sans aucune affaire... Telle une furie, elle entra à l'intérieur de son appartement, attrapa le premier sac Louis Vuitton qui lui tomba sous la main et y jeta pelle-même : deux maillots de bain, un jean, un short, deux jupes, quelques t-shirts, une robe, des escarpins, des tongs et tout un tas de fringues qu'elle ne mettra pas. Elle redescendit finalement sur la rue et rentra dans le taxi, un grand sourire au lèvres.

Bye bye New York, c'est parti pour Miami !

Pendant que Brooke commençait à fumer son premier joint, Giulia lui répondit qu'elle n'avait pas fumer avant de venir. Quoi ? Quesqu'y pouvait la mettre dans un tel état, mis à part les joints et les garçons, Brooke ne savait pas pas. Elle ne répondit rien, profitant de ce paisible moment, car elle savait que d'ici quelques heures, elles ne seront plus chez elle, à fumer, mais quelques part d'autres, à jouer les tarés de service. Genre, en Floride ? Surment, oui !!
Puis Giulia continua et lui dit que son père possèdait un jet à deux pas d'ici. C'est vrai, que demander de mieux ? Réponse: Léonardo Dicaprio et Jared Padalecki. [Je suis toujours à fond sur eux, comme tu peus le remarquer xD] Mais il ne fallait pas rêver, elles avaient déjà dans leur répertoire le numéro d'Ashton Kutcher, ce qui renait la moitier des filles qu'elles connaissaient jalouse. Enfin bref, après reflexion ou plutôt, après un joint, Brooke avait littérallement changer d'avis. Son amie l'entraîna dans son dressing, puis elles sautèrent dans un taxi qui les emmena chez Giulia qui prit elle aussi, beaucoup plus d'affaires que nécessaires. Enfin monter dans un taxi, leur sac prada et louis vuitton entre elles, elle se précipitèrent dans le jet du père de Giulia. Avant de monter à bord, Giulia sortit une phrase du genre "Bye bye New York, c'est parti pour Miami !" ce qui fit rire Brooke.

Dans quel situation elles allaient encore se mettrent ? Bon, du moment qu'elles restaient soudées, rien ne pouvaient leur arrivées, pas vrai ? Ha, grosse erreur, c'est ensemble qu'elles s'attiraient le plus d'ennuie, et qu'elles remplissaient leur casier près des policiers. Jeunesses dépravés. ON VOUS AIMES. Tendis que Giulia avaient déjà jetés leur bagages quelques part sur le jet, Brooke remarqua deux jeunes garçons qui devaient avoir quoi, 13 ou 14ans qui demandèrent à la jeune Française si ils pouvaient monter à bord avec elles. Brooke ria -de moquerie ? Ouaiii- avant de leur dire:

-Vous ne connaissez même pas le sens du terme d.é.f.o.n.c.é.s. alors à quoi bon !!

Elle s'arrête là, parcqu'elle pouvait continuer pendant longtemps pour leur dire tout ce qu'ils ne connaissaient toujours pas. Et il ne fallaient pas compter sur nos filles shoutées pour leur apprendre des choses. Surtout pas. Les deux petits gnomes partirent têtes baissés. Brooke avait oubliée à qu'elle point les petit était suceptible, et elle avait égallement oublier à qu'elle point elle aimait les vexée !
Assez discuter. Elle rejoignit Giulia qui avait mis la radio à fond et qui passait le dernier Fall Out Boy "This ain't a scene", qu'elles adoraient toutes deux. Après plusieurs déhanchement sur ce tube, Giuia prit les commende du sublime jet, qui, en rentrant, risquait soit d'avoir quelques casse, soit d'avoirc quelques garçons à bord. Enfin partit, Brooke d'un air pseudo-inquiet demanda à son amie:

-Tu sais te repérée avec un gps toi ? D'habitude ce ne sont pas tes..domestiques qui s'en servent ?

Oui, je disais donc avec un air pseudo inquièt, car étant complétement défoncé après 4 joints, Brooke se foutait totalement de savoir si elles arriveraient sur une île déserte ou en Floride.
Mais Giulia semblait très sur d'elle. Rassurant, ou pas. Voilà maintenant plus de quatres heures qu'elles étaient dans le jet, et elles commencaient réellement à en avoir mar, sa pouvait pas genre, aller plus vite se truk. Brooke partit aux côté de son amie, et sans faire gache, s'accouda sur des boutons de toutes sortes. Huh, Brooke n'avait pas retenue l'une des seuls leçon de sa mère, lui interdisant de toucher à quelquonques boutons lorsqu'elle ne savait pas à quoi il servait ? Apparament non.
Oups ?

Il semblerait que le week-end s'annonçait.. très bien. Ou le contraire. On ne sait jamais ce qui va arriver avec nos deux garces d'amies, j'ai nommé Brooke et Giulia. Vous avez encore en tête l'épisode de Punk'd. Que c'était drôle de piéger deux membres de la jeunesse dorée. Mais les deux filles étaient trop défoncées et saoules pour avoir peur ou quelque chose comme ça. Résultat, que des bons sourvenirs. Et bien évidemment, elles voulaient remettre ça. En mieux évidemment. Giulia venait tout juste de rentrer dans le taxi, sacs à la main, remplis de fringues inutiles. Elle avait aussi eu le temps de s'emparer de sa caméra numérique, ça pourrait peut-être leur servir pendant le week-end, pour immortaliser les moments qu'elles allaient passer. Elle fit part de son idée à Brooke tandis que le taxi les conduisait vers JFK, où un avion les attendait pour voler vers la Floride.

Le week-end s'annonçait déjà mouvementé, Giulia le pressentait surtout que c'était toujours avec Brooke qu'elle faisait les pires conneries. Enfin non, c'était surtout avec Brooke qu'elle passait son temps complètement défoncée. Nuance, mais même résultat... Même quand nous sommes issus de la progéniture upper sidienne, on ne passe pas à travers les controlles de sécurité, quelques minutes de perdues mais au moins, de gentils monsieurs se chargèrent de porter les valises des demoiselles jusqu'à leur avion, qui était prêt à décoller. Giulia chercha son amie des yeux et la trouva finalement, à l'autre bout de la salle, en train de parler visiblement avec des adolescents. Rhaa, Brooke, toujours en train de draguer. Elle sombre même dans la pédophilie maintenant. Giulia se dirigea droit vers elle, en lui crochant le bras.

Je ne savais pas que tu aimes les ados pré-pubères chère garce fit-elle avec un grand sourire hypocrite, enfin pas hypocrite dans le premier sens du terme, c'était juste un petit jeu entre Brooke et elle. Après quelques minutes d'attente supplémentaires, on les fit embarquer. Comme d'habitude, quelques personnes avaient été recrutées pour le plus grand plaisir des deux voyageuses. Un pilote, parce que non ce n'est pas Giulia qui conduit (xD), et deux hotesses prêtes à se plier en quatre pour la jeunesse dorée new yorkaise, ce qu'elles firent naturellement. Coupes de champagne, macarons et d'autres trucs à se mettre sous la dent.

Au bout d'une heure sans bouger, Giulia se dirigea finalement vers la cabine où se trouvait le pilote et son équipier. Le premier était attentif tandis que le deuxième était en train de dormir tranquillement. Brooke l'a rejoint finalement, à croire que la jeune française déteste être toute seule, "Tu sais te repérer avec un gps toi ? D'habitude ce ne sont pas tes..domestiques qui s'en servent ?" fit-elle alors tandis que Giulia s'amusait avec ce fameux GPS sans que le pilote le remarque.

Euh oui normalement fit-elle avec un grand sourire, en reposant le GPS à sa place tandis que Brooke s'accoudait tranquillement et dangereusement sur le tableau de bord. Oh, oh... C'était pas une bonne idée. Mais alors pas du tout une bonne idée. L'équipier du pilote se réveilla en sursaut quand il entendit un cri strident et lança un regard noir aux deux filles.

Vous n'avez pas le droit d'être là, merci de regagner vos places fit-il une voix glaciale,toujours avec un air froid et méchant. Giulia ne se fit pas priée, Brooke non plus. Les deux filles se rassirent sans un mot dans leurs fauteuils respectifs sans un mot... Avant d'éclater de rire.

Quel abruti de mec ! s'écria Giulia entre deux rires. Quelques minutes plus tard, l'avion perdait de l'altitude puis toucha le sol. Non, non, pas de crash, juste l'aterrissage. Brooke et Giulia se précipitèrent vers la sortie, histoire de s'exposer au soleil. Sauf qu'il n'y avait pas de soleil... Non mais c'est quoi le délire, pourquoi il ne faisait pas beau ? on était au mois de Juin bon sang. Giulia soupira et prit un air vexé en regardant Brooke.

C'est vraiment paaaaaas juste s'exclama-t-elle en lançant un regard noir à une des employés de l'aéroport. Comme si que c'était de sa faute. Giulia alluma son portable et composa le numéro de la compagnie de taxis. Quelques minutes plus tard, les deux new yorkaises étaient collées/serrées dans un taxi miteux en direction de l'hotel Hilton.

Tu veux faire quoi alors demanda Giulia quand elles purent à nouveau respirer normalement, c'est à dire quand le taxi les déposa à l'endroit désiré. Brooke n'eut pas le temps de répondre, pas tout de suite du moins, quelques gouttes vinrent s'écraser sur le sol. C'est pas vrai, il pleut s'écria Giulia avant de se mettre à courir pour être le plus vite à l'abri au Hilton.

Maintenant dans l'avion depuis trop longtemps, les deux jeunes femmes de plus en plus impaciente d'arrivées à destination, ayant envie de sensations encore plus forte..que les joints ? Que de se faire courser par des pseudos-psycopathes, qui semble juste être de simples acteurs de Punk'd ? Difficile à faire.
Après avoir jouer à multiples jeux et tous aussi idiots les uns que les autres, désoler de ne pas les citer, mais vous auriez pitier de nos pauvres garces. Leur impatience commenssait au fure et à mesure à s'évaporer. Giulia décida dabors la première, à aller voire comment se passait le vol, et surtout quand il allait se terminer. Puis Brooke l'a rejoina. L'un des deux pilotes s'était assoupis et l'autre était bien trop dans son truk pour dégner lever le regard sur nos deux jeunes femmes. Il aurait mieux fallut qu'il lève son nez tout recroquevillerrrr..bouh, et faire attention de dire à Brooke de ne pas s'accouder, ni toucher à n'importe quel boutons..heureusement pour elle, le bouton servait uniquement à sortir les appareils à oxygènes en cas d'incident, ou un truk du genre.
Evidemment, cela ne fut sans SILENCE, sa avait fait un bruit d'enfer à vrai dire, ce qui éveilla les soupçons du pilote qui dormait. Il sursauta et les fit tout de suite dégarpir..hého, faut pas s'énerver, elle voulait juste voire comment sa faisait..de..d'avoir un crash ??

