Les cavaliers de la mer [PV Olivia]

Max Van Eyck aimait regarder la mer, cet océan de formes changeantes et mouvantes qui symbolisait la vie, la fierté et le danger. La mer ressemble étrange aux femmes, aussi belle et périlleuse qu'elles et c'est sans doute pourquoi on n'aimait pas s'en passer.

Pour venir sur Coney Island il lui avait fallu passer par Brooklyn, évidemment. Ce petit trajet n'avait pas été sans lui rappeler quelques agréables souvenirs d'une certaine expédition dans les parages. Il se surprit à imaginer si au lieu d'aller vers le New Jersey ils étaient partis sur l'île. Ca aussi ça aurait été une sacrée aventure.

Ces derniers temps question aventures il était plutôt sage, si on exceptait une petite vendetta et une rencontre très intéressante. Mais depuis la déception qu'il avait éprouvé il s'était promis de faire désormais très attention avec ses sentiments ce qui expliquait pourquoi il avait tendance à rester sur ces gardes.

Le vent lui cingla le visage, le ramenant assez brusquement à la réalité. C'est vrai qu'on était quand même en Février. Pas une excellente saison pour se baigner ou faire du bateau, dommage.

Il songeait qu'il devrait peut-être se trouver un endroit sympathique pour se réchauffer quand il remarque une silhouette à quelques mètres de lui, qui regardait pensivement la mer.

La silhouette était une vraie égérie au luxe et à la mode féminine, ajoutons à cela qu'elle était ravissante avec ses cheveux chatains acajoux et son corps de mannequin.

Seul un pequennot venu du fin fond du Texas n'aurait pu reconnaître la sublime Olivia Wardolf, propriété du non moins sublime Nate Archibald encore que sur ce dernier Max Van Eyck n'était pas sans pouvoir souffrir une certaine comparaison.

Il ne connaissait pas vraiment Olivia, c'était surtout Nate qui l'avait présenté à elle en une occasion. Le Harrisson Club pour être précis, et d'ailleurs ça n'avait pas été la meilleure des soirées.
Il lui semblait également que quelques petites choses ne se passaient pas très bien dans son couple ; cela expliquait peut-être son air pensif...

Max s'approcha résolument d'elle, son sourire N°5 aux lèvres version "Chère vieille amie quelle plaisir de te revoir" et son regard bleu-vert rencontrant les yeux noisettes d'Olivia. Le fait qu'il était en train d'aborder la figure de proue de tout l'upper east side sans autre recommandation que celle d'être ami avec son boyfriend (avec qui elle semblait un peu froid d'ailleurs) ne l'arrêta pas un instant.

"Salut Olivia, tu sais que tu as l'air d'une véritable muse quand tu regardes l'eau de cette manière pensive ? Et peut-on savoir ce qui trouble tes pensées à ce point ?"

"Ce sont des histoires de couples..qui me donne mal à la tête.."

Encore des histoires de couple ? Mais on ne pensait donc qu'à ça par ici ?

Finalement ça n'était peut-être pas une très bonne idée de discuter avec Olivia Warldof. Bien sur elle était très belle et sans aucun doute charmante dès qu'elle le voulait.
Oui mais voilà elle formait un couple avec le meilleur ami de Max ; un coupe qui malheureusement ne se portait pas très très bien aux dernières nouvelles. Et lui de son coté avait également du mal à digérer le fait qu'on l'est trompé. Même sa vengeance sur Flaherty avait un gout amer, le gout de la déception poignante. Quand à sa toute nouvelle relation avec Christiane elle était, mmhh, et bien pour le moment elle avait été brève mais passionnée. Sauf qu'il commençait à s'effrayer de l'attirance qu'exercer la française sur lui, il n'avait pas du tout envie de se remettre à souffrir aussi vite. Pas avant d'être plus sur, ou moins investit. Enfin en tout cas d'y voir plus clair.
Or, tout cela mis bout à bout lui donnait légèrement le sentiment d'être complétement dans le brouillard, sans savoir où aller.

