Rira bien qui rira le dernier [pv Gabrielle]

Lyssa guettait avec attention les aiguilles de l'horloge murale. Elle attendait avec impatience la fin de son cours de français qui, malheureusement n'avait commencé que depuis neuf minutes et trente cinq secondes précisement. En général, la jeune femme aimait les langues, le français en particulier. Manque de chance, cette année, question prof, elle était mal tombée. Monsieur* Dury était sans doute un des enseignements les plus étranges et chiants que Constance Billard ait jamais connu. D'une part parce qu'il était complètement dingue et qu'il détestait les adolescents et d'autre part parce que c'était un mauvais professeur. Lyssa travaillait avec archarnement le soir pour tenter de garder un niveau de français honorable.

Demain, il sera beau* s'exclama Mr Dury, fier d'avoir pu sortir une phrase en français. Malheureusement pour lui et la moitié de ses élèves, aucun d'eux n'avait consicence que si vous dites ça à un français, il vous prendra pour un crétin de service. Lyssa soupira, peut-être un peu trop bruyament puisque son prof lui jetta un regard noir.

Evans, dehors déclara-t-il d'une voix trop calme et posée pour ne pas avoir envie de le frapper. Son visage affichait même un air rempli de sadisme et il semblait être fier de lui.

Hein, mais qu'est-ce qu... commença Lyssa. Elle fut interrompue dans sa phrase par une de ses camarades blondes sans cervelle qui était en train de rire à gorge déployée.

La jeune femme resta incréduble, sans savoir qu'est-ce qu'elle avait fait pour se faire une nouvelle fois virer de cours. La réponse ne tarda pas à venir alors qu'elle ramassait tranquillement ses affaires avec un air d'indifférence totale.

J'attendais la moindre occasion pour vous virer de cours Mademoiselle Evans.

C'était donc pour cette raison ? Il l'a viré de cours juste parce qu'ils s'archanait à être odieux avec les élèves ? Il ne devait pas se douter que rater son maudit cours de français n'était pas vraiment une grosse perte. Lyssa sortit de sa salle de français et se dirigea vers la cafétéria où se déroulait les heures d'étude.

Elle s'installa dans un coin de la salle, assez à l'écart de toutes ces filles superficielles et sans cervelle. Habituée à être virée decours, Lyssa avait toujours sur elle ses affaires de dessin. Dessiner était une de ses grandes passions et c'est avec horreur qu'elle constata qu'elle avait oublié son bloc de dessin. Elle chercha des yeux une fille "abordable", pas la peine de demander aux groupes de dindes qui pouffaient. Une autre fille isolée des autres attira son attention. Lyssa se leva bruyament de sa chaise, attirant quelques regards noirs sur elle. Elle avança vers la jeune femme brune d'une démarche assurée et arriva finalement à sa hauteur.

Hey, désolée de te déranger mais c'était soit toi, soit ces cruches fit-elle en désignant le groupe de 1ères Années qui les regardaient du coin de l'oeil.

« Hé ! Mais merde, qu’est ce que tu fais là toi ? » Lâcha une terminale de Constance. Gabrielle la regarda de haut en bas. Qu’avait elle encore fait pour ce recevoir une phrase du genre ? D'ailleurs, elle aurait pu mettre sa main à couper, à broyer, puis la donner à bouffer à des chiens ; la propriétaire de cette phrase était une blonde. Une fausse blonde, en plus, à tous les coups. Jackpot. Bon, allez, hop, on respire, plus fort. Plus fort, ai-je dis Klein ! Ouais, ouais, c’est bon.

Gabrielle n’eut, à vraie dire, pas le courage de la regarder dans les yeux. Et puis de toute façon, pour y voir quoi ? C’est simple ; du crayon noir, du mascara noir, et puis pleins d’autres trucs dont Gabrielle ne connaissait pas le nom. D’ailleurs, elle s’en contre fichait.
Elle s’avança alors, pour faire genre elle ne l’avait pas vu. En fait, c’était sois ça, sois lui foutre un coup de point dans son nez – chirurgicalement transformé-.

