Test Psychologique ! [Obligatoire à tout les élèves !]

L'année à commencée depuis quelques mois déjà. Tout les élèves sont donc convoqués au bureau de Mme Steevens : salle 2b 3e étage de l'aile gauche.
Vous devrez répondre à une série de question qui lui permettra de cerner vos personnalités
Vos réponses devront être formulées comme s'il s'agissait d'un dialogue avec un psychanalyste.
Amusez-vous à rendre chèvre cette pauvre femme ! Place à votre imagination..

1. Présentez-vous. Votre nom et prénom. Votre Cursus scolaire actuel.
2. "qu'est-ce que cette tâche d'encre vous évoque ?" (votre personnage devra raconter une anecdote inconnu de sa vie. A vous d'inventer quelque chose )

3. "Qu'est-ce qui vous fait le plus peur dans la vie ?"
4. " Quelle révélation vous ferais le plus honte et pourquoi ça ? "
5. Parlez moi de votre pire ennemi, la personne que vous aimez le moins dans votre vie ? Comment tout à commencé ?
6. Faites un dessin exprimant votre humeur du moment. (avec paint par exemple)

[ Désolé les amis je sais que c'est médiocre :)]

1. Présentez-vous.
Je me nomme Chadi ramsey et je n'ai pas de curcus scolaire interessant... Quoique je dois vous avouer qu'il me manque une grande partie de ma vie depuis mes 14 ans... À savoir... Ah, et je suis en archéologie..
.
2. "qu'est-ce que cette tâche d'encre vous évoque ?" (votre personnage devra raconter une anecdote inconnu de sa vie. A vous d'inventer quelque chose )
Ma vie assurément. Voyez par exemnple chaque couleur ppeut signifier quelque choe de très important... La bleu me rapelle ses temps de mélancolie lorsque j'étais dans Sheap meadow avec mon meilleur ami... ( Imaginaire peut-être?) D'ailleurs je me rapelle plus exactement de cette journée ou j'ai enfin pu voir des castors voler j'ai été tellement surprise que j'ai dû étouffer ma poule avec des dents... Ensuite le point vert est probablement le point de ma vie le plus amusant. Vous savez cq que cette couleur représente pour moi? De la vielle bonne Mari et je peux vous dire que j'en ai vu des tones et des tones de couleurs et différents styles... Mais encore la tache jaune est peut-être plus interesante spour vous.. Voyez je me sens encore sur le sable chaud de mon pays natal... Et tiens justement n'est-ce pas himmotep que je vois caché derrière le dessin? Madame vous ne m'aviez pas dit que vous étiez nécrophile... Mais ne vous inquiètez pas je ne suis pas du genre à dénoncer les gens... À moins que ça me raporte quelque chose de positif... Mais pour la rose je dois vous avouer que c'est le néant... tien ça ausis c'est représentatif de ma vie... Le vie complet...

3. "Qu'est-ce qui vous fait le plus peur dans la vie ?" Les chats, noir surtout. Je sais vous allez me dire que les égyptiens les vénérait mais moi je déteste ces boules de poils. À chaque fois que j'en renconre un il m'arrive maleur... Comme vous voyez ce bleu? Un taxi fou m'a frappé pas plus tard que ce matin...

4. " Quelle révélation vous ferais le plus honte et pourquoi ça ? " "Hey la momie retournes dans ton sarcophage!" Probalement quelque chose comme ça. *Elle s'approche plus de Mme Stevens et se touche verveusement le visage.* Vous voyez ça? J'ai plein de ride! Si jamais quelqu'un me dirait celà c'est certain que je peterais une de ses crises de nerfs... Quoqieu mon caractère habituel s'en approche un peu... Alors imaginez...

5. Parlez moi de votre pire ennemi, la personne que vous aimez le moins dans votre vie ? Comment tout à commencé ? Cette personne représente tout ce que j'ai envie de trucier dans le monde... Il est pire que le diable se Pete... Et tout ça à comencé? laissez moi réfléchir... Je ne sais plus si c'était lorsque il m'a jeté du haut du 3ième étage ou quand il m'apelle pour passer une nuit soit dit en passant, assez brève avant de me lâcher... Vraiment je ne saurais dire tout ce que je sais c'est que je le déteste depuis des lustres...

6. Faites un dessin exprimant votre humeur du moment.
[ J'ai jamais excellé en art ]

1.
_ Natalie Portman.
_ Ce n’est pas votre nom.
_ Y en a qui disent que je lui ressemble. Vous ne trouvez pas ? Le profil gauche surtout.
_ Vous n’arriverez pas à m’agacer.
_ Ce n’était pas mon intention. Vous bridez ma liberté d’expression. Si j’ai envie de m’appeler Natalie Portman, eh bien…
_ Cela vous arrive-t-il souvent de penser que vous êtes Natalie Portman ?
Long silence. Regard vers l’horloge murale.
_ D’accord, je m’appelle Vanessa Abrams.
_ Bien, nous avançons. Je suis contente de vous connaître, Vanessa.
_ Vous êtes bien la première à le dire.
Bruissement de feuilles.
_ Qu’est-ce que vous écrivez sur votre calepin ? Je peux voir ?
_ Non.
_ Pourquoi ?
_ Parce que.
_ Ce n’est pas une réponse très psychologue.
_ Nous ne sommes pas là pour parler de ce que j’écris, mais de vous.
_ J’ai l’étrange conviction que ce qui vous écrivez me concerne. A moins que vous ne rédigiez votre liste de courses en m’écoutant parler drames personnels.
_ Avez-vous vécu des drames personnels ? Nous pouvons en parler.
_ Commencez par enlever la mine du crayon de la feuille, ça me stress.
_ …
_ J’ai l’impression que vous ne m’aimez pas beaucoup, Doc’.
_ Vanessa… avez-vous souvent l’impression que les gens ne vous aiment pas ?
_ J’apprécie beaucoup votre humour, vraiment.
_ Nous risquons de ne pas beaucoup avancer en une heure si vous refusez de répondre…
_ …
_ Vanessa ?
_ … oh pardon, je regardais votre gilet. Très joli le canard épinglé dessus, ma sœur a le même. Où est-ce que vous l’avez acheté ?
_ …
_ Cette fois c’est vous qui refusez de répondre. … Hé, vous marquez quoi sur le calepin là ? Je peux voir ?
_ Non. Ce sera toujours non, cessez de poser la question.
Long silence. Reniflements. Regard sur la montre.
_ Je peux enlever ma veste ?
_ Oui.
_ …
_ Vanessa, acceptez-vous de jouer le jeu, au moins quelques minutes ? C’est la fin de la journée, et j’osais espérer un peu de coopération de votre part.
_ Mais oui, bien sûr. Posez-les moi vos questions, j’ai faim et je veux rentrer.
_ Merci. (Re-bruissements de feuilles) Bien. Quel est votre cursus scolaire ?
Grande envie de répondre « Psychologie ».
_ Je suis en art, cursus spécialisé audiovisuel avec option littérature du 19ème. En sport j’ai pris escalade, mes bras ont besoin de se muscler. A midi je prend toujours poulet à la…
_ Merci.
_ C’est fait avec bon cœur.
_ (soupir) Vous aimez ce que vous faîtes ?
_ Enormément.
_ Plus précisément ?
_ J’aime ça. Il faut une raison pour aimer quelque chose ?
_ Non, c’est exact. …Vous avez d’excellentes notes en cinéma.
_ Je ne considère pas ça comme une matière qui puisse être notée comme des maths ou de l’histoire. Question suivante.
_ Vous ne voulez pas en parler ? Qu’est-ce qui vous plait dans le cinéma ? La vidéo ? Il est écris ici que vous empruntez régulièrement le matériel de l’université et…
_ Sur une vidéo je peux enlever le son.
Silence glacial.
_ C’est quoi cette tache sur votre bureau ? Un dessin de votre fils ? Fille peut-être ? On dirait plutôt un dessin de fille.
_ Vous faîtes bien d’en parler, nous allons pouvoir passer à l’étape suivante.


2.
_ Qu’est-ce que cette tache d’encre vous évoque ?
_ Arrêtez de l’agiter sous mon nez, pour commencer.
_ Qu’est-ce qu’elle vous évoque ?
_ Madame Steevens, avez-vous déjà songé à une psychanalyse ?
_ La tache, Vanessa. Dîtes moi juste ce à quoi elle vous fait penser. Vous renvoie-t-elle à un épisode de votre passé ?
_ C’est une tache.
_ Oui.
_ …une tache.
_ Oui.
_ Vous voulez que j’analyse une tache.
_ Pas une analyse, une association d’idées.
_ ...
_ Ce test est un classique, il a maintes fois fait ses preuves.
_ Si vous voulez mon avis, le type qui a crée ça s’est foutu de votre gueule.
_ … regardez cette tache.
_ C’est ce que je fais depuis dix minutes. Je vois toujours une tache.
_ S’il vous plait…
Soupir de gamine mal élevée.
_ Ça me penser au tee-shirt de mon ex.
_ Développez.
_ Mon ex, qui avait un tee-shirt avec une tache du genre. Je le détestais. Le tee-shirt hein, pas mon ex.
_ Comment s’appelait-il.
_ Dan. Danny pour les intimes. Dan pour moi. Cette tache est aussi moche que son tee-shirt. Désolée de le dire.
_ Vous êtes honnête.
_ Toujours.
_ A quelle occasion particulière votre… ami, a-t-il porté le tee-shirt ?
_ C’était plus un bout de tissu taché au café qu’un tee-shirt en fait. Je crois qu’il a fini par le faire encadrer.
_ …
_ C’était pas un jour particulier.
_ Continuez.
_ On était euh… allé à un truc de poésie. Il adorait ça, aller écouter des torturé en manque avec un béret noir déclamer des textes débordant d’optimisme. Moi ça me fichait plutôt le cafard, je buvais avant d’y aller pour faire passer la pilule. Cette soirée là il avait fini par enfin comprendre que je détestais ça. Il a toujours été long à la détente. Mignon, mais terriblement lent. Pour tout d’ailleurs. Bref, on es sorti et il a dis… je sais plus ce qu’il a dis, mais il l’a dis. Et ça ma fait culpabiliser. On a marché, sans vraiment parler, vu que techniquement j’avais brisé ses élans artistiques et qu’en plus j’avais décidé de lui faire la tronche. Une soirée mémorable, comme vous le voyez.
_ Il ne s’est rien passé de particulier ?
_ Si, j’ai brisé son rêve d’avoir une petite amie qui comprendrait ses envies de poète pessimiste.
_ Vous vous en voulez toujours ?
_ Non. Lui n’a pas accepté le fait que la dite petite amie n’aurait jamais de cheveux. Le paradoxe c’est que je crois que c’est ce qui lui a plu chez moi.
_ Vos… cheveux. Vous abordez un sujet intéressant.
_ Un sujet inexistant. Je n’ai pas de cheveux Doc’, je vous croyais plus observatrice que ça.
_ Vous savez ce que je veux dire.
_ Evidemment. Vous n’êtes pas un monstre de sombre subtilité.
Long silence. Qui dure… et qui dure…

_ Vous avez raison, je crois que je ne vous aime pas.
_ Les psychologues ont le droit de partager leur ressenti ?
_ Ici, ce serait plutôt une émotion spontanée.
_ Ne vous inquiétez pas, j’ai l’habitude. Oh, vous rangez déjà la tache ?
_ Oui. Sauf si vous avez autre chose à me dire.
_ Non. Si ce n’est que tâche est toujours très moche.
_ Merci, Vanessa.
_ Je peux y aller maintenant ?
_ Non, toujours pas.
_ J’ai peur que mon estomac finisse par m’abandonner si je m’obstine à l’ignorer.
_ Vous abordez un nouveau sujet intéressant…


3.
_ La bouffe ?
_ La peur.
_ Euh… là tout de suite j’ai peur de ne pas comprendre.
_ Avez-vous peur de quelque chose ?
_ Ne jamais manger.
_ Vanessa…
_ Je vois pas pourquoi je devrais avoir peur de quelque chose.
_ Non, c’est vrai. Mais existe-t-il une chose, un être ou…
_ Non.
_ En êtes-vous certaine ?
Silence.
_ Qu’est-ce vous pensez des écureuils ?
_ Qu’ils sont adorables.
_ Alors passons à la question suivante.
_ Vous avez peur des écureuils ?
_ Tout le monde devrait en avoir peur. Un jour viendra où ils parviendront à conquérir le monde. Ecrivez sur votre foutu carnet et je me casse.
_ Je ne le ferai pas. Autre chose ?
_ Je suis pas une super nageuse.
_ L’eau, donc.
_ Oui, je suis terrorisée par un verre d’eau. Les pichets me tétanisent aussi.
_ Vous savez ce que je veux dire.
_ Oui. Vous n’êtes pas un monstre de… j’ai l’impression que la discussion tourne en rond, là.
_ Dans ce cas continuons. Nous pourrons peut-être y revenir plus tard.
_ A votre bon vouloir, Doc’.