Et donc maintenant il se mettait à papoter, non soyons juste, à complimenter Olivia Warldof qui évoquait justement les couples. Formidable vraiment, cet art d'enchaîner les complications et de tomber de Charybbe en Scylla qu'il avait ! De mieux en mieux, tant qu'à faire il n'avait plus qu'à se mettre à lui conter fleurette histoire de faire bonne mesure avec le reste.

Bon, on se calme. Inspiration. Expiration. Voilà c'est bien.Féliciations, ça méritait un bon cigare toute cette introspection.

"là c'est plutôt un hexagone amoureux...toutes ces histoires me soûlent..."

"Sans blagues, join the club ! Tu m'excuses si je fume au fait" d'habitude on demandait vraiment avant de se mettre à fumer, mais bon ne devenons pas trop amical quand même.

"J'avoue que je m'évaderais bien de tout ce bazar moi aussi." Il se mettait à penser tout haut maintenant. Quoique... une idée commençait à pointer le bout de son nez.

Il fixa intensément Olivia, un peu comme si il allait...

"Sais-tu ce qui me vient à l'esprit ? Je pense que toi et moi nous avons bien mérité de nous échapper un peu. Prête pour une folle évasion Olivia ?" après tout le monde pouvait bien leur accorder quelques heures de liberté, loin d'eux et de leurs soucis.

Il lui tendit la main, attendant anxieseument sa réponse

<<Sans blagues, join the club ! Tu m'excuses si je fume au fait">>Pas du tout...qu'il fume.Lui aussi avait l'air d'avoir besoin de décompresser et fumer une cigarette lui ferait énormément de bien.Olivia prit elle aussi une de ses cigarettes à la menthe préférés dans son sac LongChamps qui pendait à son bras, et l'alluma avec un briquet qu'elle avait piqué à son frère Aaron,une tête de rastaman était dessiné dessus et les couleurs de la Jamaïque aussi,Olivia pensa alors à Nate.Qu'est-ce qu'il pouvait lui manquer,depuis qu'ils s'étaient vus chez Barney's,Olivia n'avait plus eu de nouvelles mais c'est sur que depuis qu'un certain site diffusait leurs faits et gestes sur le net,ils n'y a eu que des malentendus.Nate & Kenzie,Olivia & Sean,Giulia,Arya,Damon & Max.Plus personne n'y comprenait rien,surtout que cette certaine Gossip Girl avait parler de ces deux malencontreux baisers entre elle et Sean et Nate avait surement du en être au courant,après tout la vengeance est un plat qui se mange froid.Tant pis pour Olivia...mais le fait qu'elle et Nate se soient disputés...non,ils ne s'étaient même pas disputés..mais c'était comme si.Elle aimerait tellement avoir des nouvelles de lui,elle faisait tout le temps le premier pas,l'appelait tout le temps,lui envoyait des messages électroniques mais lui...rien...

-Oh non,ne t'inquiètes pas pour moi,moi aussi j'ai besoin de fumé, Olivia tira alors une latte sur sa cigarette et laissa échapper la fumée de sa bouche d'une façon toute aussi classe que naturelle.

<<J'avoue que je m'évaderais bien de tout ce bazar moi aussi.>>

-Oui,moi aussi,surtout avec ces rumeurs qui foutent la merde dans toutes nos histoires...

Olivia sentit le regard de Max la fixer de façon intense et longue,elle tourna la tête et le regarda.Il semblait être en train de fabriquer tout un plan ingénieux dans son cerveau et vouloir en expliquer le contenu.Qu'est-ce que sa allait pouvoir bien être...?

<<Sais-tu ce qui me vient à l'esprit ? Je pense que toi et moi nous avons bien mérité de nous échapper un peu. Prête pour une folle évasion Olivia ?>>

Olivia le regarda de son regard intense et arqua un de ses sourcils fraichement épilée...Une folle évasion...?Pourquoi pas.

-Oui,tu as totalement raison.J'ai envie de souffler un peu et de m'évader.Je me demande le plan que tu es en train de concocter...