« Hé oh ! Tu m’entends saleté ? » Lui cria pratiquement la blonde. La blonde ? Non, non, elle savait son prénom. Mais, c’était quoi déjà ? Oh punaise, tant pis, elle allait la surnommer Barbie… Ouais voilà, c’était super Barbie. Gabrielle lui avait vite fait –mal fait- jeté un regard, genre. Et, olalala, elle ne s’y attendait pas –oh oh, ben nan, c’est pas bien de mentir- cette Barbie, ressemblait en tout point à –notre chère- Giulia. Youpi ! Gabrielle pouvait transposer leurs images, et –oh que se serait mal élevé- lui cracher à la figure. Bon allez, un peu de sérieux, elle l’avait traitée de saleté ? Ben bien sûr.
Trop conne la fille.

-Sans faire exprès- Gabrielle lui marcha sur le bout de son escarpin. A tous les coups, c’était des Manolos… Re-youpi. ‘Barbie’ la regarda avec un regard qui se voulait tueuse –et tout le monde sait que les Barbie, ça peut être très destructeur-.

« Oh ! Excuse-moi… Mais bon, en même temps, c’est dans ma nature de salire les gens. Ben oui ! Tu l’as dis ! Je suis une saleté… Une putain de saleté, hein ? »

C’était pas le tout, mais après l’amusement ; les cours. Bon, à vrai dire, ce n’était pas vraiment une heure de cours. Plutôt… Une heure de colle. Et oui, que voulez vous, même les meilleurs élèves –ouuh- ont quelques troubles du comportements du à un énervement euh… passagé ? OK OK c’était encore à cause de ces terminales poufs et stupides qui l'énervait au plus au point.

Gabrielle pénétra dans la salle avec un léger retard –on se demande à qui a faute-. Tandis que la vieille posait des yeux globuleux sur elle, elle s’assit. Un peu –beaucoup- à l’écart, comme d’habitude quoi. Aah que c’était bon le train train quotidien, tellement bon, que au lieu de faire cette, -ô combien stupide- dissertation, elle se dit que reposer ses yeux, ça serait pas mal comme occupation pendant toute cette petite heure. Hop, elle posait son sac noir à bandoulière, prenait un petit calepin. Juste où cas où la vieille aurait la mauvaise idée de regardait si elle travaillait –ce que d’ailleurs elle ne faisait jamais puisque elle se foutait de la vie de tout ces terminales, de tout ces jeunes, en gros, de tout le monde-. Et puis aussi, elle ne devait pas s’affaler sur sa table, parce que sinon ça paraîtrait trop suspect, ben oui.
Puis, Hey, désolée de te déranger mais c'était soit toi, soit ces cruches qui sortait de la bouche, de euh, une nouvelle, très certainement. Quoique, ce n’était pas comme si elle connaissait tout le monde, et donc pas comme si elle pouvait reconnaître des nouvelles. La seule chose qu’elle pouvait reconnaître, c’était des poufs, blonde.
D’ailleurs, en parlant de blonde, cette demoiselle était blonde. Heureusement qu’elle n’était pas raciste, la petit Gabrielle. A première vue, elle avait l’air plutôt sympathique. Ok, Gabrielle daigna enfin -c'est-à-dire après deux minutes d’observation- de lui sourire gentiment.

« Hey, t’inquiètes, tu me dérange pas… Oh oh je ne connais que trop bien ces S.P.B, soit : Sales Poufs Blondes… Ne prend pas le blonde personnellement. Au fait, je me posais une question -bien sûr que je ne suis pas curieuse- t'es nouvelle ? Enfin, je t'explique pourquoi je te sors ça tout d'un coup, alors que t'as pas du tout l'air nouvelle : je t'ai jamais vue... Ce qui, je sais bien, n'est pas une raison valable pour penser que tu es nouvelle étant donné que, en fait, je ne fais pas attention à qui est nouveau/nouvelle.»