4.
_ La question qui va suivre risque de vous braquer.
_ Alors ne la posez pas.
_ Elle est dans le questionnaire, je suis obligée.
_ Panurge vous aurait adoré.
_ C’est mon travail.
_ Alors considérons que c’est le mien de vous emmerder.
_ J’avais… saisi. Bien. Vanessa… y a-t-il quelque chose qui vous fasse particulièrement honte ? Vous devez savoir que tout ce que vous direz ici restera protégé par le secret professionnel, et aucun cas ne sortira de cette pièce.
_ Il y a quelque chose.
_ Parlez moi.
_ Votre stylo.
_ Oh, pardon. (elle enlève la mince du crayon de la feuille)
_ Eh bien, c’est un détail que personne ne connaît… il m’est assez difficile d’en parler, à vrai dire, mais je sens que je peux vous faire confiance.
_ Votre intuition est justifiée. Je vous écoute.
_ Promettez-moi de ne pas rire, et de rester stoïque face à la révélation.
Madame Steevens acquiesce, grave. Est-ce un viol ? Une bagarre qui a mal tournée ? Un meurtre involontaire ? Un traumatisme d’enfance ? Une blessure jamais refermée ? Les violences du dénommé « Danny » ? Un dédoublement de personnalité ? Une dépendance à une quelconque drogue ? La psychologue, au cours de sa longue, longue carrière, avait eut des révélations de toutes sortes.
_ Je n’ai que neuf orteils.

_ … … J’abandonne !
_ Quoi, qu’est-ce que j’ai dis ? C’est la vérité ! Je peux enlever ma chaussure si vous voulez.
La psy sort de la pièce en claquant la porte. Sourire satisfait. Au moment de partir, retour de la psy, qui semble s’être calmée ; elles se rassoient.
_ L’entretien n’est pas fini ?
_ Non.

5.
Elle adopte le ton le plus professionnel possible.
_ Existe-t-il une personne que vous détestez ?
_ Beaucoup.
_ Une en particulier ?
_ Non. Je n’aime personne.
_ Dans ce cas, y a-t-il quelqu’un qui vous ai particulièrement agacé ces derniers temps ?
_ Non. Enfin, si. Mais c’est long à expliquer.
_ J’ai tout mon temps. Enfin, il reste 25 minutes.
_ Très bien. Alors, d’abord il y a eut ce type qui m’a piqué un cd chez Manny’s. Insupportable. Un petit con avec un look de rock star décadente. Ensuite il m’a pris mon baladeur… je l’aurait bien étranglé avec le fil des écouteurs, mais un meurtre en pleine rue c’est toujours mal vu. Et puis il a écrit son numéro sur un paquet de clopes. Mon paquet. Vous y croyez ça ? J’ai appelé, j’aurais peut-être pas dû. Mais vous voyez, les gens qui m’agacent sont rares, alors j’ai voulu voir si l’expérience allait se reproduire. On s’est revu, vaguement. Les premières minutes ça allait, il m’a présenté son poisson ; adorable. Après ça s’est envenimé, on a fini par se battre avec des anguilles vivantes, et puis on a manqué de se noyer. C’est aussi pour ça que je le déteste, vous voyez. Il a essayé de me tuer. On a pas tous réchappé de l’aventure… c’est encore dur d’en parler, si vous le voulez bien je vais passer sur la suite.
_ Vous voulez un mouchoir ?
_ Non, merci. Où en étais-je… ah oui, donc ce gnome barbu avec un nom de gentil dragon, lui il m’a vraiment agacé. Si je le recroise je lui démolirai l’autre côté de la mâchoire. Ensuite y a ma coloc’. Non en fait j’aurais dû la détester, mais finalement elle est plutôt cool. J’essaye de ne pas critiquer sa musique et ses fringues et elle me laisse mon espace vital, ça se passe bien. Eh puis… oh, il y a lui. Mais lui, c’est un peu compliqué vous voyez.
_ C’est un autre garçon ?
_ Vous dîtes ça comme si je me l’étais tapé.
_ Pas du tout.
_ Je n’aime pas votre ton.
_ S’il vous plait Vanessa, continuez…
_ Si vous insistez. Ce garçon, donc, c’est une espèce de dégénéré prétentieux et macho, à mi-chemin entre Travolta et un espion anglais. Du moins, c’est ce que je croyais au début. Ouais, mauvais exemple aussi. Oubliez tout ce que je viens de dire. La personne que je déteste le plus au monde c’est Chantal Goya, parce qu’elle commet des crimes contre l’humanité depuis trente ans et n’a jamais été inquiétée.
La psy se masse l’arrête du nez.
_ Je vous fatigue.
_ Oui, beaucoup. Pourtant ça fait trente ans que j’exerce.


6.
_ Je prends ça pour un compliment. Pourquoi vous me mettez cette feuille devant le nez ?
_ Les crayons sont là, à droite. Dessinez votre humeur du moment, s’il vous plait. Je sors quelques minutes.
_ Euh… d’accord.



_ Vous trouvez ça moche ?
_ Pas du tout.
_ Si, je le vois dans vos yeux. Ça me blesse profondément.
_ Allons Vanessa… si cela traduit de votre humeur réelle du moment, eh bien ce dessin est parfait. Vous avez l’air très heureuse.
_ Non, contente.
_ Pourquoi ?
_ Parce que l’entretien est fini.

« Je m’appelle Martine.
- En ce cas, mademoiselle vous n’avez rien à faire ici.
- C’est vrai. Je peux donc partir ?
- … Vous avez donc choisi de passer un moment désagréable en ma compagnie alors que vous pourriez bénéficier de quelqu’un a qui confier vos problèmes, ce qui est appréciable ? Soyez un peu sérieuse, mademoiselle Klein.
- Je n’ai jamais penser que passer un moment avec un psy, alors que mon voisine de chambre avec deux de QI ferait parfaitement l’affaire, pouvait être appréciable. Et qui vous a dit que je m’appelais Klein ? Avouez le, vous m’avez espionnée ! Pas la peine de nier !
- Mademoiselle Klein, le jeu auquel vous vous livrez est stupide. Comment voulez vous avancer ? Je sais qui vous êtes car je connais un minimum les gens qui passent devant moi.
- Le jeu ? Pardon, je ne saisi pas… Vraiment ? Mais non, c’est impossible, je suis Martine ! Vous entendez, Martine !
Mme Steevens commence à douter de la qualité psychologique de la demoiselle qui se trouve devant elle, et soupire légèrement. Et reprend sur un ton professionnel.
- Arrêtez, c’est puéril. Puisque apparemment vous ne vous souvenez pas de votre identité, je vais vous la dire moi. Vous vous appelez Gabrielle Klein. Vous êtes en première année de psychologie.
- Bien, je me disais aussi que cette question sur l’identité était inutile.
- … Aimez vous la provocation ? Par là, je veux dire exaspérer les gens.
- Sincèrement ?
- Oui, nous sommes là pour ça. Pour être sincère, mademoiselle.
- Eh bien, non.
- Vraiment ?
- Non plus.
- C’est ce que je disais, vous aimez exaspérer les gens… Dit elle, voulant pousser Gabrielle.
- Vous pensez donc que j’ai de l’expérience là dedans ? Je vous exaspère tant que ça, madame Steevens ?
- Nous ne sommes pas là pour parler de ce que je pense. Mais puisque apparemment vous n’allez pas en dire plus sur vous, nous allons passer à l’étape suivante.
- Chic alors !




- Rien.
- Faîtes un effort s’il vous plait. Elle vous évoque forcément quelque chose. N’importe quoi, mais quelque chose.
- Vous m’avez l’air fatiguée ? Vous êtes sûre que ça va, madame Steevens ? Si vous le souhaitez, nous pouvons parler de votre état.
- Ca va aller, merci, mademoiselle Klein. Pouvez vous me dire ce que vous évoque cette tâche, s’il vous plait ?
- Bien sûr. Rien…. Ah quoique.
- Oui, continuez.
- Ca m’évoque le vomi d’un gosse.
- Pourquoi ? Vous n’aimez pas les enfants ?
- Tant que ça ne pleure pas, que ce n’est pas sale, que ça ne sali pas, que ça reste tranquille, si j’aime ça.
- Je vois. Mais pourquoi le vomi d’un enfant ?
- Je ne sais pas. Les tâches c’est sale, alors forcément ça m’évoque quelque chose de sale.
- Avez-vous déjà été souillé irrémédiablement ?
- … Par une tâche ? Vous savez, j’utilise de très bon produit pour la machine à laver. Qui ravive même les couleurs. D’ailleurs, je crois que leur pub c’est un truc genre : Avec Mira, un miracle de plus dans votre vie, une tache, deux taches, trois taches, une cerise, on s’en va au bois, et hop, miiiiracle, plus de tâche… D’ailleurs je me demande d’où sort cette cerise… Vous le savez vous ?
- Quelqu’un vous a-t-il déjà vomi dessus ?
- … Je crois pas, non. Enfin, je m’en serais souvenu, je pense. Malgré ma mauvaise mémoire, et comme je ne m’en souviens pas… Ou alors, il est probable que quelqu’un m’est vomi dessus pendant mon sommeil, puis après m’est nettoyée… Mon dieu ! Ca veut donc dire qu’on m’aurait vu nue sans ma permission ?! Il vrai que les gens de nos jours ne sont plus ce qu’ils étaient, n’est ce pas, madame Steevens ? Vous devez bien le savoir… ? Non que j’insinue que, avec votre incertain âge, vous soyez d’un autre monde, hein… Vous êtes sûre que ça va ? Je vous embête ?
- Non, non, vous ne m’embêtez pas, et oui, ça va, merci. Vous n’avez rien d’autre à dire sur ces taches ?
- Non.
- Passons au reste, alors.
- Je pourrai voir ce que vous marquez dans votre carnet après ?
- Si vous êtes sages, oui.
- Oh… Mais je suis toujours sage, vous savez. J’ai oublié de dire ça dans mes caractéristiques d’ailleurs. Je peux voir maintenant ? Et promis je répond à toutes vos questions si débiles soient elles… Pardon, vous aurais je vexée ?
- Mademoiselle Klein, je plaisantais, vous ne verrez pas mes notes. Et non je ne suis pas vexée.
- C’est injuste ! Je n’aime pas l’injustice !