Enfin bref, l'attérissage se fit quelques minutes après ce petit incident. Elles décendirent munient de leur valisent, trop nombreuse certes, mais indispensables. Puis elles restèrent comme, bloquées, par le paysage plus que gris que jamais, qui se déroulaient sous leur yeux. Bouhou, c'était pas juste. Il était pas censé faire beau, chaud, des personnes torse-nu partout ? Ha non, c'était vraiment pas juste pour notre très cher jeunesse dorés, habitués à avoir ce qu'elles voulaient..mais il était tout de même difficile de s'énerver..sur le soleil. Ha mais vous pouviez, seulement, il y avait deux conséquences: -L'une était que le soleil ne vous répondais, et ne vous écoutais pas..ce qui est censé être logique. -Et la seconde était que vous étiez tout simplement prit pour un attarder mentale..dans chancun des cas, vous étiez tarés. Mais Giulia se contenta de regarder son amie et de lui dire que ce n'était pas juste, et Brooke se contenta de lui répondre:

-J'éspère que l'hôtel à une piscine... et des UV gratuit !!

D'un ton désespéré, Giula appella aussitôt la compagnie des taxis. Après quelques minutes d'attente, elles montèrent dans le taxi miteux, puis descendirent l'air plus heureuse que jamais, et elles respirèrent l'air comme jamais elles ne l'avaient fait... (xD).
Enfin arrivée devant l'hôtel, plus pressée que jamais de s'amuser Giu' demanda à son amie ce qu'elle voulait faire. Et elle n'eut même pas le temps de répondre que quelques gouttes s'écrasèrent sur le bout de leur nez. Nooon. C'était pas possibleee. Elles coururent vers l'abris de l'hôtel Hilton, puis Brooke lui dit:

-Je rêve, pince-moi, je reeeve...

La Floride n'était pas réputé par son mauvais temps. Humm non, pas vraiment. D'un air déseperées, les deux jeunes femmes se firent portées leur valise, voilà au moin au bonne choses. Arrivée dans la somptueux Hall, elles attendirent leur tour pour confirmer leur réservations.

Quand soudain, deux silhouettes d'hommes surment apparurent dans ce même Hall, trempée de la tête au pied..et surtout, beau comme des dieux. Je ne sais pas si la description était à la hauteur de la vision que contemplait Giulia et Brooke à cet instant. Entre un Dieu-Grec ou un homme fait pas Dieu lorsqu'il se sentait au plus fort de lui même..ils n'étaient même plus comparable aux J&J..c'était vraiment, vraiment pour dire...

Brooke avait raison, ça ne pouvait pas être possible, c'était sans doute un rêve qui tournait en cauchemar. Comme pour vérifier cette hypothèse, Giulia obéit à son amie et la pinça aussi fort qu'elle le pouvait. Brooke ne s'attendait sûrement pas à ce que Giulia l'écoute d'ailleurs. "Pince moi je rêve" est souvent une expression à prendre au second degré. C'est comme dire "Je mettrai mais deux mains au feu" quand vous êtes surs et certains que vous ne vous trompez pas. Mais dans le cas contraire, est-ce que vous iriez vraiment mettre vos deux mains au feu. Non, évidemment. Giulia lança un regard amusé à Brooke qui se frottait douloureusement le bras, où la jeune italienne l'avait pincé, en lui laissant un regard noir.

Je t'ai seulement écouté, c'est toi la coupable, la prochaine fois tu feras attention à ce que tu dis fit-elle avec un sourire en coin tandis que Brooke cherchait sans doute un moyen de se venger, en la pinçant par exemple. Original. On y avait même pas pensé. Les deux filles furent interrompues dans leurs chamailleries grâce à une merveilleuse apparition. Un miracle !

Pince-moi, je rêve s'exclama Giulia avec un grand sourire tandis que Brooke s'exécutait, arrachant un cri de douleur chez Giulia. Help, I need somebody, help, not just anybody, help, you know I need someone, help. Giulia manquait d'air. Non pas que le geste de Brooke pouvait la tuer, genre. Mais cette apparition en plein hall d'entrée était digne... digne d'un film à l'eau de rose. Vous savez, deux princesses de Park Avenue décident de partir quelques jours en Floride mais dès leur arrivée sur place tout tourne à la catastrophe, jusqu'au moment où leurs se posent sur deux nouveaux arrivants magnifiquement sublimes. Et là, le beau temps revenait.

Giulia jeta un coup d'oeil à travers la fenêtre, non il pleuvait toujours. Comme quoi, les miracles ne se produisent jamais. Même si c'est le film de leur vie. Brooke et Giulia étaient comme des prédatrices, elles se préparaient déjà à aborder ceux deux semi-dieux. Physiquement tout d'abord, Giulia remit ses cheveux en place et vérifia sa tenue, remettant en ordre son jean et son débardeur. Puis psychologiquement. Ca c'était le plus facile : "je sens qu'on va s'éclaaaaater ce week-end" lui criait une petite voix défoncée. Il semblait en être de même pour Brooke. Giulia reposa son regard sur les deux hommes, ils semblaient aussi attendre quelque chose dans leurs deux costards-cravates Hugo Boss pour le premier ou Ralph Lauren pour le deuxième.

Mesdemoiselles ? Votre chambre, la suite présidentielle, est prête, pouvez-vous me suivre s'il vous plait déclara un petit homme d'une cinquantaine d'année qui arrivait à peine aux épaules de Giulia. Oui, enfin elle avait des talons de 5 centimètres. Giulia, lança un coup d'oeil à Brooke qui semblait être frustrée qu'on l'interrompe dans sa mission de drague. La frustration tait un sentiment peu connue de la jeunesse dorée upper sidienne, ils étaient tous habitués à avoir tout ce qu'ils veulent au moment où ils le veulent.

Les deux filles se consultèrent du regard et en arrivèrent à la conclusion suivante : mieux valait suivre ce crétin d'un mètre de haut et avoir la suite qu'elles voulaient plutôt que d'aller se jeter sur leurs prois, rembarer le crétin et ne pas avoir d'endroit où dormir. Les filles avaient tout de même le sens des priorités, il ne faut pas croire tout ce que l'on vous dit.

Vos valises ont déjà été portées dans votre chambre par notre personnel fit le petit bonhomme, pensant que ça interesserait les deux jeunes femmes. Ces dernières s'en moquaient totalement, tant que leurs valises étaient dans la chambre, c'était cool. Là, elles étaient plus en train de lutter contre le sentiment de frustation qu'elles ressentaent à cause de cet abruti fini qu'elles suivaient comme des petits chiens pour se rendre à leur suite. Suite payée avec la carte de crédit de Papa et maman. Suite présidentielle, évidemment, la jeunesse dorée méritait et voulait le must du must.

Ils arrivèrent bientôt devant la porte où était inscrit le numéro 54 en une belle police dorée. La classe, on l'a ou on l'a pas, tout simplement. Le petit homme, surnommé mentalement "Le Nain" leur donna chacune un badge de sécurité, destiné à pouvoir entrer et sortir de leur chambre et leur tint la porte ouverte.

N'hésitez pas à appeler le service d'étage si vous avez besoin de quelque chose en particulier fit-il avec un clin d'oeil avant de refermer la porte. On pouvait avoir le numéro de la chambre des deux hommes du Hall ? Giulia fit demi-tour et contempla quelques instants la chambre qu'elle occuperait quelques jours avec Brooke. C'était immense, leur suite faisait la taille d'un loft d'un riche avocat à New York. Les murs étaient d'un blanc éclatant, contrastant ainsi avec le mobilier de la pièce qui était plutot dans les tons rouges/roses. La suite semblait aussi bien équipée, un écran plasma était accroché au mur en face des deux lits king-size, un bar avait été installé à l'autre bout de la pièce, des fauteils en cuir été mis à disposition des occupantes de la suite. P.A.R.F.A.I.T. Giulia était même sûre que la salle de bain était occupée par un bain à remous. Chouette.

Comment se rapellé, que lorsque vous parliez avec Giulia Gattina, il avait de forte chance que cette dernière prenne tout au pied de la lettre ?
Brooke eut la bonne idée de dire à son amie de la pincer, mais logiquement, les personnes "normals" comprennent, et acquessent d'un signe de tête.
Mais Giulia ne fit pas comme tout le monde..pour changer. Elle pinca Brooke, du plus fort qu'elle put. Hum, elles n'étaient pas censées être genre, amies ?
Brooke se frotta le bras, devenus rouge ecarlate, comme si sa pouvait faire partir sa douleur, tout en lançant un regard noir à son ex-amie. Mais il fallut que deux sublimes spécimènes arrivent pour qu'à son tour, elle pinça le bras de Giulia... le concepte de Brooke était simple, si elle avait mal, pourquoi serait-elle la seule et l'unique ? Autant faire partager... drôle de théories.

-Sale garce, depuis quand tu écoutes ce que je raconte. lui dit-elle avant que les deux garçons n'arrivent. Et qu'elle puisse à son tour se venger. Niark Niark.

Tout se passait comme prévus dans leur têtes de sales garces. Elles étaient quasi-sur que les deux mecs et elles allaient passer une bonne partie de leur séjour ensemble. Ou une bonne partie de leur nuit ? Oui, tout se passait comme prévus, jusqu'à ce qu'un petit homme boudiné dans son talleur arrive et leur demande de le suivre, direction leur suite. Les deux jeunes femmes se regardèrent d'un air de dire "Qui le tue dabords ?". Le pauvre n'avait rien compris ? Apparement non. Bouh, aurevoir joli messieurs. Brooke n'avait qu'une envie, repartir en arrière, et courire les voirs, seulement en tournant la tête, elle ne vit plus personne. Huh, la merde. Bon tant pis, soit elles chercheront pendant des heures dans l'hôtel, soit..soit d'autres magnifiques garçons arriveront...
Mais elles pouvaient entre autres, se réconforter avec leur chambre, plus luxueuse que jamais. Elles étaient très habituées au Plaza, où elles se rejoinaient plus d'une fois par semaine. Les hôtels Hilton n'étaient pas leur priorité. Priorité à revoir. Car leur lit king-size, leurs fauteuils en cuir, et surtout, ha oui surtout, le bain à remous. Humhum, j'en connais deux qui se lamenteront dans une certaine -gigantesque- baingoir, une une de champagne en main, et pourquoi pas deux garçons à leur côtées ? Le petit gros enfin partit, elles se demandaient toutes deux si elles allaient maintenant, ou plus tard à la recherche des deux dieux humains. Après quelques verres de champagne et tout autant de discutions plus..passionantes les unes que les autres, Giulia et Brooke décidèrent d'aller dans LE fameux bain.

