Alexander Van Rosenchild.

Identité :

Prénom(s) et nom : Alexander Van Rosenchild.
Date de naissance, Age : Le 20 décembre 1988, 18 ans.
Sexe : Masculin, jusqu'à preuve du contraire… Mais vérifier, si vous voulez.
Etablissement : En première année à Yale, Littéraire.

Et sinon, vous, ça va? oui, oui, très bien, merci.
Physique : (sept lignes minimum) : cheveux, yeux, physique etc.

Alexander a, d’après lui, un physique tout à fait commun. Et même assez dénué d’intérêt… Ce qui, pendant sa petite jeunesse fut tout à fait vraie. L’appareil dentaire, les grosses lunettes noirs de premier de classe, etc. faisait de lui un garçon que les filles évitaient avec précaution. Pas les garçons, non, puisqu’il prenait plaisir à le persécuter, et cela, toujours de manière différente. La méchanceté gratuite fait pousser des ailes, que voulez vous. Mais, rassurez vous, tout ceci est maintenant révolus. Ce jeune homme ici présent porte à présent des lentilles, qui, je le précise, ne colore pas l’iris de ses yeux qui est naturellement d’un bleue nuit. De même on peut remarquer que les boutons de l’adolescence n’ont pas marqué sa peau, qui, au contraire des habitants de l’Upper East Side n’est pas marquée d’un joli bronzage tout à fait made in St’Bart. Tes cheveux, tu ne coifferas jamais, ne fais pas réellement partie de sa bible. Mais ils sont tout de même ébouriffés le plus souvent… Certainement dût à la fois où sa mère, organisant une petite ‘sauterie’, l’avait obligé à s’appliquer du gel. Du gel qui avait aplatis ses cheveux à un tel point que… Il ne préfère plus y penser. Surtout au moment où l’élu de son cœur, avait pointé son nez… Mais ceci est une tout autre histoire.
Alexander est d’une carrure assez chétive, n’allant pas tout les week end dans une salle de musculation, il pratique tout de même l’équitation.

Caractère (dix lignes minimum) : Habitudes, passions, réactions, préférences...
Alexander est quelqu'un de très... Lunatique. Certaines personnes le qualifieraient de taciturne, tandis que d’autre penserait haut et fort qu’il incarne la joie de vivre. D’accord, pas beaucoup ; avouons le. Alexander n'est pas très fêtard, ce n'est donc pas pour cela qu'il a décidé d'integrer Yale. Oui parce que forcément, université rîme avec alcool, fêtes, sexe... Pour la jeunesse dorée, comprenez bien. Or il faut croire que depuis ses méaventures de collégiens, Alexander ne les "apprécient" que peu. Disons même très peu. Ainsi, vous pourriez croire que c'est un sale petit misanthrope qui ne sait pas profité de ce qu'il a... Ah pardon, si... Qui ne sait pas rester deux jours sans l'argent de papa-maman... Ah pardon, ça aussi il sait le faire... Bon, qui ne sait pas faire autre chose pour soulager sa pouriture de consience que de donner de l'argent à des oeuvres de charité !?... Ah, bah il ne le fait pas... C'est bête ça, quand même... Même pas un tout petit peu. N'imaginez pas, surtout pas, que Alexander est un petit égoïste. Non, c'est juste que voilà, tout le monde donne de l'argent pour CETTE raison, or lui ne voit pas de raison d'en donner, si ce n'est celle si bien sûr, et donc n'en donne pas. Autre chose : oui, il est carrément torturée comme un petit poète maudit depuis le collège, oui, il lui arrive d'être arrogant, oui et oui il est flemmard... N'oublions surtout pas de préciser qu'il a failli aller chez un psy à cause de son pseudo pessimiste et de sa petite soeur. Vengeance : affaire à suivre.

Intéressant… Et le passé dans tout ça?


Origine / Nationalité : Quelques origines Allemande, qui se repère d'ailleurs dans son nom de famille, cependant il n'y est jamais allé. Sa nationalité est américaine.
Localisation géographique : Dernièrement l'Upper East Side, mais tout prochainement, le campus de Yale, je suppose.
Style d'habitation : Université.

Histoire (15 lignes minimum)

Alexander est né lors d’une belle matinée, des papillons de toutes les couleurs voletant près de son berceau en acajou… Coupé. Recommençons.
Alexander est né alors que dehors il n’y avait pas un chat. D’ailleurs c’est ce qui a failli lui arriver lors de sa naissance. Je veux dire qu’il n’y est pas un chat. Sa mère, ayant hâte de reprendre du service, s’occupait déjà d’un nouvel article, son père était en Chine pour la signature d’un contrat et… Arrivèrent les eaux. Panique à bord. Le père fut rapatrié comme à la guerre, et, par on ne sait quelle chance le tonton passait par là… (Je dis cela car Alexander ne fait pas tout à fait partie des chanceux qui peuple cette terre) Ainsi, à cause de cet oncle, Alexander a failli s’appeler Hector. Les garçons on la chance de ne pas pouvoir s’appeler Gertrude, Bernadette, et j’en passe.