- C’est intéressant, auriez vous peur de l’injustice ?
- Pourquoi aurais je peur de l’injustice ? Je ne l’aime pas en ce qui me concerne, c’est tout. Je le combat je dirais même.
- C’est noble, comme comportement.
- Non, du tout. Je ne vois pas en quoi le fait de ne pas aimer que les gens soient injustes avec vous est noble. C’est le lot de tout le monde, non ? Ah moins que… Oh, petite cachottière, madame Steevens, je croyais que nous deviens être sincère. Il fallait m’avouer que vous pratiquiez le masochisme !
- Si voulez bien, mademoiselle Klein, nous allons reprendre ; de quoi avez-vous peur dans la vie ?
- Pourquoi devrais je avoir peur ? Je ne saisie pas…
- Vous n’avez donc aucune phobie ?
- Euh… Etre en deuil ? Ma première et seule expérience fut épouvantable…
- C’est intéressant. Voulez vous développer ?
- Oui, en fait, pendant plusieurs mois je ne me suis habillée que de noirs. Pantalon noir, col roulé noir. Je crois que ce moment où… où… Il partie me marquera à vie…
- Qui donc, mademoiselle Klein ? Je ne veux pas vous forcer, mais il est vrai que cela pourrait expliquer cela… Voyez vous ?
- Oui, je vois. Je vois aussi cette petite chose orange qui dépassait de la cuvette des toilettes…
- Pardon ? C’est à mon tour de ne pas comprendre.
- Oui, sa queue. Elle sortait, toujours aussi délicate, du fond des toilettes. L’horreur me prit, et j’ai plongé directement ma main dans la cuvette, bien que la répugnance soit présente et ce fut lui… Le teint blafard, certes, mais toujours lui. Toujours mon petit Nestor. Toujours les mêmes yeux en rond si mignon… Et voyez vous, encore aujourd’hui je suis traumatisée. C’est pour cela qu’être en deuil ne me sera pas supportable, encore.
- Vous parlez d’un… ?
- Poisson, oui.
- … La prochaine question est la suivant : Quelle révélation vous ferais le plus honte et pourquoi ça ?



- Je suis désolée, je ne vous ai pas prévenu au début que j’étais un sujet d’une fadeur extrême.
- Vous n’avez donc aucun secret à me révéler ? N’oubliez pas que vous êtes là pour vous confier, et ce en toute confiance, sincérité.
- Je ne vous crois plus, vous qui ne m’avez pas avouée que vous pratiquiez le masochisme… Et après vous parlez de confiance ! C’est bien beau les Etats-Unis, hein. Pays de la liberté, mon cul.
- Ne soyez pas vulgaire je vous pris. Auriez vous donc une révélation ?
- Pardon, il est vrai que ce que j’ai dit est déplacé. Seriez vous un disque ?
- Bon… Je ne sais pas quoi dire…
- Ne dîtes rien, je vais parler à votre place. Il est vrai que dans ma vie, si rose soit elle, il m’est arrivée quelques divers choses palpitantes, cependant, pourquoi en avoir honte ? Parce que le sentiment humain pousse à ressentir de la honte ? Non, je ne pense pas, et je suis contente de ne pas ressentir de honte, puisque, je n’ai jamais de ma vie agie comme je ne le souhaite pas profondément. Que cela ait était dut à un coup de tête ou pas, je dois vous dire que je n’ai jamais regretté… Oh mais mince, ça me rappelle. Il y a bien une chose que j’ai regrettée. Une chose dans ma vie. M’être fait embrasser alors que celui qui faisait l’acte pensait à une autre que moi. Eh bien là dedans, je regrette de ne pas l’avoir giflé, au lieu d’accepter son baiser.
- Ah…C’est intéressant, certes, mais quand je parlais de honte, je m’attendais à une tare, enfin vous voyez…
- Oui, je vois.
- Alors ?
- Je vois encore, oui.
- Ce n’est pas ça que je voulais dire par là.
- Ah ? Vraiment ? Vous êtes sûre ? Peut être qu’en faire ce n’est pas ce que vous avez voulu dire par là, mais peut être que si, peut être que vous avez voulu me déclarer, nier, que vous ne vous adonniez pas à des pratiques masochistes, mais ce n’est pas la peine de nier.




- Avez vous un ennemi ?
- Oh… Enfin une question digne d’intérêt, je vous félicite.
- Merci, continuez, je vous pris.
- Je n’ai rien commencé, je ne faisais que constater.
- Vous n’avez donc aucun ennemi ?
- Je n’ai pas non plus dit ça.
- Quels sont ils ? Et à la fin, je vous montrer mes notes, mademoiselle Martine.
- Oh il fallait le dire tout de suite. Martine n’a pas vraiment d' ennemis, enfin, disons plutôt des gens qu’elle n’aime pas. Je vais vous lez citer parce que je n’ai pas de temps à perdre sur la description à deux sous : Giulia Gattina et sa bandes de pintades.
- Et pourquoi ? Je veux dire quel fut le déclique, la chose qui a fait que vous vous détestiez ?
- Ecoutez, madame Steevens, il y a des gens qu’on aime, d’autre qu’on n’aimera jamais, et envers lesquelles on poussera jusqu’à un sentiment de haine. Giulia et sa bande de pintades, soulignez pintades dans votre carnet, en font partie. Je crois que ça a commencé dès le bac à sable. Genre elle devait avoir piétiné mon château de sable avec ses grosses chaussures, je ne sais plus trop.
- Pensez vous que ces rancunes d’enfants méritent de se trouver une ennemie à vie ?
- Oui, je le pense, qui plus est sincèrement.

6. Faites un dessin exprimant votre humeur du moment.

- Je précise que je n’ai jamais eu un trait de crayon très hum développé.
- Montrez moi ça.
- C’est que je suis très pudique envers mes œuvres.
- S’il vous plait.
- J’ai dis très.
- Et moi j’ai dit que je vous montrerai mes notes si vous étiez sage…
- Oh… C’est vrai. Si vous riez, je me venge, d’une quelconque manière.



- Pourquoi donc un caribou ?
- Qui vous a dit que c’était un caribou ? Vos espions sont vraiment nuls, y a pas à dire…

1. Présentez-vous. Votre nom et prénom. Votre Cursus scolaire actuel.

- Bonjour, veuillez vous asseoir.
- Si je m'asseois les muscles de mon corps se détendront et par le fait que je viens d'ingurgiter un beignet à la confiture de mandarine, la graisse va commencer à attaquer les cellules de mon corps et favoriser ma rétention d'eau..
- Asseyez-vous.
- Bien, mais je vous aurais prévenu, vous aurez ma prise de poids sur la conscience.
- Allons bon. Bien, vous venez donc d'arriver?
- Oui, je devais rester encore quelques temps en Irlande pour régler quelques affaires..
- Bien, commencons.
- Je n'attend que ça, j'ai un cours de yoga juste après et je dois acheter des coquillettes pour réaliser un collier en or contre-plaqué et..
- Votre nom?
- Très chère madame, vous me demandez un rencart, un rendez-vous, pardon, et vous ne savez pas comment je m'apelle?
- Tout le monde passe ici.
- J'ai l'air d'être une "tout le monde"?
- Procédons.
- ... à la procédure, arf arf... Euhm, je vous laisse continuer.
- Votre nom.
- Calvin, Megan Calvin.
- Bien.
- Calvin, vous savez comme cette B.D. "Calvin & Hobbes" avec le tigre et le petit blondinet.
- Oui, oui.
- Et vous ne devinerez jamais la meilleure! Si je ne m'abuse la fille qui vient de sortir, son nom de famille c'est Klein, non?
- C'est exact.
- Elle c'est Klein, et moi Calvin. Comme Calvin Klein!! Hahahahaha!
- .....
- Huhuhu.... J'ai un humour tellement délirant, c'était un peu trop réfléchis pour vous peut-être? Je m'en excuse, continuons, voulez-vous?
- Je le veux.
- Je suis trop jeune pour vous épouser. XD
- .......
Pleure de rire
- Votre cursus scolaire actuel.
- Je me suis inscrite en polytechnique option photographie et stylisme, je suis en première année.
- Passons à la deuxième étape.

2. "qu'est-ce que cette tâche d'encre vous évoque "

- A quoi vous fait penser cette tâche?
- Et bien c'est difficile, étant donné qu'il y a quatre tâches.
- Bien, à quoi vous fait penser ces QUATRE tâches?
- Un résultat de paint-ball, c'est ça non? J'ai gagné quelque chose?
- La seule chose que vous pouvez gagner ici c'est savoir qui vous-êtes et que nous le sachions.
- Personne ne me connaît vraiment, pas même moi.
- Je note.
- Non! Non que je sois shizophrène ou quelque chose comme ça, c'est juste que je suis quelqu'un de très particulier.
- Bien, ces tâches font-elles ressurgir un souvenir en vous?
- Le Paint-Ball.
- Excepté le paint-ball..
- Ma première fois.
- Dites-m'en plus...
- La première fois que j'ai fait du paint-ball! XD
- Mlle Calvin.....
- Non, ma vraie première fois, mais ma vie sexuelle ne vous regarde pas à ce que je sache.
- Je n'ai pas besoin de savoir les détails.
- Je suis sortie avec un bassiste anglais réputé, mon grand amour comme on dirait, il avait 5 ans de plus que moi, il était expérimenté, nous étions très amoureux, et blablabla.
- Pourquoi dites-vous blablabla?
- Il n'y a pas de places pour des détails gnangnans dans ma vie, surtout que j'en produit peu.
- Vous êtes contre le tendre romantisme?
- Non, contre le gnangnantisme.
- Aha.
- Et bref après huit mois de liaisons torrides nous avons sautés le pas dans le foin, juste après une partie de paint-ball.
- Et?
- Et c'était génial.
Vous êtes sous le secret professionnel?
- Evidemment. Passons à la troisième étape.

3."Qu'est-ce qui vous fait le plus peur dans la vie ?"
- Qu'est-ce qui vous fait le plus peur dans la vie?
- La vie elle-même.
- Pouvez-vous développer, s'il-vous-plaît?
- Mais avec grand plaisir madame. La vie est flippante.
- Que voulez-vous dire par-là?
- Elle fout les chocottes, les jetons, les boules, les...
- Pourquoi?!
- Aaaah, c'était ça votre question? Et bien je m'exprimerais comme cela:
La vie est une conception complexe, rien que le fait de la pensée, de la réflexion ou encore de la mémoire dans un corps qui n'est que chair et sang, cela ne vous semble pas étrange? Par exemple les rêves sont des images que nous ne voyons pas grâce aux yeux, mais par le cerveau, alors que ce n'est qu'un organe.. Puis vient toutes ces étapes dans la vie: la croissance, la découverte, l'inconnu, l'amour, la déception, le désespoir, la routine et.... la mort.
Mais depuis qu'on m'a raconté cette histoire au catéchisme alors que je n'avais que 14 ans je suis partagée sur ce qui nous attend après:
Ce sont deux foetus jumeaux dans le ventre de leur mère. Ils se parlent souvent, sont contents et son pleins de gratitude envers leur mère qui les nourrit et les gardent dans son ventre. Puis la naissance approche, l'un dit à l'autre qu'il aimerait rester, qu'il a peur de ce qu'il les attend après. Qu'est-ce qu'il y a après la naissance, c'est quoi la vie?
Voilà.
- Charmante histoire, elle a dû avoir un grand impact sur votre façon de voir la vie, euh, la mort plutôt.
- Pas tant que ça à vrai dire..
- Ah.
- Oui, je suis désolée de vous voir écrire des trucs et gommer des bidules sur des choses que vous analyserez sur ma personnalité, héhé.

4. " Quelle révélation vous ferais le plus honte et pourquoi ça ? "

- Question suivante: quelle révélation vous ferais le plus honte et pourquoi ça ?
- Qu'on découvre que j'ai sauté un boys band entier.
- Eurhm.. Une honte réelle.
- Ah, et bien.......
Qu'on découvre que j'ai sauté un boys band entier.

5. Parlez moi de votre pire ennemi, la personne que vous aimez le moins dans votre vie ? Comment tout à commencé ?

- Je crois qu'il serait temps que nous accélerions.
- Moi qui n'osais pas vous le dire! 19 heures chez moi?
- Pardon?!
- Désolée, j'en suis encore au sarcasme irlandais, veuillez me pardonner.
- Cinquième question: Parlez moi de votre pire ennemi, la personne que vous aimez le moins dans votre vie ? Comment tout à commencé ?
- Surement le Yorkshire d'Ana Wintour.
- Pardon?
- Cette sale bête m'a grignoté pas mal de vêtements haute couture que je devais porter à différents évênements socialo-modo-politiques en Irlande et à Chicago.
- C'est tout?
- Si je devais vous parlez de tous mes ennemis j'aurais fini mes années à Yale avant d'avoir fini mon récit.
- Alors je suggère que nous passions à la dernière étape.
- Quelle magnifique suggestion!