Max Van Eyck prit la main d'Olivia Warldof et se mit à courir comme si le monde s'écroulait autour d'eux, l'entrainant dans son sillage éfréné.
Ils étaient sans doute très comique comme ça, enchainant les foulés le long de ces allées désertes balayées par le souffle marin.

Quand la vie et ses galères ennuyaient trop Max Van Eyck il réagissait d'une manière simple : il se défoulait physiquement, lâcher la bride à son talent naturel pour se mettre dans des situations bizarres et enfin il arrêtait de réfléchir.

Donc là tout de suite il se contentait de courir avec Olivia à sa suite, sans avoir la moindre petite idée d'où il allait ni ce qu'il allait faire.
Oui c'est vrai il avait légèrement dit à Olivia qu'il allait l'entrainner dans une folle expédition comme si tout était déjà prévue. Mais évidemment ça n'était pas du tout le cas ; pas de panique il allait bien trouver.

Il bifurqua brusquement sur la place de Coney Island, déserte. Les chaussures Gucci n'aimaient pas le sable de même que son pantalon ou les vêtements d'Olivia mais qu'importe. La folie vaut bien le sacrifice d'un peu de garde robe.
Ils courraient sur la plage, riant aux éclats, se libérant de toutes leurs pensées et de tous ces sentiments qui leur pourrissaient l'existence depuis ces derniers temps. Max se sentait bien, détendu, libéré et pas du tout complexé par la présence d'Olivia qui décidément devenait de plus en plus ravissante au fur et à mesure que cessaient leurs inhibition. Ses joues prennaient la couleur du beau rouge de l'effort tandis que son rire cristallin s'envolait dans le ciel. Une vraie sportive.

Max la prit soudain dans ses bras puis la souleva et se mit à courir vers la mer.

"Olivia Wardolf vous avez chaud je le vois bien. Un bon bain vous est indispensable, et ne protestez pas jeune fille"

Il avança résolument dans l'eau, ne sachant pas lui-même si il allait bien le faire ou pas. Aucune ihibitions désormais, rappelez-vous.

L'eau est très froide, mais ce qui s'appelle vraiment froide. Il faut savoir que la température à New York pendant l'hiver est très proche du zéro degrès. D'ailleurs on aurait presque pu voir de la glace dans l'eau.

Et donc la sensation aux niveau des chevilles de Max Van Eyck tenait à lui comprendre que non ça n'était pas du tout une bonne idée d'aller dans l'eau. Il était de moins en moins chaud là car, sans mauvais jeu de mots, ce genre de blague pouvait vous rafraichir l'ambiance...
Mais d'un autre coté Olivia Warldof pouvait interpréter ça comme un repli pas stratégique, en gros un acte peureux. Pas bon du tout pour la réputation ça ; même si pour l'instant présent Max ne songeait pas franchement à jouer son rôle ou quoique ce soit d'autre pour Olivia il fallait quand même comprendre que quand le culte de l'apparance et de la classe était enraciné en vous depuis l'enfance on était toujours inquiet de sa réputation.
A plus forte de raison quand on a l'étiquette du cocufié, encore que depuis peu il s'était arrangé pour qu'on sache que tout avait prix et que celui de le faire cocu était terriblement élevé. Mais passons.

Il s'arrêta cependant, mais ne fit pas demi-tour pour autant. Au contraire il souleva Olivia au dessus de ses épaules, un peu comme si il allait l'offrir en sacrifice au roi des flots.
Laquelle Olivia n'avait pas du tout envie de prendre le fameux bain.

"Non,non...Max tu vas me réposer par terre,l'eau est gelée à cette période en plus on est en Février,je veux pas mourrir d'hypothermie,de toute façon,y a des témoins,si je meurs tu pars en prison...et sa sera peut-être la chaise électrique.."

Puis elle lui fit son adorable sourire, le sourire que tout l'upper connaissait en tant qu'arme fatale à souhait. Le sourire d'Audrey Hepburn, pour lequel Max était ravi de redéposer Olivia au sec.