Oula, elle venait d'en déblatérer des choses... Bon, maintenant soit cette nouvelle connaissance allait partir et s'adresser aux poufs, parce que elle allait se dire que tout compte fait les poufs c'était mieux qu'une tarée, soit bah... Jocker, elle ne savais pas.

Deux minutes passèrent sans un mot. Chacune des deux filles occupées à jauger l'autre du regard. Le groupe de blondes regardaient d'ailleurs la scène avec interet. Sans doute savaient-elles que les deux filles à quelques mètres d'elles avaient deux.. caractères pas faciles ? Et elles attendaient avec impatience que le brune et la blonde se crepent le chignon. Peut-être allait-ce arriver, on ne sait pas encore.

Lyssa se foutait royalement de tous ce que l'on pouvait dire d'elle oubien de ses camarades. Elle ne jugeait jamais la dessus, mais avec l'expérience, elle avait rapidement appris à deviner qui était complètement conne, stupide ou pathétique. C'était ce qui peuplait Constance Billard. En général. Parqu'elle pouvait très bien tombée sur quelqu'un qui partageait le même avis qu'elle. Et c'est ce qui semblait se passer avec la jeune fille brune à qui elle venait d'adresser la parole. Cette dernière s'embarqua dans un long monologue.

«Hey, t’inquiètes, tu me dérange pas… Oh oh je ne connais que trop bien ces S.P.B, soit : Sales Poufs Blondes… Ne prend pas le blonde personnellement. Au fait, je me posais une question -bien sûr que je ne suis pas curieuse- t'es nouvelle ? Enfin, je t'explique pourquoi je te sors ça tout d'un coup, alors que t'as pas du tout l'air nouvelle : je t'ai jamais vue... Ce qui, je sais bien, n'est pas une raison valable pour penser que tu es nouvelle étant donné que, en fait, je ne fais pas attention à qui est nouveau/nouvelle.»

Lyssa la dévisagea pendant quelques secondes d'un air sceptique. Bon, ok ça ne voulait rien dire. La fille ne l'avait pas rembaré et elle semblait penser la même de ces S.P.B. L'appelation fit sourire Lyssa qui hocha la tête, d'un air compréhensif.

Si on pouvait les exterminer de ce lycée, les survivantes seraient peu nombreuses fit-elle avec un sourire machiavélique, ses yeux s'illuminant à cette pensée. Malheureusement, je fréquente toutes ces S.P.B depuis longtemps. Trop longtemps.

Lyssa Evans. La bête noire de la direction de Constance Billard, fidèle membre de la ligue Anti-S.P. blondes, brunes ou rousses fit-elle, sourire en coin en se présentant.

[Désolée, c'est très, hum, pathétique ]

Bon à priori, tout ce blablatage insensé ne lui avait pas fait peur – quoique, elle avait quand même adopté un visage de… Biche apeurée ?- Un bon point pour la jeune femme. Tout ceux qui ne portaient pas ces satanés Sales Poufs Blondes dans leurs cœurs, pouvaient être des connaissances amicales potentiels, et non des ennemies jurés… Ouais de toute façon, sur cette liste, il y avait déjà trop de monde.
Gabrielle leur jeta un petit regard, histoire de compléter son ignorance à leur sujet, et se rendit compte que, soit elle avait l’air d’un hippopotame en tutu rose, soit d’une paire de manolos, pour attirer autant leurs intérêt –qui d’habitude restait aux frontières des garçons et des fringues de grandes marques-. Où alors, c’était probable que cette nouvelle, euh, connaissance, ne soit pas non plus adepte de la pétasse attitude.
Gabrielle se redressa un peu plus, s’adossant mieux sur sa chaise –soyons polie Klein-.