6. Faites un dessin exprimant votre humeur du moment.

- Faites moi un dessin exprimant votre humeur du moment sur cet ordinateur là-bas, vous avez cinq minutes.
-Voili-voilou!



- Qu'est-ce que c'est?
- Des cornichons rieurs!
- Mais enfin..
- Désolée si cela ressemble à des foetus, vous savez la culture de souches fera un tabac dans quelques années!
- ....
- Désolée, je dois partir, les autres yogis doivents déjà en être à la posture du chien en passant par le salut du soleil, bonne soirée!

1. Présentez-vous. Votre nom et prénom. Votre Cursus scolaire actuel.

Adrian leva les yeux de la petite maquette d’avion qu’il avait en main depuis bien deux minutes.

_Vous disiez?
_Présentez vous. Et reposez cela, je vous prie.
_Adrian Morrison. Première année d’histoire option géographie des grands espaces… Pensez vous que je puisse reproduire le même, avec ces petites fenêtres peintes si minutieusement, et ce « Air Tokio » avec la même petite faute d’orthographe? C’est adorable. Votre mari? Votre fils peut-être?
_Ma fille.

Elle se penche au dessus de la table pour récupérer son bien, et le reposa bien en évidence devant elle.

2. Qu’est ce que cette tache d’encre vous invoque, Monsieur Morrison?
_Je préfèrerai que vous ne m’appeliez pas ainsi
_Pourquoi donc?
_ J’ai l’impression qu’on parle à mon père
_ Adrian alors?
_ Je n’aime pas particulièrement ce prénom. Contentez vous de Monsieur.
_ Bien. (Elle griffonne) La tâche?
_ C’est fou ce qu’elle me rappelle un meuble. Ou du moins, une peinture, sur un meuble.
_ Vraiment? Précisez?
_ Oui, j’avais alors cinq ans. Ou six. Je pense que ce dessin à changé ma vie. Et aussi celle de mes parents. J’étais assis devant ce meuble, lorsque soudain me vint l’idée que ce tableau, puisque ça en était un, n’était pas complet, avec ces taches minables. Sans vous offenser. Je suis donc allé chercher mon kit de peinture, j’ai prit une chaise et grimpé sur le meuble avec toute mon agilité de gamin. Inutile de dire que j’était très doué… Et alors, tendit que je m’appliquait à dessiner un magnifique soleil d’un vert feuille idéal, ma mère est arrivée. C’est fou, je ne la voit qu’une fois par an, et il a fallu que ce soit celui-ci. Ses hurlements me font encore mal au tympan. Paraîtrait-il que ce tableau valait des millions. Et c’est alors qu’elle m’a reniée.
_ Reniée?
_ Oui (mouvement nonchalant de la main), elle passe son temps à me déshériter, en fait. C’est fou comme c’est relaxant, semblerait-il. Vous devriez tenter sur votre fille, pour qu’elle cesse de s’essayer à l’art de la maquette. Toujours est-il que le vert est devenu ma couleur préféré, je vous le dit, au cas ou vous voudriez me tricoter une écharpe. Même si je n’en porte pas, à vrai dire, je déteste les écharpes…
_ Poursuivons, je vous prie.

3. "Qu'est-ce qui vous fait le plus peur dans la vie ?"

_ Les épinards
_ Sérieusement.
_ Sérieusement… Les épinards.
_ (Soupir) Poursuivez
_ J’ai failli me noyer dans un champ d’épinards quand j’était petit
_ …
_ Je me suis perdu, et tous ces épinards qui se ressemblaient… Chacun était identique à l’autre, aucun point de repère.
_ Qui vous avez emmené dans ce champ?
_ Mon père : il voulait m’abandonner.
_ …
_ J’avais semé de la mie du pain de mon déjeuner, mais les corbeaux l’ont dévorée.
_ Vous avez grandi à New York. Pouvez vous m’indiquer ou trouver des champs d’épinards?
_ Pensez vous qu’en parler m’aidera à me sentir mieux?
_ Oui.
_ Au salon international de l’agriculture. De New York. Et c’est alors que les oiseaux quittèrent leurs cages, que les poules partirent béqueter le pain que j’avais laissé sur mon chemin, car j’avais au préalable ouvert les cages des poules. Mon père fut banni du salon de l’agriculture, et du leur rembourser des millions pour les dégâts.
Et c’est là qu’il me renia.
_ Lui aussi?
_ Relaxant, je vous ai dit.

4. " Quelle révélation vous ferais le plus honte et pourquoi ça ? "

_ C’est étrange, parmi tous les psy que j’ai vu, et j’en ai vu, vous êtes la première à poser cette question directement, pourquoi?
_ Le temps
_ Et vous pensez vraiment que quelqu’un vas y répondre avec un tel manque de délicatesse?
_ A vrai dire… Oui. Donc?
_ Vous êtes vraiment brutale pour un psy. Vous devriez tenter le yoga. Ou renier deux ou trois enfants.
_ Donc?
_ Hum. A vrai dire, j’ai tendance à refouler beaucoup de choses… Donc j’en ai aucune idée. Mais allez demander à mes parents, ils ont tendance à savoir des choses. Peut-être que j’ai honte du fait qu’ils soient mes parents.
_ Poursuivez?
_ Hé bien, vous savez, je suis leur unique enfant. Ils s’attendent donc à ce que je me tienne à leurs décisions, et je les déçois sans cesse. Depuis toujours. Et ce, à chaque fois que nous nous voyons. Je pense que c’est pour ça que nos relations actuelles se limitent à présent à un brunch à noël et un coup de téléphone pour mon anniversaire.
_ Et vous en avez honte?
_ En quelque sorte. Fêtons le pouvoir du fils indigne.

5. Parlez moi de votre pire ennemi, la personne que vous aimez le moins dans votre vie ? Comment tout à commencé ?

_ Vous avez vraiment étudié la psychologie?
_ Bien entendu
_ Il se leva, et alla observer de plus près les diplômes qui ornaient le mur. Diplômée de Yale, hein? Pas étonnant.
_ Et donc, votre pire ennemi?
_ C’est… moi.
_ Développez. Et asseyez vous.
_ Tout à commencé lorsque je découvris le miroir de la salle de bain. A moins que ce fut ceux de la salle à manger. Je me suis alors demandé pourquoi ce type qui était dans la glace était plus beau que moi. Parce que, vous savez, j’ai une conception très étrange de ma personne. Et… Ensuite nous nous sommes battus.
_ Battus?
_ Oui, j’ai brisé le miroir du salon à l’aide du premier trophée de chasse de mon père…
_ Qui vous a renié
_ Vous comprenez vite.

6. Faites un dessin exprimant votre humeur du moment.
_ Très bien
_ Que faites vous?
_ Il ne faut jamais laisser en plan ce qu’on a commencé

_ Votre soleil vert
_ Vous avez l’œil
_ Vous n’obtiendrez aucun reniement de ma part, Au revoir.

1. Présentez-vous. Votre nom et prénom. Votre Cursus scolaire actuel.

_Bonjour, Arthur Maxwell. Si vous hésitez sur l'écriture de mon nom, rappellez-vous la marque du café...*RITSEUL*
_Merci je pense m'en sortir...Bien, vos études ?
_Deuxième années d’histoire gréco-romaine, pourquoi ?
_Pourquoi? Peut-être parcque cette question est essentiel non ?
_Non.
_Euuh...
_QUOI !
*Entre effrayé et...ben effrayé.*
_Pouvons-nous continuer?
_A vous de voir...
*Blanc. Puis reprend après deux minutes.*
_Comment vous sentez-vous dans vos études? Avez-vous certaines lacunes?
_Excusez-moi Mââdame, je me vois mal trèèès mal avoir des lacunes *Il pouffa*. Mais regardez-moi bien, vous me voyez avoir des lacunes? J'ai une tête de nul franchement ?
_Je me pose la question justement...Bref, passons à la suite !


2. "qu'est-ce que cette tâche d'encre vous évoque ?"

_...
_Pouvez-vous me faire part de vos idées?
_A vrai dire...sa ressemble étrangement à...Mon Rubix Cube. C'est pas possible, vous l'avez fait exprès? C'est un canulare? Mais ouuuuui, c'est un canulare, bien entendus...Mais attendez...J'ai pas d'amis, personnes ne peut ne m'en faire...Je..
_NON STOP! Je me permez de vous couper, ceci n'est nullement un canulare. Pouvez-vous juste exprimé plus clairement vos idées?
_Bien. Si VOOUS insisté. Quand j'étais gamin, je me promenais tout seul dans la ville, et un jour je suis tombé devant un magazin de jouet. L'envie à été plus forte que moi, j'ai volé un Rubix Cube...Mais regardez, comprenez-moi *Il sort son rubix cube datant maintenant d'une quinzaines d'années, sous les yeux stupéfaits de la pauvre dame !*..Il est si beau...Et regardez bien ces couleurs, si vives mais si identiques. Mon Dieu merci. C'est si beau...
*Elle note quelques trucs sur son calpin, faisant une tête de plus en plus louche.*


3. "Qu'est-ce qui vous fait le plus peur dans la vie ?"

_Rien.
_Si. Tout le monde a peur de quelques choses.
_Non pas moi.
_Si, mais si. Réfléchissez-bien, vous allez surment trouver !
_A ce moment là...J'ai peur de n'avoir peur de rien.
_Co...Comment? Non vous n'avez pas l'air d'avoir bien compris le sens de ma ques...
_Mais si mais si sa gère ! J'ai compris. Vous aussi. Alors maintenant c'est bien, comme dirais les autres, It's All Right !
_Je garde mon calme...Vous avez donc peur de la peur elle-même? Hum...vous savez quoi, d'accord !


4. " Quelle révélation vous ferais le plus honte et pourquoi ça ? "

_Sa ne vous R E G A R D E pas !
_Je suis ici pour discuter avec vous, librement, sans aucun jugement, vous pouvez vous confiez, le secret professionnel marchera ici.
_Je ne suis pas convaincus.
_Mais...Mais je m'en fiche royallement que vous soyez convaincus ou pas ! Répondez à ma question, s'il vous plaît.
_Non, je ne peus pas.
_...
_Allez-y, courage Arthur !
_A ce moment là...Bon...Un jour je me suis trompé d'avion...
_...Je...Non vous...J'arrête !


5. Parlez moi de votre pire ennemi, la personne que vous aimez le moins dans votre vie ? Comment tout à commencé ?

_Ah enfin une question facile !
*Grand sourire de la part des deux personnes présentes.*
_Allez-y alors, ne tardez pas, nous sommes en retard.
_Mon pire ennemi n'existe pas, et tout à commencé le jour de ma naissance, ou j'ai détesté ce foutu médecin, et mon père...*Fière d'avoir répondus à sa question, un sourire satisafait aparaît sur son visage.*
_Je pense que nous ne pouvons pas plus dévellopper étant donner que vous êtes plus que seul dans votre petite vie mina...
_Oui, vous avez raison. C'est pour ça que je suis si...Cool ! *HUM*


6. Faites un dessin exprimant votre humeur du moment.



_Bien...Dois-je conclure que votre humeur du moment se résume à...un...
_A un lutin, oui c'est ça !

Mme Steevens se demandait si elle ne pourrait pas accrocher quelques une de ces si jolie oeuvre d'art au dessus de son bureau.
Round 2 !!

A qui le tour ?

