Shut your mouth [ Alexander ]

[ Dsl pour le titre : aucun rapport xD et désolé pour le Rp c’est très moyen. ]

Et dire qu’il a seulement deux semaines, Olivia était encore en train de se prélasser à Miami avec ses deux garces favorites, si on peut appeler sa se prélasser…La voilà maintenant à l’université, plus précisément à Yale, après des semaines en liste d’attente, elle avait finalement été reçue et elle était en première année de droit. Vous connaissez Olivia, elle avait vraiment un emploi du temps des plus chargé et dès qu’elle avait une heure de libre, elle se relaxait le plus possible. Justement, cette heure de libre, elle l’avait maintenant.

****

Olivia se dirigea avec hâte sur le campus, pour pouvoir enfin déposer toutes ses affaires dans sa chambre et aller faire un tour en dehors de la FAC. On peut dire que notre chère garce, avait eut de la chance ET de la malchance, car elle se retrouvait avec toute sa bande de l’Upper mais aussi toute sa non-bande [gnéé ?] de l’Upper. Et oui et puis, l’administration avait été très sadique pour le plan des chambres, Olivia se retrouvait avec sa chère et tendre ennemie Gabrielle Klein…au pays des Dadas…Youpizz..Thraukoolzz..Huum pardon. Encore heureux qu’elle ne s’était pas retrouvée COMME PAR HASARD avec sa M.A.P.L.V j’ai nommée Chardon ou Chardy. Bref, Olivia se dirigea vers l’extérieur, elle avait entendue parler « des toits », il paraîtrait, selon les dernières années, qu’on y est bien. Olivia y grimpa alors sans trop savoir si c’était par là qu’il fallait aller. A première vue, personne ne s’y trouvait, Olivia, contente de sa trouvaille s’installa sur les tuiles rouges du toit.

Elle fuma une cigarette en pensant à tous ses amis, les plus proches comme les plus éloignés. Brooke, Chuck, Giulia, Saph’, Nate & Serena. Olivia avait bien besoin de se faire aussi de nouveaux amis, histoire de rencontrer de nouvelles de têtes…et puis depuis qu’elle avait rompue avec Max ou plutôt l’inverse…elle était restée célibataire tout l’été mis à part deux trois flirts de rien du tout…Qu’est-ce que sa peut manquer d’être en couple…elle était la plus difficile entre Brooke & Giulia, l’une sortait avec un pseudo-défoncé Charlie et l’autre avec une pseudo-rock star Damon…Et une fois de plus, Olivia venait de réaliser qu’elle était toujours vierge..Grrrrrr…Des pas sortirent Olivia de ses pensées, quelqu’un montait, elle éteignit sa cigarette et la balança par-dessus le toit, histoire de ne pas se faire griller au cas où c’était quelqu’un du staff de l’université….Sans trop faire attention à qui venait de monter sur le toit et remarquant que ce n’était qu’un autre élève de Yale, elle se ralluma une cigarette et retomba dans ses pensées.

Plusieurs dizaines de minutes plus tard, Olivia remarqua enfin à quoi ressemblait cet élève de Yale…De taille moyenne d’après sa position assise, cheveux ébouriffés, concentré sur un livre de littérature…Huuum élève en littéraire. Olivia avait choisit de faire des études de droit car le métier d’avocat l’intéressait mais elle ne savait toujours pas si elle changerait en cours de route. Bref, le jeune homme qu’elle fixait depuis maintenant plusieurs minutes, la fixait elle aussi…elle retourna dans ses affaires…Aucune. Elle ne pouvait donc pas faire semblant de travailler ou d’être plongé dans un livre, ni même d’un la lecture d’un texto sur son téléphone qu’elle avait laissé dans sa chambre…Fichtre xD

C’est à ce moment là, que le jeune homme lui adressa la parole…

(hj: Désolé, c'est... )

Le soleil, les palmiers, les belles filles en bikini, et ce jeune homme là, au physique assez avantageux. Un bouquin d’Oscar Wilde dans les mains, en tailleur sur une serviette Dior. Des regards se pose sur lui et il ne les remarque qu’à peine, puisque c’est normale : il fait partie de ces personnes.Tout ceci jusqu’à ce qu’il la voit. Il a un doute, pendant un instant. Une seule seconde. Mais non, c’est bien elle. Ces cheveux blonds ondulant le longs de ses omoplates, ses yeux vert doré, et surtout, oh oui surtout, son sourire. Si il ne s’écoutait pas, si il n’était pas une de ces petite chose sans retenu, ou tout simplement si il avait un peu plus de courage, il lâcherait son satané livre dans les entrailles de ce sable, aussi chaud soit il, et…