Elles enfilèrent chacune l'un des nombreux bikini qu'elles avaient aportées. Celui de Brooke était tout noir, avec quelques fleurs rouge, et celui de Giulia, rouge avec quelques fantaisies. Oui, ces deux-là s'adoraient, mais pas eu point de prendre un bain, toute nue, et surtout ensemble, enfin... je l'éspère. Enfin dedans, c'était le bohneur absolue, elles avaient presque oubliées à quel point les remous étaient agréable. Et Brooke sortit:

-On est censées être en Floride, l'endroit le plus réputé par son beau temps, et ces journées à ce prélasser sur la plage... Et nous voilà dans un bain à remous, une coupe de champagne en main, c'est presque mieux. Dit-elle toute exitée, après, leur programme était de d'aller se faire des UV, entre autres. Ainsi que de se ramener un nombre incontestable de fringues dans les boutiques du coin, et quelques numéros de téléphone, pourquoi pas xD. Oui, presque mieux. Mais elles entendirent quelqun frapper à la porte. C'est pas possible, leur tranquilité de pouvait donc pas durer plus de dix minutes. Apparement non, dommage. D'un air énervée Brooke dit:

-Si c'est le petit gros, je te jure que je l'étrangle, tu peus lever t'es grosse fesse de feignasse..à ma place ?

Puis elle fit le sourire le plus large qu'elle put, mais aussi le plus hypocrite. Mais Giulia comprit très bien ce sourire. Et même si cette fois-ci, elle avait prit la phrase de Brooke au second degrés, il fallait mieux se méfier, et qu'elle y aille. On ne sait jamais, une pulsion est si vite arrivé... Oh là là !! Je divague. Finalement Giulia accepta, et se leva pour aller ouvrir à la porte, tendis que Brooke s'amusait à finir la bouteilles à elle toute seule, et depuis quand le fais de fnir les bouteilles était un "amusement" ? Bah, depuis genre, toujours ?

Comme la plupart du temps, notre chère italienne avait vu juste. Les deux new yorkaises étaient entrées toutes excitées dans la salle de bain et c'était arrêtées juste à côté du jacuzzi, les yeux brillants. Bon, elles n'étaient peut-être pas aussi émues que ça (elles étaient habituées aux Hilton et aux hotels de luxe), mais dans leurs têtes tournait en boucle la phrase "enfin quelque chose de bien !". Certes, elles n'avaient pas à se plaindre, combien de personnes pouvaient se permettre d'emprunter un jet privé sur un coup de tête pour aller passer quelques jours en Floride. Et même pas pour travailler, juste pour se reposer. Enfin.. "repose", c'est à dire, shopping, fêtes, mecs et tous les autres synonymes du verbe 's'amuser".

Après être restées planter comme deux cinglés pendant cinq bonnes minutes devant le bain à remous. Une des deux filles eut la merveilleuse idée de proposer d'aller chercher leurs bikinis pour se relaxer un peu.. Le voyage avait tellement était éprouvant. Giulia se mit à retourner sa valise pour trouver les bikinis qu'elle avait eu la merveilleuse idée d'amener avec elle. Après quelques minutes de refléxions, Giulia se décida finalement pour le Chanel qu'elle avait acheté aux soldes chez Barney's. Un maillot de bain deux pièces rouges avec quelques fantaisies. La jeune italienne revetit finalement son peignoir en éponge rose et se dirigea d'un pas rapide vers le bar. Comme dans toutes les suites d'un Hilton, il y avait 99,9% de chance qu'une voire plusieurs bouteilles de champagne soient au frais. Gagné ! Giulia rejoint finalement Brooke dans leur immense salle de bain, une bouteille de champagne et deux verres à la main. Giulia se débarassa de son peignoir, non elle ne comptait pas faire un strip tease juste pour Brooke. Elles étaient amies certes mais ça en restait là. Giulia n'avait jamais eu de tendances lesbiennes. Brooke non plus, enfin je suppose. La jeune italienne finit par rejoindre la jeune française dans le jacuzzi. C'était un des endroits où Giulia s'endormait volontiers, il suffisait juste de fermer les yeux comme cela et de se laisser aller... Malheureusement, Brooke semblait en avoir décidé autrement, elle avait reprit la parole tout en buvant sa coupe de champagne.

On est censées être en Floride, l'endroit le plus réputé par son beau temps, et ses journées à se prélasser sur la plage... Et nous voilà dans un bain à remous, une coupe de champagne en main, c'est presque mieux.

Giulia hocha le tête puis ouvrit un oeil, vérifiant que Brooke ne s'était pas enfilée toute la bouteille de champagne toute seule, croyez-moi, elle en était plus que capable. Le programme était fixé : après une heure à se prélasser dans le bain à remous, elles iraient se faire dorer aux UV (Giulia était pas vraiment une adepte vu qu'elle avait une peau assez mate naturellement grâce à ses origines italiennes) puis elles iraient trainer au bar, histoire de passer la soirée accompagnées. Le lendemain, elles iraient certainement faire un peu de shopping à Miami. Oooh, rien que le mot "shopping" fit sourire la jeune italienne. "Shopping" était synonyme de "paradis", d' "extase" et tout ce qui s'en rapprochait. De plus, cela serait une occasion de renouveler sa garde-robe (activité à laquelle Giulia se livrait une fois par mois, minimum). La jeune femme était sur le pont d'établir la liste des magasins de gringues qu'elle voulait à tout prix visiter mais elle fut interrompue par quelqu'un qui frappait à la porte. Giulia poussa un long soupir : on pouvait pas les oublier et leur ficher la paix ? Elles étaient en V.A.C.A.N.C.E.S bordel, le personnel de l'hotel était-il vraiment con au point de ne pas savoir ouvrir un foutu dictionnaire ? Giulia jura en italien, enlala, oui c'est mal mais elle était exécrable.

Si c'est le petit gros, je te jure que je l'étrangle, tu peux lever tes grosses fesse de feignasse..à ma place ?

Déclara alors Brooke alors que les coups devenaient de plus en plus insistants. Brooke égalait largement Giulia dans la catégorie "Le plus grand sourire hypocrite". C'est peutêtre pour ça que les filles s'entendent si bien d'ailleurs... Giulia finit par se lever (et maintenant c'est qui la plus feignasse ?!) et se dirigeait vers la porte d'entrée, enveloppée dans son peignoir rose. Alors que Brooke vidait la bouteille toute seule... Je vous l'avais dit ! Giulia entrebailla la porte et resta ahurie devant la vision qui s'offrait à elle.

Brooke, on a de la visiiiiite ! s'exclama Giulia. Oh oui, ça peut très bien vous rappeler la scène qui s'était joué au Plaza dernièrement. Sans attendre que Brooke les rejoigne, Giulia laissa leurs deux visiteurs entraient dans la suite qu'occupait les deux filles. Et oui, vous l'avez deviné, il s'agissait des deux divinités qu'elles avaient repéré dans le hall une heure auparavant. Les deux hommes s'étaient installés dans les fauteuils en cuir qui décoraient le coin salon tandis que Giulia avait rejoint Brooke dans la salle de bain toute excitée, le sourire jusqu'aux oreilles.

Ce sont EUX s'écria-t-elle après avoir pris soin de fermer la porte. Après avoir attendu que Mademoiselle se soit rhabillée (ou du moins ait enfilé un peignoir aussi) les deux rejoingirent les deux canons, mais là, ô surprise...

[Je te laisse continuer héhé]

Après avoir discuter -pour brooke- et dormit -pour Giulia- quelqun eux la mauvaise idée frapper à la porte de la chambre des deux jeunes femmes. Attender, vacances n'était-il pas synonime de tranquilité et de repos ? Ou dans la langue de nos deux garces préférers de l'Upper, synonime de fêtes, de garçons et égallement et surtout, de Shopping. Depuis leur 10 ans, le mot "Shopping" était littérallement entrée dans leur vie. Acheté, échanger, encore acheté et surtout le lèche vitrine était l'un de leur passe-temps favoris. C'est comme cela aussi que les relations tendus qui existaient entre Giulia et Brooke disparurent. Elles s'étaient rencontrer par hasard cher Banrey's, en sortant d'une cabine avec la même robe sur elles. Elles s'étaient immédiatement rapprochées. Comme quoi..merci Barney's !!

Enfin bref, revenons à nos moutons. Giulia se leva après la -gentille- demande de son amie. Elle alla ouvire la porte, tendis que Brooke reprenait ses petites habitues, le Champagne. Certains préfères les bières, que Brooke trouve pour les gros bofs..certains la Vodka ou encore la Tequila, mais Brooke trouvait ça trop..festifs. Genre. Mais le champagne était signe de classe, pour elle. Mais trop de champagne, tue le champagne, c'était connue. Mais après tout, c'était les vacances, il faut profiter. Donc elle finit assez rapidement la bouteilles tendis que Giulia lui cria "Brooke, on a de la visiiiiite !", suivit d'un grand soupire, Brooke lui cria, à son tour:

-Renvoie-le dans son trou. Biensur en disant ces quelques mots, Brooke faisait allusion au petits gros, et chieur de receptionniste ou quoi que ce soit d'autres. Mais elle avait tout faux.

Giulia s'empressa de venir dans la salle de bain, un grand sourire au lèvres. Mais pas ce sourire hypocrite que Brooke connaissait par coeur. Ce sourire mi-ébloui, mi-toute-exitée. La jeune française savait immédiatement ce que cela voulait dire. Mais avant qu'elle ne dise quoi que ce soit, Giulia lui dit "Ce sont EUX". Bon Dieu. Eux ? Cela voulait-il dire les magnifiques hommes d'il y a une heure ? Brooke, que fais-tu encore dans ce jacuzzi ? Egallement avec un sourire jusqu'aux oreilles, Brooke sortit de la baignoir, et enfila à la va vite son peignoir. Elle suivit son amie jusqu'à leur chambre.

A vrai dire, elles esperaient retrouver les deux jeunes hommes dans leur position innitiales. Ce qui voulait dire assis dans les fauteils de cuir, plus que confortable. Mais non, elles ouvrirent grand les yeux. Ils étaient plus beaux sans leur vêtements, il n'y avait A.U.C.U.N. doute la dessus xD. J'explique la scène. Giulia et Brooke entrèrent dans leur somptueuse chambre, tendis que les deux jeunes hommes était... en caleçon. Gné ? Les deux filles partirent en fou rire. Et eux, n'était même pas géné. C'était vraiment pour dire... Ils étaient toujours assis sur leur lit king-size. Elles n'avaient même pas entendus le son de leur voix, mais elles les suivirent, elles étaient assis sur le lit, et commença à discuter, les garçons semblaient les écouter... jusqu'à ce que, là...

[haha, espèce de garce, tu me laisses dans une situation fort embarassante xD]

Récapitulons un peu la situation voulez-vous. Brooke et Giulia avaient quitté New York et l'Upper East Side adoré six heures plus tôt. Sur un coup de tête, les deux jeunes femmes avaient fait leurs valises et avaient filé en direction de JFK pour pouvoir s'envoler en direction de la Floride. Miami plus précisément. Après quatres de vol des plus fatigantes qu'il soit, leur jet privé avait posé ses roues sur le sol de Floride. Après quelques déboires, oui le temps n'était pas fidèle à sa réputation, les deux jeunes new yorkaises avaient trouvé refuge dans leur chambre et plus exactement dans le jacuzzi installé dans la salle de bain. Elles avaient noyé leur chagrin (hum oui oui vous avez bien lu) dans l'alcool. Enfin surtout Brooke qui avait bu plus d'un tiers de la bouteille. On ne la refera jamais... On avait alors frappé à la porte, suite à la demande très gentille de Brooke, Giulia avait été ouvrir. Et là, tadaaa. Giulia avait eu la surprise de voir les deux divinités croisés dans le hall, juste devant sa porte. Ô miracle. La jeune italienne s'était empressée d'aller chercher sa jeune collocataire. Cette dernière avait rapidement enfilé un peignoir et les deux filles étaient revenues dans la pièce principale, rayonnantes.