1. Présentez-vous. Votre nom et prénom. Votre Cursus scolaire actuel.

Léa entra dans la salle dans sa paire de bottes fétiche.
"-bonjour mademoiselle winston beugla madame steevens.
-bonjour, jolie chemisier lui répondit léa avec une pointe d'ironie." le chemisier de madame steevens, et son style vestimentaire tout entier laissait paraitre qu'elle avait pour unique but dans la vie de psychanalyser de pauvres éleves inocent.
"-bien commençons, reprit-elle apres avoir rassembler ces feuilles.
-je suppose que vous aller me montrer des taches d'encre, me demander si tout se passe bien dans ma vie alors que vous savez pertinament que je ne vous dirait rien de plus que se que vous savez déja.
-Ne jouer pas a la plus maligne avec moi mademoiselle, je fait mon travail, et répondre a mes questions est le votre. Commençons, et ne me faites pas perdre mon temps.
-Tres bien madame, répondit léa avec un sourire angélique.
-parler moi de vous jeune fille, votre nom, prénom, votre classe, vos résultats scolaire...
-Je m'apelle léa winston, mais vous le savez déja je suppose, je suis en premiere année ici, et j'ai choisit comme option la psychologie. Mais je pense changer au prochain semestre car devenir une vielle femme psychanalysant les eleves ne m'interesse guère...
-Tres bien, fit madame steevens en roujissant, vous allez etre tres contente mademoiselle nous arrivons a votre partie fétiche.

2. "qu'est-ce que cette tâche d'encre vous évoque ?" (votre personnage devra raconter une anecdote inconnu de sa vie. A vous d'inventer quelque chose )
Hum, je dirais ces taches, car, comme vous pouvez le remarquer, il y en as plusieurs, mais passons ce léger détail qui n'interesse personne, meme pas moi. Donc, cette tache, déja les couleurs qui le composent ne vont pas DU TOUT ensemble, c'est un crime pour toute fashionista qui se respecte. Dailleurs *rire* sa me rapelle la bal du lycée en troisieme, chelsea warrols avait une robe telle un arc en ciel, anecdote tres interessante pour vous, je suppose."
Elle s'amusait follement a enerver la pauvre femme qui faisait tout son possible pour garder son calme.
"- Tres, tres bien, il est possible d'avoir une chose plus, disons, interessante a dire sur cette tache.
-Attendez que je fasse marcher mon cervaux pour trouver la réponse qui convient...
*il y eu quelques minutes de silence*
On pourrait dire que ces taches représentent les élément terresetre, le bleu serait pour l'eau, le rose pour les fleurs, le vert pour l'herbe, et le jaune pour le sable. Sa me rapelle vaguement mes vacances a malibu cet été. Des tonnes de mecs, du sable et une eau turquoise, un peu comme cette tache la.
*lle montra la tache bleu du bout de ces ongles manucurés, en bleu eu aussi* et puis comme mes ongles aussi*rire*
Madame steevens commençais a vraiment perdre patience.
Elle n'appréciait pas les eleves impertinent, sans aucun scrupule a ce moquer ouvertement d'elle. Mais elle, cette léa, faisait sa tout en finesse, elle ne voyait pas de raison de s'enerver. Elle poursuivit donc.

3. "Qu'est-ce qui vous fait le plus peur dans la vie ?"
Tout a coup, léa redevint totalement sérieuse, le sourire qui ornait son visage était retomber. MAdame steevens, elle,sourait,contente d'avoir trouble cette petite maligne.
Mais léa se reprit.
"Le plus peur, je dirait que ma mere découvre que je consomme régulierement des drogue, car il faut que vous le sachiez madame, je suis une grosse fetarde, et , il se peut que j'ai quelques soucis a cause de sa. Nottament des heures de cours que je sécherais pour cause de gueule de bois, ou d'overdose."
Son sourire avait repris sa place, madame steevens savait qu'elle plaisantait, mais elle n'en était pas tout a fait sure.
"et sinon.? demanda t'elle a léa
-sinon, peut etre d'échouer mes études, sur tout la ligne et de devoir vivre aux crochets de ma mere toute ma vie. A part sa de quoi pourrais-je avoir peur? Peut etre de ne pas etre totalement assortie pour aller en cours mais je doute sincerement que cela vous interesse.
-Tres bien."
MAdame steevens prit quelques notes, léa sortit son portable, son miroir et son gloss fétiche a la framboise. Elle regarda ces messages (elle en avait deux) et se remis une couche du gloss n°3 de la série "délice" de chez chanel.
"prochaine question?" demanda t-elle apres avoir finie.
4. " Quelle révélation vous ferais le plus honte et pourquoi ça ? "
"- Aucune. Que se soit les rumeurs ou le journal de gossip girl, n'importe qui peux connaitres ma vie. Et peut importe. Sa marche comme sa dans l'upper east side, question d'habitude, et c'est pas en changeant d'école que mon passé changeras. Alors j'assume"
La réponse était breve, mais précise. Madame steevens était impressioné par le courage de cette fille qui semblait en avoir vu d'autre. Meme si elle s'amusait a la torturer, Mme steevens commençais a éprouver une certaine admiration pour cette fille d'pparence si superficielle. Elle réfléchissait.
Léa commençait a trouver le temps long.
"Ensuite?" dit-elle.
5. Parlez moi de votre pire ennemi, la personne que vous aimez le moins dans votre vie ? Comment tout à commencé ?
La personne que j'aime le moins. Je pense que c'est cette gossip girl. Elle na meme pas la faculté d'assumer ces pensées, ce qu'elle sait sans ce cacher derierre un pseudo. Je trouve sa totalement pitoyable. De nombreuses disputes ont éclatés a cause de cette fille. Je prefere ne pas en dire plus, et j'espere pour elle que je ne saurais jamais son identité sinon...
-Bien, bien... Euhm... PAssons a la prochaine question si vous voulez bien mademoiselle.
-bien sur *elle sourit*"
6. Faites un dessin exprimant votre humeur du moment. (avec paint par exemple
"-Voici des crayons et un feuille blanche je vous laisse un quart d'heure pour me déssiner votre humeur du moment.
- tres bien."
Un quart d'heure plus tard, madame steevens revint dans la salle. Léa lui tendit son dessin en disant:
"- Mon humeur du jour c'est ça. Cette charmante petite robe noire Chanel que j'ai vu se matin dans une vitrine irait tres bien avec mon sautoir noir et rouge et une paire de jimmy choo noire.
Maintenant, veuillez m'excuser mais je ne veut pas etre en retard en cours."
Madame steevens regarda le dessin perplexe. Peut etre cette fille était aussi superficielle qu'elle en avant l'air...

Q1 :

_ Bonjour Monsieur Dern, vous êtes prêt à passer le test ?
_ ... Uh ?
_ Je vous demandais si vous vous sentiez d'attaque à répondre à mes questions...
_ On m'a dit que c'était obligatoire... Je comprends pas bien... Ca fait parti du questionnaire ou on n'a pas encore commencé ?
_ Ha heum... On peut commencer maintenant ?
_ Juste un instant... C'est vraiment votre bureau ici ? Enfin je veux dire..
_ Vous voulez une tasse de thé ou du café avant que je commence à vous raconter ma vie ?
_ Si vous avez, oui, c'est gentil...
_ Mr Dern, êtes-vous conscient que je vous attends depuis...
Mme Steevens lâche des yeux Charlie un instant, et regarde en direction de l'horloge.
Depuis deux minutes et douze secondes ?
_ Vous êtes sûre ? Je croyais que...
_ Pouvez-vous me rappeler votre nom, votre prénom et vu que vous avez l'air d'aimer parler, votre cursus scolaire s'il vous plait...
Charlie mordille nerveusement sa lèvre supérieure mais retrouve sa Charlitittude en constatant que les questions étaient plus faciles que prévues.
_ Euh, jusqu'à nouvel ordre je suis Charlie Dern... Qu'est-ce que vous appelez cursus en faite ?
_ ... Ce que vous étudiez Charlie.
_ Ah, oui, pardon. Histoire de l'art et archéologie si c'est que vous voulez..
_ Bien merci, on passe à la prochaine étape..
_ Au faite, Madame Steevens, vous étiez sérieuse pour le café ?
_ On appelle ça de l'ironie dans le langage courant...
_ Mais...

Q2 :
_ Trève de plaisanterie, passons aux choses sérieuses, j'aimerai rentrer chez moi avant une heure du matin.
_ Je ne suis pas pressé vous savez, partager ma chambre avec ce névrosé drogué au café qui passe son temps à baragouiner dans son coin..
_ Pardon ?
_ Je disais que..
Sans comprendre comment et pourquoi, Charlie se retrouve avec trois tâches collées sous le nez, face à une Steevens impatiente.
_ Alors ?
_ De ?
_ Trois !
_ Soleeeil !
_ Je ne plaisante pas Monsieur Dern, que pensez-vous de ces tâches ?
_ Vous allez l'écrire sur mon dossier si je vous réponds franchement ?
_ Non, ça reste entre nous, l'entrevue dans son intégralité est classée confidentielle..
_ Okay, et bien je dois vous avouez que.. Je trouve ça particulièrement moche. C'est un de vos enfants qui vous a dessiné ça pour la fête des mères ?
_ Charlie, je suis sérieuse.
_ Mais moi aussi, je ne pensais pas que vous seriez aussi suceptible.
_ Ce n'est pas la question, quelle est la signification de ce dessin pour vous !
_ ...
_ Oui ?
_ Elles me font penser à...
_ Oui, continuez..
_ Arrêtez de m'interrompre alors. Je disais donc, avant que vous me coupiez, qu'elles me font penser à... ce que je vois après avoir pris un champignon magique.
_ Champignon hallucinogène vous voulez dire ?
_ Comme vous préférez, pour moi ils sont magiques. Vous savez, toutes ses hallucinations après avoir pris ça... C'est énooooorme !
_ Pourriez-vous être plus précis s'il vous plait ?
_ Non, c'est trop personnel. Mais si ça vous tente, vous pouvez écrire noir sur blanc de ne pas oublier d'acheter des champignons, je peux vous assurer que ça illuminera votre bureau... Mais vu que vous y tenez, une vision tricolore du monde m'est apparue il y a maintenant un an et des poussières, j'étais avec Nate et Anthony, vous les connaissez, vous les avez harcelé ? Bref, on revenait d'un voyage à Amsterdam.. Vous connaissez la suite..
_ J'en prends note, merci du conseil Monsieur Dern.. Mais êtes vous au courant des risques de ce genre de drogues ?
_ Ce n'est pas la question...
_ C'est vrai, passons à l'étape suivante si vous voulez bien..

Q3 :
_ Et dans le cas contraire ?
_ Je n'ai pas le souvenir de vous avoir demandé votre avis..
_ Vous ressemblez étrangement à un poisson rouge.. Ca doit être avec la lumière...
_ Vous avez peur des poissons rouges ?
_ En principe non, mais quand vous me fixez de cette manière, j'en ai des frissons dans le dos.
_ Avez vous peur d'autres choses mis à part les poissons ?
_ La fille avec laquelle je sors..
_ Développez je vous prie.
_ Si vous me promettez que ces informations resteront secrètes..
_ Oui évidemment.
_ Dites-le.
_ Oui, je le jure, j'y suis forcée. Continuez..
_ Elle est assez dingue dans son genre. Pas dingue névrosée. Juste une psychopathe. Parfois j'ai l'impression qu'elle veut me passer au hachoir. J'ai des crises d'angoisse en y pensant..
_ Elle vous a déjà violé ? Brutalisé ?
Le jeune anglais fronça les sourcils en secouant la tête avant de regarder d'un air ahuri la psychologue.
_ Bien sûr que non ! C'est la fille avec laquelle je sors !
_ Mais vous venez de dire que.. Bref, autres choses à ajouter ?
_ J'ai peur des crabes depuis ce terrible séjour sur les côtes anglaises. Mon père m'a abandonné pour aller pêcher. Je courrais sur la plage, les cheveux au vent. Et quelques instants plus tard, j'étais encerclé par ces bestioles. Depuis, j'ai peur des crabes et je suis allergique aux fruits de mer.
_ Merci pour cette anecdote...
_ Je suis là pour ça..
Petite oeillade...