« Mathilde, c’est la dernière fois que je t’accompagne à la plage… Et si tu me sautes dessus pour me dire que ce livre est oh carrément génial que je devrais carrément le lire ; je t’étrangle. » Dit il d’un air las, pratiquement fatigué de constater ce que pouvait lire des filles en mal d’amour. Alexander était pratiquement sûr du fait que cette fille qui lisait à voix haute s’imaginait des trucs du genre Cendrillon et compagnies, mais avec des scènes aux lits en plus. Précisons avec n’importe quels garçons qui rentrerait dans les critères suivants : beau, riche et… C’est un peu près tout.

Mais voilà que la rentrée avait lieu.
Ce qui signifiait clairement se remettre sérieusement au boulot, si il voulait ne pas voir son reste de vie social se réduire à néant. « Tu as eu la chance d’être accepté dans une des université les plus prestigieuse du monde ; ne la gâche pas. » En gros les paroles de son père qui, à présent, était en voyage au fin fond du monde, là où les chiens avaient besoin de croquettes simulant le fois gras ou le saumon.

En quête d’une lecture qui le changerait de son registre habituel, il avait juste par curiosité, rassurez vous, acheté le même bouquin que cette fille. Grâce à sa superbe mémoire, il avait restitué ce même passage à une vendeuse d’une grande librairie de New York. Elle l’avait tout de suite reconnu, s’exclamant que c’était un livre magnifique que ‘holala’ on en ressortait changés. Et bien voilà, il allait s’ouvrir à un tout nouveaux genre de littérature : celui des parias de toute relation social pas du tout platonique.
C’est ainsi qu’il s’était retrouvé sur le toit, en quête d’un endroit isolé où il pourrait se concentrer sur ce qui serait sûrement un navet de premier choix. Il n’avait pas fait très attention à ce qui pouvait se trouver là et ici, mais il avait tout de même remarqué la présence d’une jeune fille brune, qui fumait un clope. Encore heureux, il ne considérait pas cette odeur avec répugnance.

Les lignes défilant sous ses yeux, et l’affreuse impression de ne pas se souvenir de la ligne précédemment lue l’exaspéraient. Il laissa échapper un bâillement, puis décida de se concentrer le reste de son attention, c'est-à-dire celle qui ne dormait pas à poing fermé, sur l’étudiante ici présente. Ses cheveux bruns étaient teintés de légers reflets blonds par le soleil, un visage assez fin… Il ne lui fallu que quelques secondes pour la reconnaître. Eh non, ce n’était pas une fille qui aurait pu le hanter, non, c’était juste la fille que tout le monde connaissait dans l’Upper. Ce dernier se résumait au fait que tout le monde se connaît sans vraiment se connaître.

« Tu es Olivia, c’est ça ? »

« Tu es Olivia, c’est ça ? »

Huum…Oui, c’est bien elle Olivia Waldorf en personne. Mais comment pouvait-on déjà la connaître alors qu’elle était arrivée il y a de cela une semaine afin d’entamer ses études de Droit… ? Mais voyons Darling, tout le monde connaît tout le monde ici…C’est ce qu’aurait répondue sa mère…Bon, on s’en fout de sa mère, elle n’est pas là et d’ailleurs en y pensant bien Olivia ne l’avait presque pas vue de son été – qui était passée à une vitesse monstre, je précise - , même pas vue une seule fois…Olivia avait voyagé aux quatre coins de l’hémisphère, elle avait passée plusieurs longues journées en compagnie de ses deux garces bornées en Floride, puis avait prit un vol pour le Sud de la France, afin d’aller voir son père…c’est là qu’elle avait revue Brooke en compagnie de son défoncé au grand cœur et au petit cerveau de copain dit Charlie, ensuite elle avait passée un petit week-end à Milan pour voir Giulia et en guise de retour, Olivia s’était permit un petit passage en Angleterre au cas où elle pouvait trouvée quelques vieux vinyles des années 60-70 des Beatles ou encore des Sham 69…Elle était finalement rentrée avec une valise remplie d’une précieuse collection de vinyles que sa mère appelait « vieux cd », et c’était là qu’elle avait du racontée toutes ses vacances à sa mère…vous connaissez les mères dans l’Upper toujours à tenter de rattraper le temps perdu durant l’enfance de leurs chers bambins par de simples petites questions, gnééé ? Pas si simples que ça, admettez-le qu’on déteste toujours y répondre : « Alors ces vacances ? Raconte moi tout. » Et oui, le pire c’est qu’elle se prenne pour notre meilleure amie…