Ce qu'elles n'avaient pas prévu, c'était que les divinités en question étaient maintenant assis en tailleur sur un des lits king-size. Jusqu'à ici, rien de choquant. Mais les deux hommes en question étaient maintenant à demi nu, en caleçon, attendant patiemment les deux filles. Hein, non mais c'est quoi le délire ? Ok, c'était un trèèès beau spectacle. Ouh, certains types avaient des habitudes vraiment... spéciales. Bon évidemment, ni l'une ni l'autre iraient se plaindre que deux canons en caleçon soient installés sur leur lit, grand sourire aux lèvres. Mais voilà, c'était bizarre. Les deux jeunes femmes allèrent tout de même s'asseoir à leurs côtés et tous les quatres commencèrent à papoter, genre ils se connaissaient depuis deux ans. Tout se déroulait normalement jusqu'à ce que Nathan (c'était le blond) leur demande de se devêtir à son tour. Giulia regarda Brooke, ça c'était pas prévu au programme. Le pire, c'était que Nathan avait dit ça sans le moindre sourire et d'une voix autoritaire. Giulia secoua la tête. Hors de question qu'elle se pavane à demi nue.

Quelques minutes plus tard, les deux mecs tentaient de leur arracher leurs vêtements, disant que c'était pour le grand Gourou. Gné ? Quand on dit gourou, on parle souvent d'une secte non ? Ouh, ouh, ouh. C'étaient qui ces mecs d'abord, depuis quand on s'invitait dans la chambre de deux filles qu'on connaissait pas ? Giulia regarda une nouvelle fois Brooke, cmmplètement paniquée, allez savoir pourquoi mais les sectes et leurs adeptes, ça l'avait toujours fait flippé. Coincidense, mais la chaine hi-fi allumée dans leur chambre diffusait actuellement une chanson des Who, et le plus amusant, c'était son titre : Run, run, run.

You better run, run, run. Well you ain't the luckiest girl I know and you won't get luckier the way you're going. Run, run, run.

Sans vraiment réfléchir, Giulia sauta du lit, Brooke à sa suite, ouvrit la porte de leur chambre et se mit à courir comme une dératée dans le couloir. A croire que les courses poursuites c'était devenu une habitude. Non pas dans exactement, les deux types semblaient être restés dans la chambre et ne les poursuivaient pas. Une silhouette apparu alors. Un homme en caleçon qui venait à leur rencontre. Giulia laissa échapper un cri strident. L'homme en caleçon, la regarda bizarrement et passa son chemin. Ah, je crois que la jeune italienne est traumatisée.

Faut qu'on trouve le gnome qui nous a conduit jusqu'à notre chambre.. dit alors Giulia à Brooke. Premièrement parce qu'il pourra leur ordonner de sortir et deuxièmement, parce qu'il peut nous servir de bouclier si les choses tournent mal.

Malheureusement, leur projet tomba à l'eau quand elles arrivèrent à la réception. Le petit gnome n'était plus là. On leur apprit par la même occasion qu'il avait pris un jour de congé.

Les choses ne se déroulaient peut-être pas comme nos deux jeunes femmes l'esperaient. C'est vrai. Tout se passait bien jusqu'au moment ou Giulia et Brooke sortirent de leur salle de bain pour rejoindre deux divines personnes, recemment connut sous les noms de Nathan et de Luc.
Les regards des jeunes femmes se croisèrent un instant, une once de peur, mais de bonheur apparurent dans leur yeux. Certe, voir deux canons étalés sur leur lit king-size à moitier nu n'était pas désagréable à voire, mais ce n'était pas à un jeu de streap-pocker qu'elles jouaient. Au premier abords, Brooke aurait plutôt compris un malentendut entre les jeunes gens. Mais ne voulant -pas tout de suite- les faire fuir, elles s'installèrent sur le coin de lit. C'est là qu'ils commencèrent à papoter de la pluie et du beau temps, genre ils se connaissaient depuis une éternité. Jusqu'à ce que le blond, Nathan, demanda aux jeunes femmes de se déshabiller. Le plus étrange de tout ça, c'est que le ton dans laquel il l'avait dit n'était ni comique, ni drageur. C'était un ton d'homme complétement obsessionel... Bouh.

N'ayant même pas le temps de répondre, l'autre, Luc, qui avait un air de Jared Followill (fallait que je case notre J commun xD.)leur dit que c'était pour le Gourou. Prise de peur, Giulia prit la manche de son amie, et elle les fit sortie de leur chambre d'un bond. Une secte... c'était genre, des amis proche de Tom Cruse ceux-là, où des fans de Tokyo Hotel... en tout cas ils n'étaient pas très net. Enfin dans le couloir, comme par habitude, Brooke regarda derière, mais rien. Personne ne les coursait. Rassurant. Mais là, elle entendit Giulia pousser un cri des plus strident... c'était quoi encore ? Juste un homme en en maillot de bain, qui venait surment de remonter de la piscine. Giulia et Brooke étaient sans aucun doute bel et bien traumatisées par les hommes.
Maintenant,ce qu'elles voulaient, c'était rammené l'horrible petit homme, qu'elles admiraient, maintenant. Arrivé à la reception, Brooke s'avança vers un autre homme qui était derière le luxueux comptoir. La jeune femme blonde bafouilla sous le choc... oui, elle était traumatisée.

-Homme, nu, non presque, chez... notre chambre. Hummm... elle prit une grande inspiration puis continua. L'homme qui nous a menées jusqu'à notre chambre, où est-il ? Nous avons un petit problème .

L'homme l'a regarda d'un air abjecte. Encore un de ces snobinards, payer trois sous de l'heure, et étant très suseptible, et extremement peu passiant. Il leur demanda de regagner leur chambre, et de ne pas se soucier de leur petit problème. Mais leur petit bonhome n'étant pas là pour le reste de la semaine, personne ne pouvaient les aiders. Dans un hôtel de cette classe sociale, il n'y a pas genre des gardes du corps partout, et des camérias partout ? Apparemment non. Bouuh. Brooke et Giulia étaient collées-serrées en remontant dans leur suite. Elles ouvrirent la porte, avec leur mains tremblantes. Les deux hommes avaient des cigarettes au bout de leur doigt. A croire qu'ils les attendaient. Gné ? Comment leur faire comprendre qu'ils pouvaient partiiiiiir ? Aucune idées ne leur parvenus attent... ha si, Brooke eut une idée complétement... complétement Brooke. Elle avança puis referma la porte derrière elles. Elle regarda Giulia d'un air complétement afollée, puis elle l'embrassa d'un bond. Giulia resta bouche bée... elle allait comprendre c'était obligé. Peut-être pas dans la seconde qui vienne. Mais dans la minute, c'était evident. Brooke regarda les deux jeunes hommes, et leur dit, d'un voix qui essayait d'être des plus normals.

-Nous ne sommes pas interessées, pardonnez-nous...

Pardonner ? En quoi se faire pardonner par des cinglés. En tout les cas, les mots avait l'air d'être parfaitement passer. Puisqu'ils se levèrent d'un bond, et repartir, leur disant tout de même un grand dommage avec un grand soupir en prime... Quand ils firent partis, Giulia et Brooke se regardèrent et se prirent dans les bras et sautèrent partout. Elles avaient réussis à ne pas... ne pas être violés ? Non peut-être pas quand même. En tout cas, elles étaient heureuse, et elles crièrent tels deux folles-hystériques complétements barées... quesque cela faisait du bien de se défouler après une peur bleu...

Le temps d’un week-end tout peut arriver…justement Olivia avait comment dire été « forcée » par sa mère de se rendre à Miami pour aller lui chercher des papiers je-ne-sais-où, bon « forcée » ce n’était pas vraiment le mot, mais Olivia y allait contre son gré. Elle avait bien appelée Giu et Brooke pour leur proposer de se joindre à elle, mes ses deux chères garces n’avaient pas eu l’obligeance de répondre à leurs téléphones. Donc Olivia devait se rendre à Miami toute seule, sans aucune de ses meilleures amies ou même sans la compagnie d’un garçon. Olivia avait apprit cette nouvelle la veille, au moment du dîner, sa mère ne pouvait pas s’y rendre pour cause de rendez-vous chez son gynécologue…huuum, enceinte ? Ménopause ? Ew. Olivia n’avait pas vraiment envie de le savoir, mais Miss Waldorf n’avait pas prévue se genre de détournement de situation…Bon cela ne l’a dérangeait pas vraiment de se rendre à Miami, là où le beau temps est toujours au rendez-vous et les hommes au corps de demi-dieux aussi…Mais la veille, la jeune brune n’était pas forcément du même avis, elle avait quitté l’appartement et avait optée pour une petite virée en solo, où elle avait rencontré Chuck, et où elle avait omit que Chuck était un bel enfoiré, et comme une conne, elle se souvient qu’elle l’avait embrassé…Ewwww. Bon, elle s’était bien réveillée dans son lit sans aucun Chuck à l’horizon, bon point, mais elle s’était réveillée avec un mal de tête horrible une fois de plus.

Bref. C’est avec une gueule de bois magistrale qu’Olivia se rendait à l’aéroport. Grâce à son beau-père, un de ses associés lui avait prêté son jet privé, bon point. Vêtue d’un mini short marron satiné Miu Miu, d’un débardeur chocolat Tommy Hilfiger et d’une paire de tongs tressées marrons satiné, Olivia sortit de son taxi, sa valise Chanel à la main et se dirigea vers l’enregistrement. Après quelques formalités sans aucune importance, Olivia rentra dans le jet. Le joli minois d’Olivia se décomposa dès son arrivée dans la ville logiquement réputée pour son incroyable soleil…Gnééé… ?Vous pouvez me dire pourquoi le ciel est tout noir et que les éclairs gisent des quatre coins du ciel… ?La journée allait s’annoncer maussade. Olivia héla un taxi et s’engouffra dedans pressée d’arriver dans un des hôtels Hilton où elle avait fait une réservation auparavant. Pfff enfin arrivée, elle put tout de même croisés deux hommes au corps de rêves qui se dirigeaient vers l’ascenseur, deux chanceuses allaient voir leurs rêves réalisés. Un homme ou plutôt un petit homme à l’allure d’un gnome vint lui adresser la parole.

-Mademoiselle Waldorf votre chambre est…

-Prête… ?Ce n’est pas trop tôt, vous faîtes toujours attendre vos clients une éternité.. ? Olivia lui adressa un sourire hypocrite à souhait.