Q4 :
_ Hum, je vais devoir accélérer le rythme.. Quelle révélation vous ferait le plus honte et pourquoi ça ?
Charlie regarde interdit son interlocuteur. La bouche à demie entrouverte.
_ Euh, si j'avais JUSTEMENT honte, pourquoi je le dirai à vous.. Vous ressemblez peut-être à un poisson, mais vous savez parler...
_ Je ne connais pas vos parents, ni vos amis. Par contre, si vous refusez d'être plus... coopérant, vous pourriez sympathiser avec le directeur de Yale.
_ Vous me faites des avances ?
_ Je n'ai jam..
_ Vous savez que c'est du détournement de mineurs ?
_ Mais enfin Monsieur Dern ! Reprenez vous, j'attends juste votre réponse.
_ Si c'est que vous voulez... Une révélation ?
_ Oui, vous avez tout compris..
_ Quand je suis seul... J'aime bien m'entraîner à faire le ventriloque..
_ Pardon ?
_ Et j'écoute les Spice Girls... Parfois hein. Mais les temps sont durs, j'ai un collocataire... Vous écrivez quoi depuis tout à l'heure au faite ?
_ Ma liste de courses. Jus de fruits, céréales, couches..
_ Ah.

Q5 :
_ Maintenant que j'ai toute votre attention, j'aimerai savoir quelle est la personne que vous appréciez le moins...
_ Mon collocataire. Dan Humphrey. Il n'a pas compris que le matin, il ne faut pas ouvrir les volets, il y en a qui essayent de se remettre de leur nuit !
_ Autre raison.. plus valable ?
_ Notre chambre empeste le café froid et le tabac..
_ D'autres personnes figurent dans votre liste noire ?
_ Jefferson Mc Alistair et Arthur Maxwell ?
_ Pourquoi cela ?
_ Le premier s'entend trop bien avec Brooke et le deuxième... Sa tête ne me revient pas.

Q6 :
_ Tenez, des crayons et des feuilles, je vous laisse dessiner selon votre humeur, j'ai besoin de prendre l'air...
_ Adieu.
_ Un à tout de suite suffira..

_ Un poisson ?
_ Vous avez une bonne vue.
_ Vous avez envie de manger du poisson ?
_ Non, je viens de penser à cette hystérique de Brooke. D'autres questions ou je peux me carapater dehors ?
_ A bientôt..

1.

- Nom et prénom, Mademoiselle.
- Bonjour Mme Steevens; Vous vous portez bien ?
- Oui, bonjour Mademoiselle, très bien.
- Vous n'en avez pas l'air; Vous êtes sûre que votre journée s'est bien passée ?
- Oui, Mademoiselle, je vous remercie. Nom et prénom maintenant, si vous le voulez bien.
- D'accord, Mme Steevens; Charly Benedicte. Vous êtes sûre de ne pas vouloir un peu d'eau avant de commencer ?
- Peut-être qu'un petit verre d'e... Oh ! Je vous rappelle que vous êtes dans mon bureau !

Petit gémissement de souris.

- Pa-Pardon, Mme Steevens ! Je voulais juste vous ai-aider, vous savez...
- Calmez-vous un peu, Mademoiselle Benedicte, tout va bien, je vais bien, vous allez bien... Vous me direz quand vous serez calmée, d'accord ?

Court silence entrecoupé d'une respiration légèrement haletante.

- ...
- C'est bon ?
- Oui, Mme Steevens.
- Votre cursus scolaire ?
- Je suis en philosophie, Mme Steevens. Mais dites-moi, vous ne devriez pas déjà savoir tout ça ?
- Je le sais, Mademoiselle Benedicte, toutefois ces questions sont obligatoires. Vous comprenez ?
- Oui, Mme Steevens.
- Bien, continuons si vous le voulez bien.
- C'est mon père qui m'a forcée a entrée ici.
- Ah ? Mhh, intéressant...

Crissement d'un crayon sur une feuille.

- Nous en reparlerons après, vous voulez bien ?
- Oui, Mme Steevens.

2.

- Maintenant, dites-moi ce que vous évoque ces tâches d'encre s'il vous plait.
- Oui, Mme Steevens.

Sourire doux.

- Et bien ?
- Ca me rappelle le premier chien que j'ai eus.
- Vraiment ? Et comment s'appelait-il ?
- Snaf Snaf. Mon père avait décidé de me l'offrir pour que je ne sois plus toute seule à la maison; Il était tout petit. Un labrador couleur sable, en fait, très mignon. J'avais aménagé un coin de ma chambre avec des coussins multicolores, du même genre que vos jolies tâches là...
- Et que s'est-il passé, Mademoiselle Benedicte ?

Ton conciliant.

- Il les a mangés et déchirés dès qu'il les a vu.

Sourire ravi.

- C'était mignon, vous comprenez, et les tissus de couleur déchiquetés volaient dans la pièce comme des papillons... Enfin, mon père a revendu le chien après ça. Je l'ai gardé deux jours en tout.
- Hum... Oui, bien sûr, bien sûr... Et est-ce que, par hasard, ça ne vous aurait pas fait un peu peur ?

3.

- Non, Mme Steevens. C'était triste à la fin de ne plus avoir d'ami, mais je n'ai pas eus peur. J'aurais dûs, Mme Steevens ?

Regard inquiet.

- Non ! Bien entendu que non, Mademoiselle Benedicte. Pas de ça, mais par exemple... Avez-vous peur des araignées ?
- Vous allez trouver ça étrange pour une fille, mais pas spécialement.
- De votre père peut-être ?
- ...
- Vous a-t-il fait quelque chose de mal durant votre enfance ?

Long silence.

- Non, Mme Steevens. Il ne prête pas assez attention à moi que pour me faire peur, Mme Steevens. Mais si vous voulez la vérité, j'ai peur de ma mère. Et un peu de mon frère, aussi, même si il est en général trop défoncé que pour bouger.
- Défoncé ?
- Oh, vous savez, le quotidient ici à ce que j'en sais : Alcool, drogue, ...
- Et il ne vous a jamais touché sous l'emprise de ces dernières, Mademoiselle Benedicte ?
- Je vous l'ai dis, il est en général trop défoncé que pour bouger. Je me demande même si il ne l'est pas trop pour penser... Vous savez, je crois que je suis un peu triste pour lui, parce que je ne peux rien y faire. Vous croyez que je pourrais l'aider ?
- ... Et votre mère ? Vous m'avez dit avoir peur d'elle. En quoi ?
- Vous détournez le sujet de la conversation ?
- Non, je continue juste dans le sens des choses que vous avez cité.
- Oh, d'accord... Je comprends, vous savez, pas besoin de passer à côté des choses comme ça. Vous pouvez le dire si vous ne voulez pas répondre à une question.
- Et bien je ne le désire pas, Mademoiselle Benedicte.

Haussement d'épaules. Joli sourire.

- D'accord alors. Donc ma mère... J'ai peur qu'elle m'approche. Vous comprenez, elle ne s'est jamais spécialement occupée de moi donc elle ne sait pas comment prendre les choses correctement; En plus, mon père ne voulait pas de fille, donc imaginez la haine qu'elle peut me porter... Mais vous savez, je m'en moque un peu en fait : Si ça peut la soulager, ça ne me dérange pas.

Silence gêné.

- Ahum; Autre chose, Mademoiselle Benedicte ?
- Non, Mme Steevens. Je ne peux pas avoir peur, je n'en ai pas le droit.
- Je vois... Et avez-vous honte de quelque chose ? Justement, par exemple, de votre frère et de ses habitudes ?

4.

- Non.
- Voudriez-vous bien dévelloper, Mademoiselle Benedicte ?
- Et bien non, je n'ai pas honte de mon frère. Ni de ma famille, d'ailleurs. Je les aime, vous savez, et comme ils sont.
- Quelque chose d'autre alors ?
- Mhh... Un homme bon a honte même devant un chien.
- Que voulez-vous dire ?
- C'est de l'écrivain Russe Anton Tchekhov, Mme Steevens. Je crois que c'est la seule chose dont j'aurais honte, en fait.
- J'ai peur de ne pas bien saisir, Mademoiselle...
- J'aurais honte de ne pas avoir honte, Mme Steevens. Oui, honte de ne pas avoir honte...

Regard rêveur.

5.

- Seriez-vous votre propre ennemie ?
- Non, Mme Steevens.
- Haïssez-vous quelqu'un ?
- Non, Mme Steevens.
- Allons, Mademoiselle Benedicte, tout le monde a un ennemi dans la vie... Surtout quelqu'un de vo...
- De mon âge, Mme Steevens ? Mais Mme... Comme disait Mr. Bellegarde, "La haine n'a jamais rien créé". Pourquoi voulez-vous absolument que je porte un regard mauvais sur quelqu'un ?
- Mais je n'ai jamais dis que...
- Alors, s'il vous plait, cessez donc de me demander de vous dire le nom de quelqu'un; Je ne tiens pas à désigner quelqu'un pour vous faire plaisir, Mme Steevens.

Silence.

- Je suis désolée.

6.

- Je vois... Tenez.

Bruit de feuilles. Tic tac en fond sonore.

- Une feuille blanche ?
- Dessinez, d'accord ?
- ... Si ça peut vous faire plaisir, d'accord Mme Steevens !

Sourire. Bruit de crayons qu'on déplace. Crissement qu'ils produisent sur la feuille.



- Tenez Mme Steevens !
- Oh, quel ravissant paradis !
- Non Mme, c'est le Central Park. Vous devriez sortir plus souvent vous savez, ça vous ferait vraiment du bien et vous n'auriez plus cette mine blafarde... Je peux y aller maintenant Mme Steevens ?

Silence.

- Bonne chance avec les suivants Mme, je penserais à vous en rentrant !

1.Présentez-vous. Votre nom et prénom. Votre Cursus scolaire actuel.

- Bonjour, mademoiselle Waldorf.
- Huum salut.
- Pouvez vous vous présenter : votre nom, prénom et cursus solaire.
- Pourquoi demander mon nom de famille alors que vous le connaissez ?
- Euh..c’est comme sa et pas autrement.
- Bref, alors Olivia Warldof..huu Waldorf, première année de droit.
- Passons à la seconde étape.

2. "qu'est-ce que cette tâche d'encre vous évoque"

- Ah c’est comme chez la psy
- Vous êtes déjà allez chez une psychologue
- Non c’est juste que dans les films ils montrent souvent des tâches sauf qu’elles sont noires normalement. C’est juste bizarre que vous ayez des taches de couleurs et dans les films qu’ils aient des taches noires. C’est dommage pasque avec les ta…
- Bref, nous n’allons pas polémiquer sur la couleur des tâches. Est-ce que ces tâches vous évoquent quelque chose ?
- Beuuh, c’est des tâches.
- Oui ça je sais. Mais elles vous inspirent quoi ?
- Euh, des tâches de peinture.
- Développez.
- Vous savez quand on est petit, on fait de la peinture à l’école et souvent on a des gros pinceaux et des pots de peinture. Et les professeurs nous avaient dit de faire un beau dessin pour la fête des mères. Donc je m’étais appliquée et j’avais fais pleins de jolis tâches comme ça avec pleins de couleurs, je me souviens que ma prof m’avait félicité. En rentrant chez moi je l’avais tendue à ma mère qui se trouvait au téléphone, elle l’avait prit sans vraiment faire attention à ce que c’était. Royalement pressée, ma mère avait notée quelque chose sur mon dessin, une adresse ou un numéro, et un fragment de secondes après, mon dessin était par terre comme un vulgaire poireau.
- Un vulgaire poireau ?
- Bas oui, vous ne trouvez pas qu’un poireau est dénué de tout intérêt ?
- Euh.
- Aah, je m’égare. Pardon.

3. "Qu'est-ce qui vous fait le plus peur dans la vie ?"