Bref, Olivia qui semblait être en pleine concentration sur son paquet de Merilt tourna la tête et regarda le jeune homme avec un œil perplexe… :

- Hum oui c’est bien moi et toi tu es … ?

Vous devez sûrement savoir que traîner sur les toits des « remparts » d’une prestigieuse université est interdit et qu’on peut, genre, attraper un avertissement ou autre mais bon Olivia qui est une élève de première année n’en sais rien c’est bien sa le problème. Et puis, elle n’en savait rien, parce que, peut-être que les élèves qui grimpent sur les toits ne sont que des ados en pleine crise existentielle qui souhaitent qu’une chose c’est en finir avec la « life »…bas uaii quoiii tu comprend trooop pas c’que je ressens, tais toi sinoon j’vais me suicider avec ma manette de Playstatiiion...Gnééé ? D’accord, revenons en au fait que grimper sur le toit d’une université est INTERDIT…La preuve : le garçon n’eut pas le temps de répondre qu’un black baraqué, ressemblant étrangement au garde du corps de Britney Spuurs, habillé d’un costume noir et d’une oreillette à l’oreille (non, sans blague…Thraukoolzz) leur demanda si ils étaient des premières années…Ils acquiescèrent tout les deux d’un bref signe de tête et avec une force surprenante, leur prit le bras à chacun…Vous connaissez Olivia se débattait comme une sauvage, quand elle ne le fait pas avec l’agent de sécurité d’un des hôtels Hilton de Miami, elle le fait avec l’ex garde du corps de Brit et le nouvel agent de la sécu de Yale....

Plusieurs minutes plus tard, après avoir été traîner, comme deux gamins qui venaient d’être surpris en train de jouer au docteur, à travers tout le campus…arff. Ils arrivèrent dans une sorte de sous-sol froid et lugubre et furent pousser dans un…cachot avec des rats et…des petites bêtes avec pleins de pattes…araignées…Olivia poussa un cri…elle remarqua finalement que le jeune garçon regardait Olivia avec un œil incrédule sans pour autant être effrayé par la situation, peut-être qu’il était dans le cou et que s’était une sorte de bizutage… ?…Quoi de plus bizarre que de se faire enfermer dans un cachot froid et lugubre avec un garçon qu’on ne connaît même pas par le nouvel agent de sécurité de Yale qui sortait tout droit de Men In Black…Muhahaha.

-Donc tu es … ?

Olivia ou l'art d'engager la conversation dans des moments pareils...

« - Hum oui c’est bien moi et toi tu es … ? »

Alexander n’eut même pas le temps de prononcer un mot, qu’un homme de grande taille, à la peau foncée, vint s’emparer d’eux. Et c’est à peine si on se serait crut dans un mauvais film ; à quelques détails près que Olivia, certes hurlante et gesticulante, ne se trouvait pas, gambettes en l’air, sur son épaule. Il n’assomma pas non plus Alexander, se contentant de les tenir tout deux par le poignet avec une force assez impressionnante qui faisait douter Alexander de la robustesse de ses poignets. Ce qui, néanmoins, paraissait un tant soit peu rassurant, était que cet homme avait un badge indiquant qu’il travaillait ici. Ainsi, il ne pouvait pas les tuer, ici, maintenant, comme ça… Il ferma les yeux quelques secondes, afin de faire taire ses délires purement paranoïaque. Ce qui, donc, n’avait rien de rassurant dans ce cher monsieur, était son allure de colosse. En effet, en plus de faire au moins deux têtes de plus que Alexander, ce qui malgré sa puissance, son charisme imposant et tout le reste, n’était pas négligeable. Il avait tout bonnement l’air d’avoir rassemblé trois pairs d’épaulettes les unes sur les autres. De plus, son rictus de sadisme, mélangé à on ne sait trop quoi, et son oreillette d’où un amas de paroles étaient déblatérées à une vitesse défiant celle de la lumière, n’était un tout très rassurant.
Alexander était prêt à dégainer son épée… O.K ce n’était qu’un couteau suisse avec une fourchette, mais le saviez vous, une fourchette et un couteau suisse peuvent provoquer de sales dégâts… Que nous ne citerons pas ici, où cas où le passage d’une âme sensible se ferait.
Mais contrairement à toutes ses attentes (disons plutôt ; à tout ces délires de parano), il n’eut ni besoin de dégainer son couteau, ni sa fourchette, ni même son cure dent. L’homme ne les regardait même pas, comme comptant chacun de ses pas. De temps à autre, il faisait bouger son visage de cire, en particulier ses lèvres, faisant croire à Alexander qu’il s’apprêter à prononcer un mot, une exclamation, n’importe quoi mais quelque chose… Mais rien.