Puis Olivia lui tira la langue avant qu'il n'ait amorcé son geste de retour. Elle lui tira la langue de manière ironique, comme un ange diabolique.

Et Max se figea quelques secondes. Et il la lacha, incapable de songer à autre chose que ce dont elle venait de lui rappeler.
Heureusement, par pur réflexe et sans aucune intentions calculées, Max réussit à récupérer Olivia pendant les quelques dixièmes de secondes où elle tombait. Une chance qu'il l'ait portée en hauteur avant de la lacher. Sans cela elle était bonne pour un bain.


Elle avait quand même l'air contente d'avoir éviter ça, en tout cas elle restait de bonne humeur. Max en revanche était retombé dans son humeur sombre, et tandis qu'il ramenait Olivia au sec il ne pouvait s'empêcher de repenser à ce sourire, et à l' "ange diabolique".
Il s'était plus ou moins persuadé que si qui c'était passé avec giulia appartenait au passé, et n'aurait plus d'incidence sur sa vie sentimentale. D'ailleurs il avait bien rencontré Christiane non ? Et il était très heureux avec elle, alors c'était une preuve en soi quand même. Il n'avait même pas chercher à ve senger d'elle en plus, c'est dire si il ne ressentait plus rien du tout. La vengeance sur Damon c'était différent, il n'allait quand même pas laisser s'en tirer un gars qui lui avait planté des cornes comme ça ; maintenant c'était assez disuassif pour que les éventuels challenger soient passablement refroidis.
Giulia.... ah ! Mais pourquoi il pensait à elle ? Christiane était parfaite, aussi folle que lui et tout et tout. Même si pour le moment il n'avait passé qu'une journée avec elle ça suffisait amplement.

Malgrès tout quand Olivia avait eu cette expression sur son visage il s'était instantannément souvenu de la magnifique italienne aux cheveux de braise, à son caractère enjoué et léger, et à la passion qu'elle lui avait inspirée.
C'était difficile de l'oublier.

Mais il allait se forcer. Il se tourna vers Olivia qui était restait silencieuse pendant son introspection. Leurs idées noires avaient d'être de retour.

"Je suis désolé, je me suis rappelé les fameuses histoires de couples.... Ecoute on ne va pas laisser tout ça nous gacher la journée. J'ai repéré un mec qui proposait des jets-ski, avec tout un équipement pour ne pas avoir froid. Donc on va aller faire les fous sur l'eau, on ira sur l'îlot à la pointe de Coney et surtout, surtout, on fait absolument ce qu'on veut et dans la bonne humeur !!" Ses propres paroles l'avaient lui-même remis de bonne humeur, il se sentait de nouveau en état de faire n'importe quoi.

Ils se remirent à courir, main dans la main, jusqu'au fameux loueur de jet-skis lequel se mit presque à croire qu'il y a avait une catastrophe et qu'il fallait fuir au plus vite. Heureusement les bons billets verts de l'upper le raisonnèrent bien vite.

L'instant d'après Max et Olivia surfaient sur les vagues glacées de la mer de New York, emmitouflés dans des gilets chauffant, tranchants les flots tels deux cavaliers, les cavaliers de la mer.

On les appelait riders, ces personnages qui chevauchaient les plus véloces coursiers et qui cherchaient à dépasser le vent. Le terme anglais évoquait tellement plus la connotation aventureuse de la chose, son risque aussi. Riders, ça sonnait bien : on imaginait tout de suite la vitesse, le fait de s'abandonner au mouvement sans ne plus rien contrôler.
En français le mot cavalier faisait penser à bien autre chose, un petit coté "jusqu'à la mort" et la touche de romantisme en plus ; quand on passait à l'italien, cavaliere, on retrouvait le frisson de l'aventure et de l'exotisme.

Et c'est tandis qu'il "galopait" sur les flots glacés de l'Atlantique que Max pensait à cela, surtout quand il regardait Olivia Wardolf. Malgré l'agitation relative des vagues elle avait une tenue et une maîtrise remarquable de son "destrier" ; un sens de l'équilibre à toute épreuve. Il se demanda fugitivement ce que ça aurait donné si elle avait été avec Damon, Tim' et lui sur leur escapade au chantier ; elle, elle ne serait sans doute pas tomber à la différence de...