- Qu’est-ce qui vous fait le plus peur dans la vie ?
- J’en sais rien.
- Chercher j’ai tout mon temps
- D’accord mais sa risque d’être long.
- Faites.
Une demi-heure plus tard..
- C’est bon.
- D’accord…alors ?
- Je crois que j’ai peur de mourir.
- C’est-à-dire, développez.
- Bas je ne sais pas, je suis bien dans ma vie. Je m’éclate, j’ai des amis. Je fais de nouvelles expériences chaque jour. J’ai pas envie de quitter tout ça. Bon je sais que d’ici la fin de mes jours, j’ai le temps mais bon…voilà quoi.
Olivia toucha alors un coin de la table en bois.
- Pourquoi vous venez de faire ça ?
- Je ne sais pas, je suis superstitieuse, donc je touche du bois. C’est un tic maintenant. Bref.
- Oui, donc passons à la suite.


4. " Quelle révélation vous ferais le plus honte et pourquoi ça ? "

- Quelle révélation vous ferais le plus honte et pourquoi ça ?
- Le fait qu’auparavant je me faisais vomir.
- Ah bon ? Et pourquoi ça ?
- Vous savez très bien que toutes les filles comme moi sont mal dans leurs peaux même si elles sont superbes. Bon je vous rassure, je vais très bien et puis maintenant je me sens très bien dans ma peau, en plus j’ai remplacée cette mauvaise habitude par quelque chose de mieux.
- Et je peux savoir quoi ?
- Non. Ce n’est pas dans vos questions, si je ne m’abuse.
Sourire sarcastique.
- Donc récapitulons, vous avez honte que vos amis apprennent que vous faisiez vomir auparavant ?
- Non, non. Mes amis sont au courant. J’ai plutôt peur que ma mère soit au courant de ça un jour ou l’autre. Elle serait capable de me faire enfermer au centre de réinsertion social pour mon « bien » afin de ne pas nuire à sa marque de vêtements.
- Hum. D’accord.
Mme Steevens griffonna quelque chose sur son calepin.
- Hey, vous ne notez pas tout ce que je raconte là ?
- Si il le faut bien.
- Je peux voir ce que vous notez ?
- C’est drôle, une de vos camarades Vanessa Abrams ma demandé la même chose.
- Oh noon…vous allez pas me dire qu’il y a un lien..
- Pourquoi donc ? vous ne l’aimez pas ?
- C’est un peu ça, oui.
- Je pense donc qu’il faut qu’on passe à l’étape suivante.

5. Parlez moi de votre pire ennemi, la personne que vous aimez le moins dans votre vie ? Comment tout a commencé ?

- Donc qui est la personne que vous aimez le moins dans votre vie ?
- Je dirais Kenzie Stewarts et Gabrielle Klein. Quoique j’arrive à supporter cette dernière puisqu’elle est ma voisine de chambre. Ensuite Vanessa Abrams mais bon c’est juste que je n’ai pas vraiment de « lien » avec elle, je suis sûre qu’elle doit être sympa dans son genre, mais bon…bref.
- C’est tout ?
- Bas, écoutez c’est bien déjà. Si vous voulez je vous fais la liste de mes amis. Vous ne vous ennuierez pas, je vous assure Mme Steevens.
- Non, non ça ira. Et sinon comment tout à commencé ?
- Oh, il y a pas vraiment de source à tout ça, on se connaît depuis la maternelle et on se voue une véritable gueguerre. Voilà
- Hum, d’accord.

6. Faites un dessin exprimant votre humeur du moment.

- Tenez, dessinez moi un dessin exprimant votre humeur.
- D’accord.



- Sans commentaire, s'il vous plait. Le dessin c'est pas vraiment mon truc et puis au moment c'est simple. Un bonhomme qui sourit sa veut dire que je suis heureuse.
- J'ai compris, j'ai compris.
- Bon bas, c'est bon. Je peux y aller ?
- Oui.
- Bon à bientôt.

1.
Damon entre dans la pièce, Mme Stevens lève les yeux, espérant du fond de son coeur un élève normal.
- Salut!
Damon sourit, c'est effrayant. Mme Stevens, désespérée, enfouit son visage dans ses mains
- Bienvenue, monsieur
- Quelque chose qui ne va pas?
- ...
- Je vois
- On peut commencer si vous le permettez.. votre.. Par pitié, vous pourriez arrêter de hocher la tête comme ça en me regardant???
- Je marquais juste mon approbation, j'aime vos mots, ce sont les plus beaux que je n'ai jamais entendu
Mme Stevens commence à griffoner son calepin, Damon regarde les traces de moisissure au plafond
- Bien... présentez vous... votre nom, prénom et cursus scolaire. Pas besoin de la biographie détaillée par pitié, je préfère prévenir.
- ...
- Jeune homme...
- Oui
- Pardon?
- La réponse est oui
- Avez vous des problèmes de compréhension, d'assimilation des données ou autre? Venez vous d'un pays d'Europe de l'Est?
- Rien de tout ça à ce que je sache...
- Je vous ai demandé votre nom. Vous m'avez répondu oui.
- Oh je suis confus... j'ai cru que me demandiez si j'aimais ou non les moules. Entre nous, ça me rassure un peu, vous êtes moins tordue que vous en avez l'air.
- Je vous remercie, est ce que je peux ou nom connaître votre nom maintenant?
- Damon Flaherty. Mes amis m'appellent Damon Flaherty. Mais si vous voulez, vous pouvez m'appeler Damonflaher, c'est plus court
- J'imagine que vous vous croyez drôle
- Très, je connais de supers blagues... C'est l'histoire d'une petite fille qui est toute seule au bord de la route, un camionneur s'arrête et...
- Stop merci, je ne veux pas en entendre plus
- Vous me censurez?
- Non, je vous rends service, croyez moi
- Vous n'avez aucun humour, votre profession vous va à merveille
- Hum... pourquoi êtes vous à Yale
- Je suis ici pour détruire le système, c'est pour ça qu'il m'ont engagé, je vais mettre le feu, lancer une véritable révolution...
- Je voulais parler de vos études
- Ah. Philosophie.
Le visage de Mme Stevens s'illumine soudain d'un air de compréhension

2.
- Pourquoi est ce que vous me montrez ça? C'est très moche.
- Malheureusement, je ne vous ai pas convoqué ici pour votre précieux avis en matière d'art.
- Je vous ai dit que je suis dans un groupe? On vient de sortir un album
- ...
- J'imagine que vous ne comprenez pas grand chose au rock'n roll, pas vrai?
- En effet
- Sans vouloir vous offenser, je pense que Mick Jagger ne vous trouverait pas à son goût..
- Ahem pouvez vous vous concentrer sur cette image je vous prie
- ...
- ...
- Je suis censé parler, là tout de suite?
- C'est une option plutôt intéressante, ces tâches vous rappellent elles quelque chose?
- Je ne les ai jamais vu avant je dois dire
- Elles ne réveillent aucun souvenir en vous?
- Du genre perte tragique d'un membre de mon corps dans un accident sanglant? Suicide d'un cochon d'inde?
- Je parlais plus d'une anecdote
- Hum... maintenant que j'y pense...
- Oui?
Mme Stevens a peur
- Il y a ce musée... Pompidou... c'est à Paris
- Que faisiez vous à Paris?
- Un voyage scolaire au lycée. Et il y a cette grande toile, gigantesque. Avec des tâches de couleur partout.
- Ce fut une révélation?
- Exactement. Je n'avais jamais rien vu de pareil, j'étais subjugué. Alors je recule, et je fonce.
- Vous foncez... hors du musée?
- Non. Je fonce sur la toile.
- Oh.
- Les français, ils sont violents vous savez.
- Mais pourquoi avez vous fait ça?
- J'avais pris beaucoup d'acide.
- ...
- Au final, il s'est avéré que la toile était un monochrome de blanc, et je l'ai malencontreusement salie en saignant du nez dessus
- ...
- Heureusement que mes parents n'habitent pas en Somalie, sans leur argent je croupirais sans doute en prison à l'heure actuelle
- ...
- Pourquoi vous ne dites plus rien, je peux m'en aller?
- Non, restez, on va passer à la question suivante.


3.
- Qu'est ce qui vous fait le plus peur dans la vie, monsieur Flaherty
- Ca rime, vous avez remarqué?
- Là n'est pas la question, nous ne sommes pas en pleine réunion du club de poésie.
- Oh
- Et j'aimerais une réponse à ma question éventuellement
- Éventuellement, j'ai peur... de l'album blanc des Beatles
- C'est une blague?
- Pas du tout
Mme Stevens soupire, elle aurait bien besoin d'une aspirine. Elle assaye de réunir le maximum de patience dont elle dispose et demande
- Pourquoi avait vous donc peur des Beatles
- Pas des Beatles, de l'album blanc des Beatles. Je ne sais pas, c'est assez irrationnel voyez vous... C'est comme un mal qui s'imice en moi, un serpent me dévorant de l'intérieur
- C'est beau ce que vous dites
- Merci, je l'ai trouvé dans un recueil de poèmes de Dan Humphrey
- Cette peur vous handicape t-elle dans votre vie quotidienne ?
- Enorment, je n'ai jamais pu écouter la face A au delà de la chanson "Obladi Oblada" elle me tétanise...
- Je vois
- Non vous ne voyez pas, vous n'avez sans doute jamais eu affaire à la phobie du compact disc
-Vous avez raison, je ne vois absolument pas, et à vrai dire, vous avoir en face ne me donne pas vraiment envie...

4.
- Quelle révélation vous ferait le plus honte, et pourquoi?
- Poil aux doigts...
- Personne ne s'est jamais dévoué pour vous avouer que votre humour est pitoyable
Damon secoue négativement la tête, il mangerait bien un burrito, là tout de suite.
- Alors, quelque chose dont vous ayez honte?
- Eh bien.. promettez moi juste que ça restera entre nous madame Stevens...
- ...
- ...
- Bon d'accord! Je le promet, arrêtez un peu de me regarder comme ça, vous me faites peur
- Vous avez sans doute déjà vu cette publicité pour shampoing anit-pelliculaire?
- Vous avez des pellicules, c'est ça?
- Non! Non je n'ai pas de pellicules, est ce que mes cheveux ont l'air d'être infestés de pellicules? Non!
- Continuez
- Eh bien cette pub, avec ce Pete James... C'est moi qui ai composé la musique
- ...
- Vous trouvez ça terrible vous aussi...Eh! Arrêtez de rire! Ca me vexe
- Pardon... puis je simplement vous demander pourquoi vous avez fait ça?
- J'avais besoin d'argent
- Pourquoi? J'ai cru comprendre que vos parents n'étaient pas particulièrement dans le besoin...
- C'était pour acheter de la ... un cadeau, pour ma maman
- Hum
- Vous n'êtes pas émue?
- Question suivante...

5.
-... Pouvez vous me parler de votre pire ennemi?
- Non
- Monsieur... si vous ne vous montrez pas coopérant, nous n'allons jamais non en sortir...
- Je ne peux pas vous en parler, je n'ai pas d'ennemis
- Il y a bien une personne que vous n'aimez pas sur terre...
- Tout le monde m'aime à ce que je sache, je suis une rock star... un artiste que tout le monde respecte.
- Certes
- De quoi est ce que vous parlez, je suis fantastique!
- ...
- Je suis Dieu
- J'abandonne

6.
- Qu'est ce que c'est?
- Une feuille... et des crayons
- Vous voulez un autographe, c'est ça?
- Pas exactement plutôt un dessin représentant votre humeur.
- Je ne peux pas vous chanter une chanson ou...
- NON
- Ca va, pas la peine de crier...



- Mais qu'est ce que vous faites? Non ce n'est pas une très bonne idée... fermez cette fenêtre madame!