Les deux adolescents jetaient des regards inquiets, à la recherche de n’importe quelle diversion pour les sortir de là, quand enfin le bureau du proviseur arriva dans leurs champs de vision… Et en disparut aussitôt ! Alexander fronça les sourcils. Où cet homme pouvait il bien les conduire, si ce n’était dans la gueule du loup, alias le proviseur ? Il fut un peu déçu, dans sa tête il avait déjà préparé toute sa tirade de futur avocat, passant du « nous sommes désolés, mais nous ne sommes qu’en première années et nous n’avons pas encore reçu les règlements intérieurs comme extérieur. » aux pleurs de Olivia, qui, il en était sûr, devait être une bonne actrice (Les enfants de… sont toujours de bons acteurs, surtout les filles ; « Papa ! Je peux t’emprunter ta carte de crédit ? C’est une urgence ! ») Enfin, il longèrent plusieurs couloirs interminables. Pendant ce temps, Alexander imaginait des plans d’évasion, puisqu’il était interrompu quelques minutes plus tôt. Cependant, ils s’avéraient tous aussi peine perdue les uns que les autres, alors l’idée que ceci ne fut qu’une comédie lui effleura l’esprit. Mais, si le cas avait été, comment un homme comme celui là aurait bien voulu participer à un stupide jeu de bizutage ? Alexander fut coupé dans ces délires les plus farfelus par le bruit d’une grosse porte en métal. Un sourire exaspérant sur les lèvres, le colosse les invita, si l’on puis dire, pénétrer dans ce qui s’avéra être une sombre salle. En plissant les yeux, Alexander pouvait néanmoins distinguer les fins traies du visage de Olivia.

« Je ne sais pas exactement ce qu’on fait ici, mais si tu veux mon avis, ce n’est pas pour jouer au docteur… Alexander, pour te servir, quoique dans cette situation, je ne voie pas trop en quoi je peux te servir… » Dit il, un léger sourire aux lèvres, assez différemment de celui que nous continueront à nommer le colosse. Tout en plissant les yeux, il distinguait de plus en plus facilement Olivia, mais avait encore du mal avec ses pieds, ce qui lui donnait une vision assez réduite du monde qui pouvait bien l’entourer. « Je suis désolé si je ne cadre pas très bien mes paroles, mais tu serais d’accord avec moi pour déclarer que ce n’est pas chose aisée… »En disant ceci, il pénétra ses mains dans ses poches, bien décidé à les réchauffer avant d’entamer quoi que ce soit. Le silence fit son apparition pendant quelques secondes seulement, dont ressorti un bruit non seulement énervant, car sur-aigue, mais de plus, bizarre… Arrêtons le suspense ; et oui, chers amis, il s’agissait bien de rat.

« Tu as un briquet, n’est ce pas ? » S’entendit il dire, on en se souvenant soudainement qu’elle fumait quelques minutes plus tôt. Olivia lui tendit, il pu ainsi distinguer une mine interrogative, se disant très certainement : si il éclaire ces sales rongeurs, je l’étrangle. En fait non, il ne comptait pas faire ça, mais se disait que déjà, avec un peu de lumière, on pourrait éviter d’écraser un rat ? Non qu’il veuille protéger l’environnement plus spécialement que tous les autres New-yorkais mais un rat sous son talon aiguille… Ca ne doit pas être des plus génial. En fait, il ne savait pas précisément à quoi allait lui servir ce peu de lumière, mais forcément à quelque chose puisque : « tout est utile dans la vie, chéri » (dixit Titi) Alexander alluma alors le briquet, s’attendant peut être à voir des chauves souris, mais non, rien de tout cela… Plutôt une… Bouche d’aération… Et c’est dans ce genre de moment qu’on se rend compte que amener tous ces livres de cours le jour de la rentrée n’est pas bête, mais utile… et accessoirement très lourd.