-Oui…euh non, veuillez me suivre, vos bagages ont étés apportés par nos soins dans votre suite grand luxe…

-Encore heureux…

Une fois dans sa suite, le gnome prit congé et partit. Olivia repéra tout de suite le bain à remous et choisit un maillot de bain dans le tas qu’elle avait embarqué avec elle. Un maillot marron avec un anneau au milieu de chez Lilly Pullitzer. Une coupe de Veuve Clicquot et Olivia se prélassa dans son bain…Mmmh enfin quelque choses d’agréable dans ce séjour abominable. Enfin presque. Olivia se mit à entendre des cris stridents dans le couloir, une fille puis deux…décidément. Dix minutes plus tard, elle entendit à nouveau des cris mais cette fois-ci plus insistant, le dernier album des Fall Out Boy fut ajouté au brouhaha infernal des cris…Raz le bol. Olivia se leva, enroula une serviette en éponge autour de son corps, prit son passe et se dirigea d’un pas décidé vers la chambre à côté de la sienne. Se croyant chez elle et voyant la porte entre ouverte, Olivia la poussa avec une énergie débordante.

- Bordel, vous allez cessez ce boucan une bonne fois pour toute…

C’est à ce moment là qu’Olivia, reconnut Giulia & Brooke…Elle fut étonnée, et un sourire de garce se dessina sur ses lèvres.

- Alors, comme ça, on fait la fête sans moi, Olivia sourit et accentua un de ses sourcils, un petit sourire dessinant ses fossettes…

C'était amusant, chaque moment passé avec une de ses meilleures amies se révélait toujours par être traumatisante pour Giulia. Quoi de plus effrayant que deux canons sectaires qui vous demandent de vous déshabiller devant eux ? Peut-être être pourchassées par deux psychopathes ? Allez, au choix. Dans tous les cas, Brooke paraissait complètement folle devant le réceptionniste qui regardait les deux new yorkaises avec un air ahuri. Quoi ? Il n'avait jamais vu deux types louches ? C'est tellement commun... Giulia regarda Brooke un long moment, la pauvre... Elle perdait les pédales. Et le pire, c'est qu'elle n'avait pas bu... Ah pardon, information de dernière minute, Brooke avait bel et bien bu la totalité d'une bouteille de champagne. Manque de chance, le type sembla s'en rendre compte et les pria de regagner leur chambre. Hein mais..que..quoi ? Gné ? Comment regagner sa chambre avec des malades pareils ? Giulia suffoqua et suivit Brooke. Pauvres petites. Et surtout comment ne pas se soucier deux deux canons masos à demi-nus dans votre chambre ?

La peur au ventre, nos deux new yorkaises regagnèrent leur chambre et comme elles s'en doutaient, Luc et Nathan étaient toujours là, étendus sur leur lit. Han, han. Boum, boum, boum. Pourquoi ne voulaient-ils pas partir ? Giulia faillit crier à s'en dérailler la voix... mais elle n'eut pas le temps. Sans crier gare, Brooke se rapprocha dangereusement de la jeune italienne et sans comprendre pourquoi ni comment, Brooke plaquait déjà sa bouche contre celle de Giulia. Euh... Brooke aurait-elle des tendances lesbiennes ? Giulia écarquilla les yeux, complètement paniquée, Brooke faisait-elle aussi partie d'une secte ? Etait-elle une vendue ? Les deux filles s'écartèrent finalement, Brooke déclarant qu'elles n'étaient pas intéressées... Oh.. Ah ! Ca y est, Giulia avait compris et regardait avec malice son amie. Les deux types partirent les laissant ainsi seules dans leur suite. ALLELUIA.

Giulia regarda Brooke, puis finalement les deux filles se sautèrent dans les bras. Elles avaient, encore une fois, échappé belle. Les filles se transformèrent en lapins sauteurs, bondissant partout et laissant échapper sa joie en cirant comme des malades. Giulia arriva sur le lit, faisant du trampoline et commençant à chanter Light My Fire des Doors. Les deux filles furent toutefois arrêtées quand la porte s'ouvrit à la volée. Giulia s'écroula sur le lit, se rapprochant de Brooke, de peur que les deux sectaires de tout à l'heure. Mais à la place de ça, une silhouette féminine se faufila à l'intérieur de la pièce. Une silhouette que Brooke et Giulia, connaissaient très très bien.

OLIVIAAAAAAAA s'exclama Giulia en se précipitant vers elle.

Euh oui, pourquoi Olivia était-elle là d'ailleurs ? Evidemment, Giulia était r-a-v-i-e de la voir mais c'était le pur hasard si les trois filles se retrouvaient dans le même hôtel non ? Non ?? Giulia sauta dans les bras d'Olivia, Brooke suivant le pas. Oh, je vous rappelle que l'ancienne rousse et la blonde sont un peu défoncées...

Tu fais quoi ici Honey !? On ne savait pas que tu venais ! C'est géniaaaaal Oh tu ne sais pas ? On a failli, genre se faire violer par des mecs qui faisaient partis d'une secte déclara Giulia avec un grand sourire, oubliant tout à coup la peur qu'elle avait ressenti et trouvant l'histoire complètement hilarante. Giulia quitta finalement ses deux amies et se dirigea vers le mini bar.

Tu comptes rester un peu avec nous Liv' hein ? Et si on appelait le service d'étage ? J'ai envie de fraises et de champagne fit-elle avec un sourire béat. Au faite, c'est vrai ce que l'on dit sur Max, il est vraiment parti ?

Giulia arqua un sourcil. Rectification : elle était complètement défoncée et plus du tout sobre en plus de ça.

Pourquoi fallait-il que les new-yorkaises, riches, belles... et rebelles, attirent toujours les cinglés de première zone ? Pourquoi ne pouvaient-ils pas trouver des cibles plus... je ne sais pas moi, plus moches, plus chiantes ou quoi que se soit ? Hum...
A la reception, Brooke ne cessa de bafouiller, perdant même le savoir de former une phrase. Oui, sa devenait peut-être plus grave que prévu. Ou peut-être que non... Vous savez, une bouteille de champagne, deux-homme-canons-faisant-partie-d'une-secte qui vous demandent d'enlever vos vêtements sous leurs yeux, sa peut déstabiliser un minimum quand vous n'êtes pas habitués. Mais qui peut s'habituer à ce genre de situation ? Enfin bref, le receptionniste compris que les deux jeunes femmes n'étaient pas sobre, et les fit remonter dans leur suite. Quoi, mais... mon Dieu.
Affollées, Giulia et Brooke remontèrent dans leur chambre, ou Luc et Nathan, qu'elles avaient maintenant nommé de futur violeurs, devaient les attendre. Arrivées dans leur chambre, l'idée lumineuse -hum, peut-être pas...- de Brooke fit partir les deux hommes. Oh My God*. Elles avaient une fois de plus échappés aux cinglés. Mais la prochaine, ne fallait-il pas se soucier de quelle genre de personnes elles allaient avoir à faire ?... Une fois par des faux-psycopathes, une autre fois par des infermiers, les prenants pour de vrai gogoles, et maintenant, par des personnes faisant partis d'une secte... d'une secte très spécial. Bah, une secte quoi... Enfin bref, heureusement que Brooke était trop défoncée pour douter sur ses relations, et pour songer de trouver des personnes N.O.R.M.A.L., genre, et depuis quand Brooke est-elle normal ? Hum oui, jamais.

Plus heureuse que jamais, Giulia et Brooke sautèrent partout, criant à tu-tête. Giulia chanta une chanson des Doors, tandis que Brooke se mit à chanter les Kinks... et en plus de cela, elles étendaient leur culture musical... Leur joi fut de courte durée, puisqu'une personne ouvra la porte à la volée. Haaa, mais ce n'était pas n'importe qu'elle personne, c'était Olivia. Hum, attendez LEUR Olivia. Pourquoi était-elle ici ? Et après tout, on s'en fou. Soulager que se ne soit pas les deux sectaires, Brooke se mit à rire. Olivia plus Olivia que jamais, dérangée par le bruit ? He bien maintenant, elles risquaient tout les trois d'en faire un peu plus... non ? Giulia et Brooke se jetèrent sur elle. Puis Giulia commença à lui poser toute sorte de question... je ne vous avais pas dit que Brooke était la seule à être légèrement pompette ? Bon, he bien voilà, c'est dit.

-HAAAAAA OLVIIIA ! ! ! ! Giu et Brooke se ruèrent sur leur amie, genre, c'était complétement normal qu'elles se trouvaient toute les trois là... Ouch, les trois garces de l'Upper réunis, sa promet !!

Arrêteee avec tes questions sale garce. Ooh Darliiing on est contente de te voir. Dit-elle toute exitée. Arf oui, c'était Horiiiible les mecs de la secte et leur gourou de je ne sais quoi... fit-elle en appellant le service d'étage, elles semblaient déjà avoir oubliées cette histoire, qui parraissait totalement improbable.

Champagneees s'il vous plaît, et... des fraises ? Pourquoi des fraises... ? on s'en fou, donc des fraises. Fit-elle avant d'écouter Giulia, qui était décidemment prête à ne plus arrêter de parler.

Tu restes avec nous Liv'?... Enfin, t'es genre obligée maintenant que tu est là !... Eww, mais oui Max... dit-elle à son amie, puis elle se retourna vivement vers Giulia et lui dit. Et toi, tu ne pouvais pas nous avertir que Damon était revenus, non ? Dit-elle en lui envoyant un regard complice.

Bon, Olivia venait de rentrer dans une chambre. Les habitantes de cette chambre faisaient un boucan impossible de quoi réveiller les morts… ?Huuum, Olivia ? Glauque… ? Bref, et les habitantes n’étaient qu’autre que Giulia & Brooke, les deux garces les plus…Garces ? Ces dernières venaient de lui sauter dans les bras et de lui poser tout un tas de questions, bon les filles n’étaient comment dire pas très sobre…Olivia n’avait pas encore pu boire une coupe de champagne depuis son arrivée donc l’idée de rester avec Giu & Brooke pour qu’elles lui raconte leur histoire au sujet d’une secte, d’un gourou…était comment dire alléchante, une soirée comme ça est si vite arrivée, vous prenez deux garces défoncées, vous y ajouter une garce furibonde (xD), et voilà une soirée sur le point de commencer en « retrouvailles sadiques et machiavéliques ». Mouhahaha, hum pardon c'est nerveux. Giulia commença alors à lui parler qu’elles avaient faillies se faire violer par des mecs qui faisaient partis d’une secte…Ewww. On peut vraiment dire que les garces attitrées de l’Upper subissaient toutes les choses les plus incroyables que l’on puisse subir, une course-poursuite par de faux psychopathes pour Brooke & Giulia, le coup de l’asile psychiatrique pour Brooke & Olivia, et le coup d’Olivia & Giulia pour…euh à vrai dire cela faisait assez longtemps que les deux brunes n’avaient plus subies un truc inimaginable ensemble…Sa reste à voir…

Giu se mit alors à la questionner :
« -Tu fais quoi ici Honey !? On ne savait pas que tu venais ! C'est géniaaaaal Oh tu ne sais pas ? On a failli, genre se faire violer par des mecs qui faisaient partis d'une secte. Suivit du point de vue de Brooke : Arf oui, c'était Horiiiible les mecs de la secte et leur gourou de je ne sais quoi… »

- Hé ben, je devais aller chercher des papiers pour ma mère. Et moi je ne savais pas que vous veniez ! Si vous aviez eu l’idée d’allumer vos portables ! Olivia afficha un sourire hypocrite remplit d’une bonne dose de malice. Ewww…Violer, par des beaux mecs au moins...? C’est fou ce que les filles comme Olivia avaient le pouvoir de détourner les choses au départ effrayantes en choses toutes à fait subtiles…

Brooke se mit alors à appeler le service d’étage pour commander du champagne et des fraises à la demande de Giulia :
« Champagneees s'il vous plaît, et... des fraises ? Pourquoi des fraises... ? On s'en fou, donc des fraises… »

-Rajoute des cerises et des framboises aussi et de la chantiiiilly bien fraîche venue tout droit de France, vous avez dit exigeante ? Huum non pas exactement, en fait Olivia avait une subite envie de fruits rouges et puis, nous sommes dans un hôtel Hilton, si le service d’étage n’est pas apte à leur apporter une assiette de fruits et une coupe de chantilly, les jeunes garces de l’Upper iraient faire une scène à l’accueil, et, sachant que Giulia et Brooke, ne sont pas du tout sobres, le résultat ne serait pas joli, joli. Ou bien, les filles décideraient de porter plainte contre la jeune héritière des Hôtels Hilton, petite pouffe des temps modernes, qui utilise sa carte de crédit pour acheter une bouteille de lait, bon comme les membres du GOWD mais ce n’est pas pareil. A moins que si… ?