« Si on pouvait les exterminer de ce lycée, les survivantes seraient peu nombreuses »
Et bien, c’était de peu de gens fréquentant Constance Billard, que l’ont pouvait entendre ces paroles. Et oh, on aurait dit, pendant ces quelques paroles, que la jeune femme avait à la place des cordes vocales des touches de piano. Certes, la métaphore que Gabrielle se faisait dans sa tête était, hum, quelque peu étrange, mais pas tant que ça étant donné que c’était ce qu’elle rêvait de faire depuis sa troisième. Les exterminées… Le seule truc qu’y l’arrêtait était le fait que, ou la question plutôt, il ne resterait personne, non ? Et bien, pour une fois dans sa vie, elle était assez contente de se tromper.
« Malheureusement, je fréquente toutes ces S.P.B depuis longtemps. » C’est normal qu’elle se reconnaisse dans ces paroles, ô combien véridique ?

Lyssa se présenta en évoquent un mot que la fit, hum, pâlir de dégoût ? Non, non, pas de dégoût, d’énervement, peut être ? Bref, si vous n’aviez pas deviné, ce mot était Rousses… A vraiment, ça ne vous évoque rien ? Ok, elle a récemment changé de couleur de cheveux, mais bon.

« Gabrielle Klein. Je ne dirais pas bête noire, mais ça pourrait s’en approcher, hum, disons très vaguement. Mieux que ça, créatrice de la ligue Anti-S.P… Même si on a tous nos petites faiblesses. » Vous vous doutez bien que quand elle dit ça, elle parlait bien sûr de sa venue à l’anniversaire de Giulia… C’était elle trop shoutée avant de venir ?

[Hum, désolée du retard, je suis irréucpérable >.<]

Un sourire en coin apparut sur le visage de Lyssa, elle avait maintenant le sentiment d'être tombée sur une des filles qui semblaient se ranger du même côté que la mademoiselle Evans. Enfin "rangée", non pas vraiment puisqu'elles avaient l'air d'être toutes les deux assez... étrangères aux S.P.B. Au contraire même, pour Lyssa, un de ses buts étaient d'être machavéliques avec ces pauvres petites bêtes, êtres pardon. Les plans machiavéliques germaient en permanence dans sa petite tête blonde. On pourrait difficilement le croire sous cette apparence angélique. Mais rappelons le une nouvelle fois, Lyssa était tout sauf un ange. Ou un ange déchu alors. Mais elle ne se considérait pas comme ça mais plutot comme un petit diablotin en herbe qui était destiné à faire de grandes choses pour la lutte contre les Sales Poufs. Et à priori elle venait de se faire une alliée.

La brune se présenta finalement, sur le même ton que Lyssa avait employé, à savoir l'ironie. Ou l'auto-dérision. Et oui, comparées à toutes ces sales poufs, elle semblait savoir rire d'elle même. Ok, je sais que Paris Hilton le fait aussi mais c'est encore une autre histoire.
Gabrielle Klein. Je ne dirais pas bête noire, mais ça pourrait s’en approcher, hum, disons très vaguement. Mieux que ça, créatrice de la ligue Anti-S.P… Même si on a tous nos petites faiblesses.

Au moment où Lyssa allait lui répondre, un éclat de rire l'interromput, une grande brune, fine comme une alumette, laide comme un pou et avec l'air niais d'un bébé s'était avancée jusqu'à la table occupée par Gabrielle Klein et plus récemment Lyssa. La fille était quasiment pliée en deux, en train de se tordre de rire sous le regard ébahie des deux autres jeunes femmes. Lyssa croisa d'ailleurs le regard de Gabrielle, l'air de dire "Non mais je rêeeeve ?". Le pire, c'était que la grande blonde pas futfute n'avait encore rien et continuait à rire toute seule. Conne, vous avez dit conne ?

Elle finit par reprendre son souffle et pointa du doigt le débardeur que Lyssa. La jeune femme n'avait pas fait d'exentricité aujourd'hui (dans le langage de Miss Evans : elle n'avait pas mis son uniforme) elle s'était juste vêtue d'une mini-jupe en jean noir, d'un t-shirt à l'effigie d'un de ses groupes préférés, à savoir Babyshambles et était chaussée d'une paire de Converses blanches. Bon, elle l'a balancé sa vanne ou quoi ? C'était chiant d'attendre.