« Bon… Je crois qu’on va devoir se la jouer à la James Bond mais sans gadget… Oh pardon, si je dis Totally Spies, ça te parle plus ? »

Est-ce que sa vous est déjà arrivez de vous retrouvez dans un sous-sol froid et lugubre avec un jeune homme, certes mignon, mais que vous ne connaissez que depuis quelques minutes ( ?)… ? Mmmh non. J’en étais sûre, ces choses là sa n’arrivent qu’à la bande de l’Upper : folle, cinglée…oui, oui c’est bien nous. Prenons exemple sur quelques évènements plus ou moins récemment passés : est-ce que sa vous est déjà arrivez de vous faire virer d’un des hôtels Hilton de Miami, avec vos deux garces préférées, car vous vous êtes aventurez dans les cuisines de cet hôtel à cause d’un stupide jeu organisé par un gourou et deux de ses acolytes, effroyablement sexy et complètement barjos ? Non. Bien sûr. Ou encore vous vous êtes déjà fait embarquer par des infirmiers du service psychiatrie de Brooklyn, avec une de vos meilleures amies, qui vous prenaient pour deux attardées mentales se nommant Brenda & Susan ??? Non plus. Bref, vous voyez que ce n’est pas tous les jours que l’on croise des gens qui ont vécus ce genre de choses. Revenons à nos deux protagonistes, Olivia et jeune homme se présentant comme : « Alexander, pour te servir, quoique dans cette situation, je ne vois pas trop en quoi je peux te servir… ». Aaah, Olivia pouvait enfin mettre un nom sur ce visage. Un visage doté d’une beauté effrayante, et avec des traits plutôt indescriptibles voire durs…peut-être un défoncé que sa ne l’étonnerait pas. Vous savez après avoir eu une relation de plus de cinq ans avec un défoncé au shit, Olivia reconnaissait les traits d’un fumeur ou non. D’ailleurs, durant son périple à Miami, notre jeune New-yorkaise avec tester, le joint avec Brooke & Giulia…on peut dire que sa ne l’avait pas déplu…elle qui ne faisait que piquer des crises parce que Nate était tout le temps défoncé, elle comprenait maintenant pourquoi il ne se souvenait plus de rien deux heures plus tard…c’est fou ce qu’on était bien après deux ou trois taffes…

-Tout juste, tu ne me sers à rien ici. A moins que tu puisses nous faire sortir d’ici, ce que, je pense te sera impossible de faire ?

Un sourire tout juste signée Olivia se dessina sur ses lèvres : sarcastique. Alexander lui demanda son briquet, Olivia le lui passa en croisant ses doigts pour qu’il n’éclaire pas le sol ni les murs de cette « cage ». ALLELUIA, il éclaira seulement le plafond où se trouvait [ALLELUIA] une bouche d’aération. Tutut « Bon…je crois qu’on va devoir se la jouer James Bond mais sans gadget…Oh pardon, si je dis Totally Spies, ça te parle plus ? ». Bouche d’aération + James Bond ou Totally Spies = Fuite. Muhahaha c’est qu’elle comprend vite la petite…Quelques secondes plus tard, on entendit un grésillement signe que quelqu’un parlait à l’oreillette du monstre de deux mètres debout devant la « porte ». Celui-ci acquiesça d’un signe de tête et émit un grognement en direction des deux jeunes gens : « Bougez pas. » Allons mon grand, on ta jamais appris de ne jamais dire sa à deux jeunes qui seraient capables de tout pour s’échapper DU cachot de l’université de Yale… ? Non on dirait que c’est pas le cas.

-Bon maintenant qu’il s’est barré, on fait comment pour grimper là haut, ta une idée, James Bond ?

Olivia était bien sûr loin de se doutée qu’Alexander avait tout ses bouquins de cours avec lui…Ce dernier, les sortit un à un et les empila. Olivia passa la première et tira sur la bouche d’aération comme une folle avant de comprendre qu’il fallait seulement la poussée, Alexander ne tarda pas de lui balancer une vanne, qu’Olivia répondit par une réplique cinglante mais pas méchante ( non,non juste un peu ). Bref, elle se hissa dans la bouche, Alexander la suivit.