L'air vif avait donné une jolie teinte à son visage, un très beau visage d'ailleurs où un grand sourire exprimait toute la joie d'Olivia. Un petit grain de folie, une escapade et tout devenait si amusant tout d'un coup. Max se demande brièvement si lui-même d'arborer une expression de parfait contentement en ce moment même. Si c'était le cas alors il devait avoir l'air du parfait crétin, un peu comme Archie quand il était stone (sauf que Nate se débrouillait, allez savoir comment, pour ne jamais avoir l'air d'un crétin). Une veine qu'ils soient seuls tous les deux. Ca resterait leur secret.

Ils mirent pied à terre, atteignant la pointe désertique de l'île ; revigorés par leur traversée des 7 mers ils se sentaient de bonne humeur, presque folâtre, et ils avaient largement oublié tous ceux qui leur donnaient des idées noire.
Tandis que Max le rejoignait tranquillement sur la plage Olivia fit un petit geste qui sembla beaucoup l'amuser sur le coup : elle poussa Max qui, surpris et déséquilibré, alla faire communion avec le sable/neige.
Elle se mit alors à courir tout en faisant entendre son rire clair et cristallin et il ne put s'empêcher de lui faire écho.

Ah bon, elle voulait jouer à cela ? Bien, bien. Max se releva avec toute la dignité qu'il lui restait, c'est à dire plus grand-chose mais chûût c'est un secret, et fit la grosse voix à Olivia qui commençait à s'éloigner

"Olivia Wardolf je vais vous attraper et vous faire payer cet affront"

Il lui courut donc après, décidément ça allait devenir une habitude pour eux deux. Il fut rapidement proche d'elle, et il fallait avouer que la course souple et gracile d'Olivia offrait un fort joli spectacle ; on ne pouvait qu'admirer sa silhouette de sportive et ses jambes finement musclées. Un autre garçon, ou plutôt même la majorité des autres garçons, aurait ralenti et prolongé au maximum le plaisir de cette vue.
Mais pas Max Van Eyck. Premièrement parce que depuis peu il avait décidé ne plus courir après les filles, ce qui effectivement rendait très légèrement paradoxale sa situation présente. Ensuite, et surtout, parce que même si il était sensible à la beauté d'Olivia, et c'était peu dire, ça ne lui serait jamais venu à l'esprit d'employer cet innocent jeu pour satisfaire quelques pulsions dégradantes. Olivia était très belle, mais elle méritait qu'on la respecte même si récemment elle avait été trompée ; tout comme lui.

Et il la rattrapa donc, facilement. Il emprisonna Olivia dans ses bras puissants, en un geste spontané et le sourire aux lèvres.

"Vous êtes ma prisonnière Miss Wardolf".

Il s'apprétait à lui dire une boutade quelconque mais son état d'esprit changea tout d'un coup. Il tenait Olivia contre son corps, il pouvait sentir son parfum enivrant et les courbes de son corps contre sa propre poitrine. Sa respiration s'accéléra, les émotions physiques l'atteignirent de plein fouet et quelque chose passa dans ses yeux. Son cerveau se mit à envoyer divers signaux contradictoires, dont un puissant avertissement. L'expression de son regard se fit intense, le bleu-vert de ses yeux rencontrèrent la lumière du regard noisette d'Olivia, tandis que leurs lèvres frémissèrent.

Conscient mais s'abandonnant finalement à son mouvement Max l'embrassa dans un souffle, unissant ses douces lèvres aux siennes tout en savourant avec volupté au gout profond et puissant de cette sensation intense.
Max se sentit hébété, presque stupéfait de ce qui c'était passé. Il trouva son regard, et lui murmura très doucement :
"Olivia, Olivia..."




Riders, cavaliers ou cavaliere finalement c'étaient bien les mêmes.