« Regarde Titi ! Je grandis… Je grandis… Oh… Je rapetissis… Je rapetissis…

- Alexanderrr ! tou va te fairr mal si tou continou ! Donne moi ta main ! »

Alexander était en partie élevée par Tamara, une péruvienne ou dans ce coin là en tout cas. A force, il commençait à prendre son accent, Titi fut alors renvoyée, et sa grand-mère maternelle prit la chose en main.
Des année plus tard, il entrait dans un collège assez côté. Lui qui avait toujours était chéri par sa Titi des années auparavant, il n’était pas habitué à un univers si hostile. Apparemment son apparence déplaisait, et ce fortement. Un jour, il était rentré, les yeux rougis par les larmes. Sa mère était dans le bureau, écrivant encore et toujours. Il ne voulait que du réconfort, après tout, il avait seulement onze ans. Il lui tapota légèrement sur l’épaule, ne sachant si il pouvait la déranger.

« Oui ? »Dit elle, exaspérée. Sans s’y attendre, il émit un sanglot. Diane se retourna, le prit alors dans ses bras. Cependant, il ne lui demanda pas pourquoi tout ça. Pourquoi est ce qu’il se faisait réinventer sac à sable dans lequel on donnerait des coups de pieds juste pour se défouler. Peur être parce qu’il avait un peu peur de sa réaction, un peu peur qu’elle ai honte de lui.

Et après cela, vint son premier amour. Elle était mignonne, les cheveux blonds bouclés. Elle sentait la fraise, même si il avait horreur de cette odeur, a elle, ça lui allait magnifiquement bien. Il venait tout juste d’avoir treize ans. Les boutons commençaient à pointer leurs nez. Et au bout de ce dernier, penchait une paire de lunette noire. Un peu grosse pour son visage d’enfant chétif. Déjà, certains garçons sortaient avec certaines filles. Ils faisaient des choses bizarres, d’ailleurs… Dont Alexander ne comprenait pas la subtilité, et se demandait pertinemment si il y en avait au moins une. Mais, fut un jour où le soleil lui souri enfin. Le jour où la petite fille blonde l’embrassa. Le jour où ses lèvres sucrées frôlèrent les siennes. Le jour, où, pour la première fois, il se cru le roi du monde. Sensation d’ailleurs très agréable. Mais quelques jours après, courant à sa recherche, il entendit d’horribles mots. D’horribles mots qui ressemblaient à :
« Alors, ça y est ? Tu as réussi ?
- Naan ! Je suis sûre qu’elle n’a pas osé !! C’pas possible !
- Ha ! Tu peux déjà me filer un paquet de carambar ! Si tu veux la preuve, je le ré embrasse devant toi ! J’suis cap !
- Oh… Comment t’as pu… Alexander, quoi !? Beurk ! »

D’où, on peut supposer, son dégoût pour les filles aux cheveux blonds bouclés. Les années passèrent : Adieu appareil dentaire, boutons, et horribles lunettes. A présent il était, comme dirait la greluche qui l’a collé pendant toute son année de première ; « Haaan trop sex ! » Chose que d’ailleurs il ne tarda pas a expérimenté, juste pour la science de Dieu. Le hasard voulu que se soit avec n’importe qu’elle fille car peu lui importé cela. Le destin voulu alors que cela soit avec cette même blonde aux cheveux bouclés. Cette même blonde qui avait été sans pitié avec lui, pour un paquet de carambar… A cette époque, si elle l’avait voulu, il lui aurait offert une usine de carambar, mais non, elle ne l’avait pas voulu. Ni lui, ni ça. Alors il s’exécuta dans sa première vengeance. Peu de temps après, il lui avait jeté à la figure le passé, avec plus d’ordure qu’il n’en contenait initialement. Et voilà, s’en était fini.

Situation familiale (parents, frères sœurs…) Alexander a une soeur. Ou devrait on dire un monstre ? Un jolie monstre, dans ces cas là... Ce petit monstre, haut comme trois pommes, vient tout juste de souffler ses seize bougies. Ca y est ? Vous comprenez ? Oui, seize ans, c'est bien l'âge bête. L'âge où on se croit plus malin que tout le monde, l'âge où, en compagnie de ses amis, on décide de devenir dictatrice du monde, l'âge où on fait les blagues les plus stupides,... Ainsi, on pourrait penser que Alexander et Mathilde ne s'entendent pas bien. Ce qui n'est pas tout à fait le cas. Pour préciser ; Mathilde se réinvente chewing gum pendant que Alexander répond à... Des filles dont il ne connait même pas le nom, mais qui l'ont abordé : "Appelle moi Dieu, et on verra ce qui suivra." Quant à ses parents, ils ne sont presque jamais là. Ce qui est une routine chez les habitants de ce quartier, vous vous en doutez bien. Ok, juste pour préciser : son père est PDG d'une société de croquette pour chiens qui se vend dans le monde entier comme "Un repas cinq étoiles ?*où ça? où ça?* Une envie d'escapade ? De liberté ? Une envie de... AttilaDale !", tandis que sa mère est journaliste au New York Times.

Rêves et ambitions pour l’avenir : Devenir avocat pour défendre une cause juste ?... Ou juste pour pouvoir crier "Objection" dans toute la salle ?

Questions subsidiaires :


Comment avez-vous découvert ce forum ? : Par un top site.
Comment trouvez vous le design? : Très bien
Votre niveau de rp? : (/20) 13.5/20 On va dire...
Merci de préciser si votre personnage choisi est un prédéfini ou non : Non.
Avez-vous lu les livres ? ceci n'est bien évidemment nullement obligatoire : Eh bien oui. Mais pas tous.

Spoiler:

J'adore la présentation


bienvenue parmi nos, il faudra par contre songer à aller rescencer ton ava^^

Vala validé et bon jeu