Discussion à peine commencer, voilà que Giulia parlait « Amours » :
« Au faite, c'est vrai ce que l'on dit sur Max, il est vraiment parti ?» et Brooke qui en remet une couche cette fois-ci sur le compte de Giulia : « Et toi, tu ne pouvais pas nous avertir que Damon était revenus, non ? »

-Ouaii, il est vraiment parti faire son service militaire en France. Ouii, et toi Madâââme Flaherty, on nous prévient même pas que le Rockeur des temps modernes est de retour dans l’Upper, Olivia échangea un regard avec les deux garces qui l'entouraient et éclata de rire, tu sais très bien qu’on lit la rubrique de GG mais on aurait préféré le savoir par toi, un petit sourire mesquin se dessina sur ses lèvres…et toi Brooke côté mec, on a pas vraiment de nouvelles, elle arqua un sourcil et retroussa son petit nez mutin, preuve qu’elle avait envie d’en savoir plus.

Voilà nos trois garces de l’Upper réunies pour le meilleur et pour le pire dans le meilleur des mondes…THE END….Huuum non pas tout à fait…Blopy Niark.

Waow. Waow. Blopy ! C'était vraiment étonnant de voir le trio du GOWD réuni (désolée Saphire mais...), surtout quand deux étaient complètement défoncées et en état d'ébrité (enfin est-ce que ça changeait de d'habitude ? Giulia passait la moitié de sion temps défoncée...). Rajoutez une troisième qui arrive comme par magie... TADAAA une journée de folie est annoncée. Tant pis pour les autres clients de l'hôtel, pour l'instant nos trois garces de l'Upper East Side étaient plus que ravies de se retrouver et vu le bruit qu'elles faisaient, ça se voyait. Giulia et Brooke avaient directement atteri dans les bras d'Olivia, la plus sobre des trois. Giulia commença à l'interroger sur les raisons de sa présence ici, enchainant ensuite avec d'autres questions avant d'être coupée par Brooke en personne. Puis par Olivia, répondant aux questions de Giulia. L'ancienne rousse et la blonde apprirent ainsi qu'Olivia était là pour chercher des papiers à sa mère. Giulia avait souvent eu l'occasion de voir Mme Warldof et était au courant que cette dernière était enceinte. Olivia devait être ravie, surtout que l'enfant était de son beau-père... Brooke continua l'histoire des mecs de la secte, succitant quelques réactions de la part d'Olivia qui leur demanda si c'était des beaux mecs au moins. De l'autre côté de la pièce, Giulia hocha la tête, en souriant béatement.

C'était des dieeeeeux ! Jamais vu aussi canons... enfin non, j'ai déjà vu mieux en fin de compte fit-elle en arquant un sourcil, se rappelant qu'elle était sorti avec pas mal de garçons cannonnissimes. Brooke la fit redescendre de ses pensées en décrochant le téléphone pour appeler le service d'étage afin de commender du champagne...et des fraises...et des cerises...et des framboises...et de la chantilly. Hé non, on ne changera jamais nos trois petites garces exigetantes, elles sont habituées à avoir tout ce qu'elles veulent, pourquoi changer ? De toute façon, Giulia ne voyait pas où était le problème, si elles dépensaient une fortune pour passer quelques jours dans un Hilton, ce n'est pas pour rien. Elles n'étaient pas genre dans The Simple Life, elles pouvaient avoir tout ce qu'elles désiraient.

Sans vraiment s'en rendre compte, Giulia aborda un des sujets les plus guimauves que les trois filles connaissent à savoir, l'Amooooour. Sujet que Giulia n'aimait pas aborder en tant réel mais se sentant un peu pompette et ayant besoin d'en parler, c'est sans aucune réticense qu'elle en parla, questionnant d'abord Olivia sur le départ de Max. Service militaire ? Beuh. Giulia avait toujours trouvé que Max et Olivia formaient le couple des plus parfaits. Magnifique, classe, luxe... Bref vous voyez. C'était donc avec une légère moue que Giulia accueillit la nouvelle. Se faire planter des cornes par Nate puis être obligée de quitter Max, c'était assez navarant pour une de ses meilleures amies.

Je suis désolée pour toi Liv'... Votre couple était si...parfait, oui c'est le mot... fit-elle en souriant faiblement à la jeune brunette. Brooke se fit un malin plaisir à aborder le dossier "Damon", rock star qui avait fait son grand retour à New York et dont Giulia avait beaucoup, beaucoup, beaucoup parlé du temps qu'ils étaient ensemble. Et elle espérait secrètement que leur histoire repartirait.

Ouii, et toi Madâââme Flaherty, on nous prévient même pas que le Rockeur des temps modernes est de retour dans l’Upper, tu sais très bien qu’on lit la rubrique de GG mais on aurait préféré le savoir par toi.

Désolée les filles, Madâââme Flaherty était trooooop étonnée quand elle a vu ça... Elle n'y croyait pas au début d'ailleurs. C'est vrai après tout, il s'était tiré avec une serveuse du Jackson Hole... mais je l'ai recroisé il y a quelques jours fit-elle avec un sourire mystérieux.

Et toi Brooke côté mec, on a pas vraiment de nouvelles, elle arqua un sourcil et retroussa son petit nez mutin, preuve qu’elle avait envie d’en savoir plus.

Giulia échangea un regard complice avec ses deux amies. Toutes les trois étaient maintenant installées en tailleur sur le lit king-size.

C'est vrai ça, Brooooke, tu deviens quoi ? Tu as dragouillé Jay non ? Allez, avoue on veuuuut savoir sale garce !

Le week-end risquait d'être très... bruyant, pour les autres clients de l'hôtel Hilton. Et puis de toute façon, comment le responsable de l'hôtel pourrait-il les virés, puisqu'à elles-trois, elles remplissent généreusement le compte en banque des Hilton... Car quand on réunit trois des membres du GOWD (bon, Saphire manque au groupe)dont deux qui sont assez défoncé pour être parler Amooour, c'est assez prometeur, oui. La joi des retrouvailles enfin terminé, les trois filles s'installèrent sur le lit king-size, attendant que le service d'étage apportent leur commende.

Olivia commença à répondre qu'elle était ici pour récupérer des papiers demandée par sa mère. Elles savaient toute deux qu'elle était enceinte, du formidable beau-père d'Olivia T__T. Et qu'elle évitait de circuler dans le pays. Puis Liv' demanda si les deux sectaires était beaux, Ha sa oui, ils l'étaient... Giulia répondit en avouant qu'ils étaient suuper beaux, mais qu'elle avait déjà connut mieux, ha bon ?... Puis Brooke en remit une couche:

-Ouiii, c'était des Dieux... mais des cinglés. On attire les fous... Dit-elle, car elle avait déjà vécu des choses très spéciales avec Olivia et Giulia, donc sa conclusion s'était ça, elles les attiraient...

Puis la discution dériva dans un sujet des plus guimauves... L'a.m.o.u.r. En ce qui concernait Olivia, elle n'avait jamais réellement eut de relation "non-exclusive", enfin... chaque petit copain la laissait tomber, alors lequel est le mieux ? Et quand à Giulia, elle avait ses périodes dirons-nous... En cette période, elle risquait fort d'abandonner Brooke dans sa quête de non-exclusivité. Puis Giu' et Brooke écourairent leur amie donner le raison pour laquel Max n'est pas rester... Le service militaire, Huh, la pauvre. Se faire quitter pour ça, enfin bon, maintenant ce n'était pas les mecs qui manquait au pied de Liv'. Elle ajouta tout de même un "Désoler" à son amie. Car ce couple était si glamour, personne ne pouvait le nier, mais la Gossip Girl avait dut mal à dire le contraire... Puis se fit au tour de Giulia et de son chère Damon de se faire démasquer. Elle semblait elle aussi étonné de son retour... dans le bon sens, biensur.

-Ouaiii, tu l'as croisés, eeeeeet... ? Oui oui, elles voulaient T.O.U.T. savoir. Mais avant que Giulia puisse continuer, Olivia commença à questionner Brooke sur ses relations amoureuses. Oui, c'est vrai que c'es temps-ci, elle n'était pas très exclusive, et qu'elle se montrait peu en présence de garçon, une raison ? Hum, peut-être...

-Très bien, euuh moi... comment dire... sa varie beaucoup ? Jay, oui enfin Jay...qui ne l'a pas "dragouiller". Dit-elle en envoyant un regard complice vers Giulia. J'ai aussi eus à faire à Tim... le "Faux-Gay" de l'Upper, apparemment. Mais j'ai récemment revu Charlie, vous savez, Charlie Dern... Et comment dire, c'était des retrouvailles... brutale ? Pour lui, biensur !

Dit-elle, un grand sourire au lèvre. Hum, sa voulait tout dire. Rencontre brutal pour Brooke, c'était dans le vrai sens du terme. Connaissant le passé que ces deux-là avait eut, il y avait de forte chance que Brooke est exercée de sa main, sur ce pauvre Charlie.

La soirée promettait d’être mouvementée et pleine de rebondissements, surtout pour les clients de l’hôtel, qui allaient devoir supporter les cris stridents des trois membres du GOWD (comme vous l’avez dit, désolé Saph’). En attendant, le temps dehors, ne s’arrangeait pas, le beau soleil prévu avait été vite remplacé par un vent violent associé à de la pluie qui ressemblait étrangement (pour Olivia c’est étrange, car en partant du point de vue, que c’est l’été…c’est étrange. Point.) à des grêlons. Bref, ce n’est pas vraiment important, car nos chères garces, étaient confortablement assises en tailleur sur les lits King Size et se mettait déjà à papoter. Quelques minutes plus tard, le service d’étage arriva, chantiilly, fruits rouges et champagne tout y était, y compris trois cartes. Mais Olivia était bien trop occuper à engloutir des framboises à la chantilly et à boire sa substance licite de la soirée pour remarquer ce petit détail, bien que les enveloppes soient d’un rose très prononcé. Les trois jeunes filles continuaient de parler « Amour » et tout les sujets qui s’y raccordaient.