1. Présentez-vous. Votre nom et prénom. Votre Cursus scolaire actuel.
- Votre nom.
- Papa.
- Sérieusement mademoiselle.
- Je suis complètement, entièrement, à 100% sérieuse.
- Vous savez que ce test est très important pour votre dossier universitaire?
- Et vous, madame, vous savez que si vous jetez un coup d’œil dans la région des…euh je sais pas moi…disons P, vous trouverez, quelque part entre Pamachin et Papandreous…oui, juste là, voilà, Robyn Papa.
- Très drôle.
- Bah justement, si on est là pour juger de ma personnalité, autant vous y faire tout de suite, non?
- On continue.
- Je suis tout ouïe!
- Cursus scolaire.
- Vous savez, si vous y mettiez au moins la moitié de l’effort que vous faites pour ne pas avoir l’air de la pauvre femme coincée que vous êtes…ben ça pourrait être franchement marrant votre truc.
- Cursus scolaire.
- Prépa médecine… Version robotisée…ou lobotisée, au choix, on doit pas faire mieux que vous.

2. "qu'est-ce que cette tâche d'encre vous évoque ?"
-Regardez bien la tâche mademoiselle Papa.
-Ouais… et puis après?
-Habituellement les patients comprennent par eux-mêmes qu’ils doivent me donner une interprétation personnelle.
-Merde! Vous êtes en train de me traiter de demeurée!
-Pas le moins du monde mademoiselle. La tâche!
-Bah ça alors! C’est Diane Von Furstenberg qui a laissé traîner ses pinceaux? J’ai une adorable petite robe portefeuilles qui a exactement les mêmes couleurs…Bon, arrangées beaucoup plus élégamment, ça va de soi!
-Cessez de faire l’idiote.
-On devrait fonder un fan club.
-La tâche.
-Bordel… C’est n’importe quoi. Si je vous dis un après-midi d’été ensoleillé, les palmiers d’un vert tendre qui flottent gaîment au vent, moi, à six ans, en robe rose, qui regarde la mer… Ça vous donne quoi comme interprétation?
-Personnalité équilibrée, facilité à entrer en contact avec les autres, bonne capacité de communication, d’un naturel optimiste et fonceur.
-C’est tout moi!
-…
-Vous doutez de mon interprétation? Est-ce que c’est légal pour une professionnelle chevronnée comme vous?
-…
-J’en sais rien moi… C’est qu’une foutue tâche, non?
-…
-Ok! C’est vrai que ça m’évoque un peu mon pays natal. Toutes ces couleurs vives, c’est un peu comme chez moi.

3. "Qu'est-ce qui vous fait le plus peur dans la vie ?"
-Ça alors, j’ai réussi le test de la tâche?
-Répondez à la question.
-Les tests de personnalité débiles qui impliquent des tâches?
-…
-Non, mais sérieusement, mettez-vous un peu à notre place, nous, pauvres petits étudiants fraîchement débarqués sur le campus. Jeunes, sans expérience, ingénus, de petits agneaux qui ne souhaitent qu’être guidés! L’expérience est traumatisante.
-Arrêtez vos grands discours. Ce n’est qu’un test de routine.
-Le dentiste aussi et c’est très traumatisant.
-Le dentiste vous fait peur?
-Oh oui! Avec sa fraise et ses milliers d’instruments pointus comme des aiguilles.
-Soyez sérieuse…
-Vous n’avez pas peur du dentiste?
-Le test porte sur vous et non sur moi mademoiselle Papa.
-Mais peut-être que si vous acceptez de partager vos peurs avec moi, je serais plus ouverte à l’idée de le faire avec vous.
-Tout ça n’a aucun sens.
-Qu’est-ce qui vous fait le plus peur dans la vie?
-Mademoiselle Papa, je ne puis que vous répéter que ce test est très important pour votre dossier universitaire.
-Êtes-vous en train de me dire que si je ne passe pas ce test, je n’aurai pas mon diplôme?
-Non, bien sûr que non. Mais c’est tout de même important vous savez.
-Ben voilà, on a trouvé ma plus grande peur. Ne pas obtenir mon diplôme.
-Pourquoi?
-Si j’échoue, ben je vais devoir vous supporter encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et…
-Ça va! J’ai compris. J’en ai assez, question suivante.

4. " Quelle révélation vous ferait le plus honte et pourquoi ça ? "
- Ben pour être tout à fait honnête, ça m’embêterait assez que des gens sachent que j’éprouve une certaine sympathie pour vous.
- Pourquoi donc?
- Ben… vous savez… personne ne vous aime. Ça ferait de moi une originale et compromettrait entièrement mes chances d’intégration!
- Question suivante!

5. Parlez-moi de votre pire ennemi, la personne que vous aimez le moins dans votre vie ? Comment tout a commencé?
-Je ne sais pas trop comment dire… C’est une question qui me touche beaucoup.
-Je suis contente qu’on puisse enfin suivre le questionnaire comme il se doit.
-Oui… Bref, c’est assez récent. Je dirais même très récent. Je ne sais pas trop comment c’est arrivé, mais j’ai été, comment dirais-je, saisie! Oui, saisie d’horreur. Je n’ai pas compris tout de suite ce qui se passait, mais maintenant que j’y songe, c’était le début d’une certaine forme d’animosité très prononcée.
-Et comment cela a-t-il commencé?
-C’est assez bête comme histoire…
-Non, allez-y Robyn, je sens qu’on fait vraiment des progrès. Laissez-vous aller.
-Ben, puisque vous insistez. C’est vraiment tout bête. Un matin, je passe prêt du tableau d'affichage. Qu’est-ce que j’y trouve? Une convocation! Sans trop savoir ce qui m’attend, je me rends au rendez-vous… Soudain, j’entends mon nom à l’appel. C’est mon tour. Je pousse la porte et qui je vois assise derrière le bureau?
-Allez-y Robyn!
-Vous! Boum! Ça m’a prise d’un seul coup.
-C’est ridicule. Question suivante!

6. Faites un dessin exprimant votre humeur du moment.

- Tadam!
- Mais c’est quoi ce bordel?
- Un dessin.
- Je vois, mais où est l’humeur?
- En bas là! Le petit visage souriant.
- Je vois… Vous êtes contente. Mais que symbolisent les chiffres… et en bas, cette petite étoile… que veut-elle dire?
- Oui, exactement, je suis contente. Dans 4 secondes je franchirai cette porte (ouvre la porte) et, madame, c’était pas une étoile (geste éloquent)!

1.Présentez-vous. Votre nom et prénom. Votre Cursus scolaire actuel.

-Bonjour je suis Mme Steevens.
- Bonjour, comme si je n’étais pas au courant.
- Votre nom et prénom ainsi que votre cursus scolaire
- Katia Stanford et j’étudie présentement en Marketing.
- Et vous êtes nouvelle ?
- Oui en quoi sa vous dérange ?
- Oh rien, je voulais seulement m’informer. Tout droit de Londres. Pourquoi New-York ?
- Pour Yale et puis ma mère vient de New-York. Honnêtement j’en ai assez de vos questions stupides.
- Bon passons a l’étape suivante maintenant.
- Parfais le début de la torture.



2. "qu'est-ce que cette tâche d'encre vous évoque ?"

- Qu’es que cette tache d’encre vous évoque ?
- Vous rigolez ? Et puis c’est DES taches car il y en quatre.
- Je suis au courant, mais répondez a ma question.
- Vous êtes vraiment psychologue car demandez à des étudiantes a l’université sur des tache ce n’est pas vraiment de notre âge, vous savez ?
- Merci de vos commentaires Mlle Stanford mais je vous ai posée une question.
- Bien, sa me fait penser a des taches de peinture.
- Tache d’encre, tache de peinture, du pareil au même.
- Bon d’accord, sa me fais penser a Arc-en-ciel, ma pouliche en plastic que j’avais quand j’étais plus jeune. Elle était jaune avec une crinière et une queue rose et bleu avec des yeux verts.
- Vous pouvez développez un peu ?
- Certainement, je l’avais reçu pour mes sept ans je crois. C’était mon jouet préféré jusqu'à ce que ma mère m’achète une autre pouliche toute rose qui était franchement mieux.
- Ok passons a l’étape suivante.


3. "Qu'est-ce qui vous fait le plus peur dans la vie ?"
- Qu’est-ce qui vous fait le plus peur dans la vie, dite-moi ?
- Me faire attaquer par des pouliches vivantes. *rire*
- Sérieusement ?
- Je ne suis pas tellement peureuse mais bon. On va dire l’échec. J’ai peur d’échouer dans la vie et devenir comme vous.
- Hum. D’accord.

4. " Quelle révélation vous ferais le plus honte et pourquoi ça ? "
- Quelle révélation vous ferait le plus et pourquoi ?
- Quoi ? Vous êtes psychologue pour savoir les petits secrets des étudiantes New-Yorkaise ?
- Mlle Stanford, veillez simplement répondre a la question.
- Bon d’accord. Si vous y tenez tant. J’aurais honte que les autres sachent que… j’aime…
- Mlle Stanford, vous savez que toute information restera secrète pour cause de professionnalisme.
- Car vous êtes professionnel ?
- Mlle Stanford !
- Bon d’accord on se calme. J’aime encore Chewbacca ouais je suis fan de Star Wars.
- Pourquoi cela vous fait honte ?
- He ho ! J’ai 19 ans tout de même.
- Je vois.

5. Parlez-moi de votre pire ennemi, la personne que vous aimez le moins dans votre vie ? Comment tout à commencé ?
- Parlez-moi de votre pire ennemi ?
- J’ai l’air d’avoir des ennemies ?
- …
- Je n’ai pas de pire ennemies mais je ne porte pas tout le monde dans mon cœur.
- Et bien continuer
- Vous connaissez Paris Hilton ?
- Oui
- Et je l’aime pas pour le simplement fait que ces une pauvre conne.
- Mlle Stanford, corrigez votre langage s’il-vous-plait.
- Vous connaissez personnellement Paris Hilton ?
- Non pourquoi ?
- Puisque vous jugez beaucoup.
- Et puis ?
- J’ai demandé qui était votre pire ennemie ?
- Je vous répète que je n’en ai pas.
- Vous m’avez dit qu’il n’y avait certainement personne que vous ne portiez pas dans votre cœur. Je ne veux rien savoir des célébrités que vous aimez ou pas.
- Si vous y tenez. J’aime pas la vendeuse qui Barney’s, elle n’ait pas trop jolie et sérieusement elle est assommante.
- Ce que vous me dites, c’est que tous ceux de Yale, vous les appréciez ?
- Je l’ai connais pas tous, rappelez vous que je suis nouvelle.
- Vous n’aviez pas d’ennemie à Londres ?
- Si et je n’ai franchement pas envie d’en parler.
- Pourquoi ?
- Si vous insistez, ma pire ennemie c’est ma cousine, Carla.
- Pourquoi ? Comment tout a commencé ?
- Je ne sais pas moi. On ne choisit pas qui on aime encore moins qui on déteste. C’est ainsi.
- Vous ne pouvez pas me donner un exemple plus concret.
- Bon d’accord. Une personne que je déteste royalement…. Vous ?
- Et Pourquoi ?
- Parce que vous êtes assommante, que j’ai vraiment très hâte de partir et que vous êtes chiante pour mourir.
- Mlle Stanford, je vous ai déjà avertis de surveillez votre langage.
- Oui désoler.
- Bon passons a la dernière étape.

6. Faites un dessin exprimant votre humeur du moment.
- Qu’es que vous voulez que je fasse d’une feuille blanche et de crayon.
- Faites un dessin qui exprime votre humeur.
- Mon activité préféré
- Amusez vous bien alors.
- C'était ironique.
- Bien.
Quelques instant plus tard.
- Alors qu’es que sa donne ?
- * lui tend la feuille *



- Vous pouvez expliquer ?
- C’est pourtant simple, je suis souriante * pointe les deux visages souriant * et je suis comme toujours en paix * pointe le signe "Peace" *
- Bien. Nous avons terminé.
- Vous n’avez pas un truc a remplir pour notre satisfaction. Car je vous mettrais immédiatement 1 sur 10. Pourquoi 1 ? Car j’ai aimé me défouler sur vous. Sa me donne le sourire. Mais bon, au revoir et a jamais.