-N’en profite pas pour te rincer l’œil, ajouta Olivia pressée de sortir de ce tunnel sans fin.

Quelques secondes plus tard, on entendit en écho :

« Retrouvez-les moi mort ou vivants… »

Huuum, oui d’accord. Et Superman il vient quand nous secourir ?

(Désolé, j'avais pas vraiment d'inspi pour la suite ... ou plutôt pas du tout T_T )


Un « Bougez pas. » fut émit. Pendant un cours instant, Alexander se demanda d’où pouvait bien provenir cette voix rauque à souhait, puisque, à sa connaissance, le colosse ne savait vraisemblablement pas parler. Cela le surprit donc quelque peu. Mais aussi le fait que quelqu’un à première vue expérimenté dans ce genre de chose, les laissa seuls, le fit carrément halluciner. Il fallait vraiment être un idiot pour laisser deux jeunes, capables, précisions le, de vendre la vie de leur voisins de cachot, pour se tirer d’ici vite fait bien fait. Alexander en conclu donc que le colosse n’était pas si professionnel que cela, et donc l’hypothèse du bizutage n’en paru que plus vraie. Alors qu’il s’apprêtait à sortir ses bouquins de son sac un par un, Olivia, ex princesse de l’Upper East Side (Précisons bien le ‘ex’) eut la bonté de lui servir une remarque se voulant acide, et le tout décoré d’un sourire, censé de même être sarcastique… Personnellement, il aurait plutôt pensé à l’imitation d’une coquille st Jacques ne voulant s’ouvrir, mais que voulez vous, à chacun ses interprétations.

Le jeune homme continua donc à sortir ses livres, espérant que cette demoiselle avec ses escarpins n’allait pas faire un trou dedans. Il lui jeta un rapide regard, et il failli pouffer. Olivia regardait le sol avec une espèce de regard terrifié qui aurait pu évoquer celui d’un agneau en face d’un loup assoiffé de sang. Mais, poli comme il était, le jeune homme se retint, et n’esquissa qu’un sourire. Il fut bien entendu évident qu’il n’eut aucun scrupule à ajouter ce navet de livre à cette future pile qui permettrait leur si brillante évasion. Prions (et déposons un cierge) seulement pour que Olivia est de l’équilibre, sinon, s’en était fini… Une petite touche de mélodrame qui se faisait appréciable, passé le moment d’épouvante.

Olivia monta alors la pile de livre, avec certes quelques difficulté, mais bonheur infini, elle arriva à destinations sans tout faire capoter. Puis elle se mit à tirer sur la bouche d’égout, comme (je suppose qu’on peut la qualifier de tel à ce moment précis) une folle voulant s’échapper d’un asile, ce qui, pourrait s’avérait être une reproduction partielle de ce qu’elle était entrain de faire.

« Olivia, Olivia, je ne pense pas que ça soit vraiment la peine, et surtout le moment, d’essayer de m’impressionner avec cette force de titan que tu serais censé posséder... Ce qui, rappelons le, n’est pas le cas. Cependant, je suis près à admettre que ta culotte rose soit absolument délicieuse. » Dit il, un sourire amusé sur les lèvres. Après cela, il se hissa à la tête de la pile, pénétrant dans la bouche d’aération, et prenant soin de refermer cette dernière, juste après avoir ébranler l’équilibre déjà très douteux de la pile de livre qui les avait sauvés… Ou du moins les avaient mit sur le chemin de la lumière. Alexander entendit un couinement, qui d’après le peu qu’il avait perçu devait être une menace. Qu’il ne prit pas vraiment au sérieux, de toute façon.

« Retrouvez-les moi mort ou vivants… » En entendant ceci, le jeune homme ne pu s’empêcher un rire. Le colosse avec l’oreillette et sa façon de les embarquer, c’était déjà pas mal, mais là, ça frôlait le ridicule. Bon, certes, avouons le, le moment n’était pas voué à la rigolade. Ce qui se faisait ressentir chez cette chère Olivia qui, entendant le rire du jeune homme se retourna, et le fusilla du regard. Ce qui bien évidemment eu l’effet de redoubler son rire… Qui s’arrêta net quand le fait que leurs ennemis pouvaient les repérer comme ça, lui effleura à l’esprit. Bon encore heureux, ils ne tiraient pas des balles en direction de la bouche et de son continue…