Même si Giulia & Brooke disaient qu’elles étaient désolées pour elle, Olivia était quand même un peu secouée par les derniers évènements, le retour de Nate qui se mettait même à draguer devant Constance pour tenter de repêcher son ex-dulcinée, puis le départ de Max pour la France pour cause de service militaire…ewww. Assez décevant tout ses faits…pas vrai ? Miss Waldorf était, d’ailleurs, de plus en plus décidée de perdre sa virginité une bonne fois pour toute, mais maintenant plus qu’à trouver le mec avec qui le faire. Olivia allait entrer à l’université, et elle n’était toujours pas dépucelé, y a de quoi en faire un drame tout de même, maintenant la plupart des élèves de Seconde de Constance étaient déjà déflorées…Vous avez dit précoce… ?Ouii sûrement…en tout cas – bien que tout le monde le croit- Liv. n’attendait pas le mariage, elle était loin d’être comme ça mais bon…on dirait que le temps en décidait autrement…En plus de tout ça, sa mère était enceinte de son beau-père, y a de quoi en faire un drame, sa mère avait près de 45 ans, et elle se lançait dans la fabrication de nouveaux-nés, Olivia qui croyait qu’elle avait déjà la ménopause…

Bref, revenons aux histoires d’«Amooooour » de nos chères new-yorkaises ? Giulia leur raconta alors ces retrouvailles avec Damon : « Désolée les filles, Madâââme Flaherty était trooooop étonnée quand elle a vu ça... Elle n'y croyait pas au début d'ailleurs. C'est vrai après tout, il s'était tiré avec une serveuse du Jackson Hole... mais je l'ai recroisé il y a quelques jours. » Olivia & Brooke voulaient en savoir plus…beaucoup plus c’est Brooke qui se lança alors : « Ouaiii, tu l'as croisés, eeeeeet... ? »

-Ouaaii, racooonte..

Et Brooke alors… ? Ces histoires d’amours les intéressaient aussi, depuis sa folle nuit d’amour avec Charlie, et sa dragouiiile avec Jay… : « Très bien, euuh moi... comment dire... sa varie beaucoup ? Jay, oui enfin Jay...qui ne l'a pas « dragouiller » J'ai aussi eus à faire à Tim... le "Faux-Gay" de l'Upper, apparemment. Mais j'ai récemment revu Charlie, vous savez, Charlie Dern... Et comment dire, c'était des retrouvailles... brutales ? Pour lui, biensur ! »

-C’est clair qui n’a pas dragouiller avec Jay, Olivia adressa un clin d’œil à ses deux amies, Baaah, tu n’as pas honte, Tim euurk c’est mon cousin…elle fit une mine renfrognée et rigola, brutale… ? aah sa me fait rire, aussi tôt dit, aussi tôt fait, Olivia éclata de rire, l’effet de l’alcool y était déjà pour quelque chose.

Etant donné qu’Olivia commençait à devenir pompette, elle avoua sans réfléchir à ses chères garces qu’elle vouloir perdre sa virginité. Oupsss, gaffe ?

C’est à se moment là que Brooke & Giulia remarquèrent les enveloppes roses, elles les ouvrirent tout en parlant quand tout à coup…

Le petit week-end à Miami avait très, très mal commencé mais alors très mal commencé, vraiment. La Floride... Réputée pour son beau temps. Mais à leur arrivée, nos trois new yorkaises se seraient presque cru à Londres ou une autre ville où il pleut la moitié du temps (genre Saint Malo et Le Havre en France....). Fort heureusement, les Hilton étaient couverts (Oh non, vraiment ?) et possédaient des suites des plus luxueuses et agréables. Et évidemment, les trois meilleures (ou pires mais le premier choix est mieux) garces de tout l'Upper east Side y étaient réunies, assises en tailleur sur les lits king-size mis à disposition, tandis que le personnel s'activait à préparer leur commande. Les trois filles étaient en pleine conversation rose bonbon, chacune racontant ses derniers déboires (ou bonheurs) amoureux.

Giulia avait les yeux dans le vague repensant à Olivia et Max, même si elle n'était pas concernée et bien... elle se sentait concernée, allez savoir pourquoi (oh peut-être parce qu'Olivia est une de ses meilleures amies et qu'elle était elle-même proche de Max - même si elle l'avait trompé, mais c'est une autre histoire - non ?).

Giulia fut tirée de ses pensées par Brooke puis par Olivia qui voulaient toutes les deux plus de détails à propos de ses retrouvailles avec Damon. Waow, le sujet était vaste et compliqué, Giulia ne savait pas exactement s' ils avaient repris leur histoire où ils l'avaient laissé etc. (mais elle espérait secretement que oui).

Je l'ai croisééé eeeet il était complètement défoncé. Pas étonnant, en même temps, c'est Sir Flaherty. Euh...ensuite on s'est retrouvé à Harlem après une course poursuite avec un chauffeur de taxi... fit-elle en arquant un sourcil, rien de romantique dans tout ça, ni dans ce qui allait suivre, ou presque. Ensuite il y a eu ces caïds qui nous ont menacé... Des vrais dingues, un conseil les filles ne mettez JAMAIS les pieds à Harlem. Finalement on s'est retrouvé enfermés dans un minuscule placard, me demandez pas pourquoi... et ce n'est qu'à ce moment-là où l'on a pu discuter...

Giulia s'arrêta de parler pendant plusieurs minutes, fixant tour à tour Olivia et Brooke. Le pire dans l'histoire, c'est que ce soir-là, elle était complètement sobre, c'était effrayant. Même en ayant aucune drogue ni alcool dans le sang, elle se retrouvait toujours dans de drôles situations. Au moins, on ne s'ennuyer jamais quand on était avec Miss Gattina.

Je suis sûre que Gossip Girl vous tiendra au courant fit-elle finalement pour conclure. Inutile de précipiter les choses, de toute façon...

Ce fut ensuite au tour de Brooke de raconter ses derniers déboires avec la gente masculine.

Très bien, euuh moi... comment dire... ça varie beaucoup ? Jay, oui enfin Jay...qui ne l'a pas "dragouillé" commença Brooke en lançant un regard malicieux aux deux brunes. C'est clair qui n'a pas dragouiller avec Jay continua Olivia alors que Giulia hochait la tête.

Et qui n'a pas couché avec fit-elle en levant les yeux au ciel avant de s'apercevoir de sa -petite- boulette. Hum, oui, Giulia venait juste de se rappeler qu'Olivia était toujours vierge. Par chance, Brooke reprit rapidement la parole.

J'ai aussi eu à faire à Tim... le "Faux-Gay" de l'Upper, apparemment. Mais j'ai récemment revu Charlie, vous savez, Charlie Dern... Et comment dire, c'était des retrouvailles... brutales ? Pour lui, bien sur ! Olivia n'attendit pas pour lui donner son avis Baaah, tu n'as pas honte, Tim euurk c'est mon cousin...

Brooke ! fit-elle en riant aux éclats, comment tu as osé fricoter avec lui alors qu'il est gay ?! T'es vraiment pas croyable ! Pauvre Charlie, tu lui en a fait voir de toutes les couleurs, et lui aussi, c'est toi au masculin, toujours défoncés et bout-en-train termina-t-elle en riant, avec Olivia, cette dernière redevint un peu sérieuse en avouant à ses deux amies qu'elle voulait vraiment perdre sa virginité.

T'as plusieurs formules Darling, soit tu attends... Ou soit tu demandes à... Giulia leva les yeux au ciel, à la recherche d'un nom. Eric ! Je suis sûre qu'il acceptera sans problème.

Ah oui, Eric. Hum, leur dernière rencontre n'avait pas très bien tournée d'ailleurs, le jeune homme était parti en claquant la porte, depuis il n'avait pas rappelé. Les yeux de Giulia se posèrent sur le plateau posé au milieu du lit. Oooh trois cartes... Sans réfléchir, Giulia en prit une et la déchira afin de lire son contenu. Euh ? Giulia observa Olivia et Brooke qui lisaient aussi leur lettre.

C'est quoi le délire ? Pourquoi on nous demande d'aller se ravitailler secrètement aux cuisines en bikini demanda Giulia à voix haute.

Effectivement, sur un bout de parchemin été écrit à l'encre rose : "Vous irez vous ravitailler discrètement dans les cuisines de l'hôtel...en bikini. Attention à vous et faites ce que l'on vous demande." Les trois filles se regardèrent avant que Giulia n'éclate de rire. La jeune italienne était toujours partante pour faire quelque chose qui sortait de l'ordinaire. Aujourd'hui ne ferait pas exception.

Alors, les filles, qu'est-ce que vous en dites ?

Lorsque sur un coup de tête, deux jeunes New-Yorkaises partent pour Miami, c'est, en loccurence, pour aller sur les plages, observer et même drager les secouristes, et toute la gente masculine. Mais lorsque vous arrivez à destination avec une pluie infernal, et des nuages noirs, on se demande plutôt si on est pas genre, à Londre, où dans des coins de la France réputés par son sal temps... (Je parlais bien evidemment du Havre et de St-malo, entre autre xD.)Mais bon, vous vous dites que vous n'êtes pas seul, que vous avez vos amis. Et bien oui, c'était le cas pour les trois membres du GOWD encore en vie, Olivia, Giulia et Brooke s'étaient retrouvées par surprise dans les hôtel Hilton, et elles comptaient bien fêter leur retrouvailles. (Si elles comptaient ne fêter que leur retrouvailles, sa aurait été bien moin long, non ?)

En parlant de leur aventures d'un soir, ou de leur histoires plus ou moins longues, sa allait vraiment dans tout les sens. Tout dabords, sur fut le cas Max+Olivia, qui fut brutallement arrêté par le service militaire de celui. Ensuite, ce fut au tour de Giulia et de ce cher Damon. Elle donna plus d'explication, à la demande de ces deux amis, et c'est comme cela qu'elle leur expliqua l'histoire, tout en commençant à se nourire de fruits rouge, et de boire plus de champagne qu'il ne faut...

"Euh...ensuite on s'est retrouvé à Harlem après une course poursuite avec un chauffeur de taxi... Ensuite il y a eu ces caïds qui nous ont menacé... Des vrais dingues, un conseil les filles ne mettez JAMAIS les pieds à Harlem. Finalement on s'est retrouvé enfermés dans un minuscule placard, me demandez pas pourquoi... et ce n'est qu'à ce moment-là où l'on a pu discuter... "

Olivia et Brooke se lancèrent des regards qui disait "Oui, sa fait peur, mais c'est Giulia qui parle là !!". Oui, pour être bizar, ça l'était vraiment. Brooke répondit ensuite:

-Harlem... je sais bien que tu as un grain, mais Harlem dans la nuit, tu crois vraiment que c'est Broadway ?... Fit-elle en arquant un sourcil. Elle n'attendait aucune réponse, car de toute façon, ce n'était pas réellement une question, c'était plutôt une affirmation. Puis ce fut au tour de Brooke de s'expliquer à propos de ses fameuses histoires. Puis Olivia n'attendit pas avant de donner son avis là-dessus.