Mais c'est quouuuuuuuuuuua ton t-shirt ?!

Alors, là j'avoue que Lyssa était déçue de la vanne, c'était tellement pathétique qu'elle soupira, non mais c'est quoi le truc qui clochait chez cette fille ? Lyssa était au courant qu'elle possedait un pois chiche au lieu du cerveau, mais là, le pois chiche devait être inexistant.

Ah mais tu connais pas ?! Babyshambles, c'est la marque super-ultra-chic-et-populaire que Versace a sorti au Liechtenstein ! s'exclama Lyssa avec une voix d'hystérique en tentant de l'imiter.

La poupée alumette risqua un coup d'oeil vers Gabrielle puis vers ses pseudo-amies qui suivaient la scène avec interet. Là, Lyssa l'avait carrément destabilisée, quoi de pire que de déclarer qu'on était pas au courant de la mode du Liechtenstein, surtout une création de la maison Versaca, c'est pas rien.

[Désolée pour le retard]

« Mais c’est quuuuuuuuuuuoa ton t-shirt ?! » Prononça la grande blonde tout en pointant du doigt le t-shirt de Lyssa. Dis donc, petite, on en t’as jamais dis que pointer du doigt c’est genre super mal élevé ?

Gabrielle fut prise d’un fou rire. Un fou rire qui n’avait pas l’air de vouloir s’arrêter. Penchant son visage en arrière. Punaise, cette fille était tellement pathétique que ça en devenait pire que risible. Enfin, la chose qui éveilla son attention, c’est qu’en plus de sortir un truc si « nul », elle s’élança. Un élan qui dura dans les deux trois minutes. Gabrielle riait toujours quand Lyssa déclara que son t-shirt arborant un grand « Babyshambles » était le truc le plus in du moment. Et la chose la plus prévisible du monde arriva ; la grande blonde fut complètement déstabilisée. Ou devrais je dire, Barbie fut complètement déstabilisée. Gabrielle s’arrêta enfin de rire. C’eut été malheureux que sa mâchoire se décroche pour ce genre de chose si futile –et si risible, il faut bien le dire. Un sourire restait tout de même fixé sur son visage, c’était dure de ne pas exploser de rire à leurs moindres paroles. Gabrielle prit un air des plus stupide –en clair celui des poufs, il faut dire qu’elle avait l’habitude d’en voir, donc la tâche ne fut absolument pas ardue.

« Han darliiing tu me déçois… Puis elle reprit sa voix normale… Mais voyons, que dis je, tu ne m’as pas déçue, puisque je n’avais pas d’estime pour toi. »

Oh secours ! La foudre allait lui tomber dessus. L’attaque des poufs devaient certainement être redoutable. Mais notre chère Gabrielle, courageuse comme elle est, ne se déroba pas après ses paroles. Certes l’attaque de coups de mascara, de peinturlurage de rouge à lèvres de grandes marques, ou de tirage de cheveux l’effrayait au plus haut point, mais elle n’allait tout de même pas leur fausser compagnie comme cela. (oui oui, c'est ironique^^)

Une autre blonde s’avança vers elles. L’air déterminée. Punaise, pourquoi est ce qu’elles étaient toutes blondes ? Non mais franchement, à force de voir que ça, première on se demande si on n’est pas un extraterrestre, puis en plus, on pique une crise chaque fois qu’on voit du jaune. Oui voilà, tout cela poussa à haïr la couleur jaune. Que c’est malheureux. Barbie number 2 posa alors sa main sur sa hanche, bougea ses long cils bleu nuit de haut en bas ; et fit bouger ses lèvres pulpeuse engluées de gloss rose bonbons. Eurk, on se demandait encore comment elle pouvait réussir à parler avec autant de poids sur ses lèvres.

« Han naaan mais franchemeeeent, tu nous prend pour des connes ou quoua ?! »

Rire. C’est fait exprès l’accent, ou c’est compris dans la version VO ?