"Baaah, tu n'as pas honte, Tim euurk c'est mon cousin..."

-Mais je viens de vous dire que c'était v.a.r.i.é... excusez-moi, mais vous devriez revérifier vos sources, Tim n'est pas si Gay qu'il n'en a l'air. Mais j'ajoute que ce n'est pas du tout mon style... fit-elle, c'est deux amis la regardèrent bizarement, avant que les trois garces ne partirent dans un fou rire. Puis elle continua, et ce fut Giulia qui rajouta sa "touche" au cas Jay.

-Giulia ! Fit-elle prête à rire. Elle jeta un coup d'oeil vers Olivia. Leur amie avait encore la malchance (ou pas) d'être vierge. Puis ce fut encore à Brooke de s'expliquer par rapport à Charlie, l'ex d'un soir, et peut-être un futur ex... encore ?

-Charlie... mon double ? Dans ce cas, explique-moi pourquoi je ne l'aime pas à en mourir ?... Puis elle se mit à rire, c'est vrai qu'il était exactement pareille, si vous preniez en compte que lui était un garçon, et Brooke une fille... Puis Olivia leur avoua tout d'un coup qu'elle en avait mar d'être vierge. Brooke ajouta aussitôt:

-Ecoute Darling, ce n'est pas si mal. Regarde les gafs que l'on peut faire, surtout si tu as tendance à être infidèle... dit-elle en jetant des regards vers Giulia, avant de sourire, de toute façon Brooke était pareille. Enfin bref, tu ne vas pas jouer ta mémère et attendre le mariage, Giu et moi, on est là pour faire changer ça ! Ewww... c'est censé être rassurant ?

Puis, sur la table, à côté de la coupelle de fruits rouges se trouvaient trois envellopes roses. Gné ? C'était quoi encore ce truc ? Ce n'était pas les deux sectaires qui tentaient déseperement de les revoirs tout de même ? Huh. Elles en prirent une toute les trois tout en la lisant. Elles se regardèrent toute les trois à moitier affollées, à moitier sur-exitées. Ha, les effets de l'alcool arrivaient enfin. Hum, genre elles attendaient d'être en état d'ébriéter... Bah Ouiiiiii. Giulia lit tout fort "Vous irez vous ravitailler discrètement dans les cuisines de l'hôtel...en bikini. Attention à vous et faites ce que l'on vous demande." Puis elle ajouta:

"Alors, les filles, qu'est-ce que vous en dites ?"

Les trois filles se regardèrent, puis Brooke finit par dire dans un large sourire:

-Vous avez mit vos Bikini ?

Après avoir continuer de discuter sur divers choses comme l’escapade de Giulia à Harlem, la récente retrouvaille « brutale » de Brooke & Charlie, le tendre défoncé aux yeux bleus et l’envie de perdre sa virginité pour Olivia, les filles remarquèrent enfin la présence des trois enveloppes d’un rose plutôt prononcé. Gnéé ? C’est quoi ce délire, c’était, genre, une lettre des deux gros lourdaux qui avaient tentés de violer Brooke & Giulia il y a disons, une petite heure ? Mmmh, d’après Giulia c’était une sorte de jeu de piste : «C'est quoi ce délire ? Pourquoi on nous demande d'aller se ravitailler secrètement aux cuisines en bikini. » Bonne question, en tout cas, Olivia ne put s’empêcher d’afficher un sourire en coin pétillant et plein de malice. Descendre dans les cuisines d’un des hôtels les plus classes de la Floride s’était la seule et unique fois que l’on pouvait proposer ça à Olivia, et puis c’était assez excitant de devoir se faufiler en toute discrétion dans les réserves d’une cuisine à trois étoiles Michelin, elles pourraient surveiller le moindre fait et geste de chaque cuisinier, la moindre encartade. Ou pas. Non, les trois membres du GOWD n’allaient pas se mettre à faire ce genre de choses si elles devaient se ravitailler en nourriture, elles le feraient et c’est tout. Point.

Giulia leur demanda, tout en riant :

« Alors, les filles, qu'est-ce que vous en dites ? », Brooke avait l’air tout à fait partante et elle répondit par une phrase tout à fait compréhensive pour nos trois chères garces en tout cas :

« Vous avez mit vos Bikini ? ».

Olivia se leva, enleva son peignoir, prit la pose et dit avec une classe assurée :

-Bien sûr, elle arqua un sourcil.

Les filles se levèrent bien décidées à réussir ce jeu de piste. Giulia ouvrit la porte et prit les devant suivies d’Olivia & Brooke, elles se dirigèrent vers l’escalier privé, logiquement interdit aux clients de l’hôtel, mais étant donné que personne du personnel de l’hôtel ne rodait dans le couloir, elles pouvaient s’y rendre sans aucun problème. En se dirigeant vers ce fameux escalier, un homme gros, gras qui avait tout l’air d’un promoteur immobilier bourré de fric et qui ressemblait étrangement à son beau-père… (Ewww) se rinça bien l’œil sur les corps sublimes des trois jeunes filles, ce dernier croyait peut-être que les filles qu’ils avaient appelés il y a quelques minutes au téléphone rose étaient en avance et déjà dévêtues, en passant devant lui, Olivia afficha une expression de dégoût et dit :

-Même pas en rêve.

Les filles passèrent leurs chemins et descendirent discrètement l’escalier du personnel, elles arrivèrent peu de temps après dans les cuisines. Olivia crut rentrer dans un four, il faisait très chaud dans la cuisine. Nos trois membres du GWD décidèrent d’user de leurs charmes afin d’arriver à leur fin et d’avoir enfin ce qu’elles devaient obtenir. Les cuisiniers remarquèrent enfin la présence de nos trois Sadisctic Bitch.

-Huum…Mesdemoiselles vous n’avez pas le droit d’être ici..

Olivia fit les yeux doux à un des jeunes cuisiniers, ce dernier rougit :

-Mais, nous avons faim et le service d’étage n’arrive pas…,elle fit une petite moue renfrogné...

Brooke & Giulia firent elles aussi leurs petits cinémas…après quelques refus, les cuisiniers les laissèrent enfin se servir dans les divers réserves tout en se rinçant l’œil sur les corps parfaits des jeunes filles…Euuuurkk…Qu’es-ce qu’il ne faut pas faire quand on participe un stupide jeu de piste… ? Stupide…mais marrant…en tout cas pour nos trois jeunes filles…

Après les paroles très très (j'insiste) rassurantes de Brooke quant à la virginité d'Olivia ainsi qu'au "Je ne l'aime pas à en mourir" de Brooke en parlant de Charlie, magnifique canon aux yeux bleus défoncé (rien que ça ?), même si elle doutait du fait que Brooke déteste à ce point Charlie (après tout, si elle le détestait, elle n'aurait pas couché avec non ?)... Donc après tout le blablatage de filles très guimauve rose bonbon, les trois membres du GWD passèrent à la lecture des trois enveloppes qui avaient été livrées avec leur plateau rempli de mets délicieux. Etrange... Depuis quand le service d'étage servait de poste ?
On leur demandait d'aller en bikinis faire leur ravitaillement dans les cuisines de l'hôtel. On ne peut pas dire que c'est commun comme genre de mission... Giulia relut la missive puis tourna et retourna l'enveloppe entre ses doigts, à le recherche d'une pauvre indication. Rien, niente, nada, nothing.

Pendant ce laps de temps, Brooke leur demandait si elles avaient mis leur bikini. Giulia releva les yeux vers elle, un sourire sur les lèvres alors qu'Olivia exhibait le sien. Telle une Audrey Hepburn en bikini, la classe et tout le reste. Giulia enleva à son tour son peignoir, à croire que se prélasser dans le jacuzzi était une mode quand on venait dans un Hilton... Oh pardon, se prélasser dans un jacuzzi quand on vient au Hilton est une mode. Les trois filles étaient donc partantes. En même temps, est-ce vraiment étonnant ? Le GWD ou du moins ses trois membres étaient réputées pour se mettre dans de droles de situation, notamment confrontées à des barjos ou des schizos.
Et avouez le, voir ce qu'il se passe dans les cuisines des Hiltons, c'était pas ce que l'on pouvait voir tous les jours. Regarder si les cuisiners leur mettaient des trucs empoisonnés dans les commandes, ça ne pouvait être que bénéfique. Ou pas.

Giulia sauta du lit et se dirigea vers la porte. Elle s'arrêta quelques secondes, prenant soin d'attendre ses amies. Elles se retrouvèrent finalement dans le couloir, vide à cette heure là (pourquoi d'ailleurs ? peut-être parce que les clients ne trouvaient pas vraiment amusant de passer des heures et des heures dans les couloirs... parce qu'il n'y avait rien à faire)... Après quelques minutes d'errance dans les couloirs, croisant un pervers par la même occasion (et avec lequel Olivia prit un malin plaisir à mettre ses talents de garces sadiques), les trois filles trouvèrent l'escalier de service, réservé normalement au personnel. Tant pis... Il faut savoir vivre dangereusement.

J'ai l'impression d'être une rebelle en rut souffla Giulia alors qu'elles descendaient en silence les marches. Elles arrivèrent finalement dans les cuisines, ou l'antre du diable. Endroit bondé et chaud comme pas possible. Le bikini était peut-être une bonne solution en fin de compte...

Evidemment, leur entrée de passa par inaperçue, vous pensez que c'est genre fréquent que trois canons en bikini fassent un tour par la cuisine ? Non évidemment... Dans le même genre, c'est fréquent que trois clientes descendent et demandent quelques trucs à grignoter ? Non plus. Tant pis, elles étaient jeunes, belles et jolies (c'est la même chose, mais c'est pas grave), elles pouvaient avoir tout ce dont elles désiraient. Chouette et troooop coooolz non ?

Oh allez, s'il vous plait fit Giulia avec un regard emplorant qui avait pour cible un mec aux yeux verts qui devaient avoir 25 ans. A croire qu'elles étaient vraiment irrésistibles...puisqu'on les laissa libres de prendre ce qu'elles voulaient. Un sourire angélique et un air ravie apparurent sur chacun des trois visages tandis qu'elles se rendaient à la réserve.

J'aimerai encore un peu de champagne... et du chocolat fit-Giuliua en levant les yeux au ciel. Les trois filles se séparèrent, plus pratique pour prendre chacune des provisions différentes... jusqu'à ce que Brooke pousse un cri de joie. Euh oui ?

T'as trouvé une autre enveloppe ? demanda Giulia en riant, ou c'est juste que tu repenses à ta nuit avec Charlie ?