Gossip Girl
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 I.N.S.A.N.E G.I.R.L

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AuteurMessage
London E. Parker
Little Gossip..
London E. Parker


Nombre de messages : 15
Age : 34
Localisation : Euh...Dans son cervelet...
Etablissement : Yale
Date d'inscription : 13/10/2007

En bref :
Something to Say?: How to explain that...I'm just...Insane !
Nobody does it better ::
Don't You Forget About... Us?:

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MessageSujet: I.N.S.A.N.E G.I.R.L   I.N.S.A.N.E G.I.R.L Icon_minitimeSam 13 Oct - 2:37

Identité :

Prénom(s) et nom : London Eden Parker
Date de naissance, Age : 18 Mars 1989, 18 ans
Sexe : féminin
Etablissement : Yale, première année, section Art Dramatique.
Signe particulier : La demoiselle parle avec un accent anglais et non pas américain et soigne particulièrement cette caracteristique.

Et sinon, vous, ça va?

Physique : London est tout ce qu’il y a de plus normal. Des cheveux bruns le plus souvent excessivement ébouriffés, dont elle ne prend pas vraiment soin. Des yeux marron chocolat qu’elle cerne de noir en guise de maquillage. Il est vrai que du haut de son mètre soixante, la demoiselle n’est pas vraiment ce qu’on pourrait qualifier de canon. Elle n’a rien de l’allure altière de ces filles aux cheveux chatoyants, aux longues jambes et aux talons aguilles aussi hauts que pointus. Elle n’a pas les ongles impeccablement manucurés. Elle n’a pas une permanente signée Eric Stipa et par dessus le marché, elle n’a pas les dernier escarpins Louboutin dont (presque) toutes les filles sont raides-dingues.
Pourtant, on ne peut s’empêcher de se retourner sur son passage. Peut-être parce qu’elle dégage un incroyable charisme, peut-être parce que sans s’en douter elle est d’une beauté renversante, ou peut-être simplement parce qu’elle est la seule fille du campus qui ose porter un jean Marc Jacobs à 338 dollars avec un vieux pull élimé et des chaussures « plus trouées tu trépasses ». Miss Parker à des « moyens » mais met un point d’honneur à ne pas respecter le code de la mode et à avoir une allure décalée. Enfin son physique banal est en mesure d’être apprécié à sa juste valeur car elle peut se permettre de porter n’importe quoi sans paraître complètement ridicule pour autant. C’est SON style et le reste, elle s’en fout ! Le seul hic reste encore et toujours sa taille réduite qui la fait immanquablement passer pour plus jeune qu’elle ne l’est. Elle ne compte plus les fois ou on lui a demandé sa carte d’identité à l’entrée d’une boite…

Caractère : La jouvencelle est réputée pour ne pas avoir la langue dans sa poche. C’est une grande gueule et elle ne se gêne pas pour dire ce qu’elle pense. Elle est aussi énergique à l’excès. London est toujours la première à vouloir s’amuser, sortir, faire des conneries… et même emmerder les gens. Ne cherchez pas, il n’y a ni prise ni bouton off. Rien ne peut arrêter cette pile électrique. Sa vivacité n’a d’égale que son mépris pour les règlements en tout genres. Quoi de plus excitant que de faire le mur, de conduire à grande vitesse en pleine ville ou même de s’habiller en réalisant les associations les plus improbables ? Raffinée est un mot qui ne fait pas partie de son vocabulaire. Elle ne se gêne pas pour user et abuser d’insultes grossières, boit, fume – parfois, se bourre la gueule – souvent. Elle aime dire des choses qu’elle seule peut comprendre. En fait, London Eden Parker paraît intouchable à sa manière. Les piques, mêmes plus vicieuses ne l’atteignent que rarement. Elle semble vivre dans un monde bien à elle qu’elle s’applique à obscurcir aux yeux des autres. Elle reste malgré tout une personne assez sociable si on prend la peine d’aller cherche plus loin que sa dinguerie apparente. Le seul problème étant qu’elle a généralement un attirance marquée pour les personnes décalées, et ce surtout lorsque lesdites personnes sont à la limite de l’antipathie pathologique. Ne serait-elle pas un peu maso sur les bords ? Allez savoir…

Intéressant… Et le passé dans tout ça?

Origine / Nationalité : London est américaine depuis peu. Avant cela elle avait vécu entre Paris, Dublin et Londres, cette dernière étant sa ville natale.
Localisation géographique : New York durant quelques temps, puis le campus de Yale depuis la rentrée.
Style d'habitation : L’appartement des Parker aurait de quoi faire des envieux, mais le fait est que la demoiselle l’a laissé tombé depuis quelque temps au profit d’une modeste chambre universitaire. Nous nous attacherons donc plutôt à décrire celle-ci.
A la base, un chambre est une chambre, un point c’est tout. Seulement Miss Parker n’est pas quelqu’un du genre à dire « un point, c’est tout » et à se plier aux petites règles stupides des prolétaires. C’est ainsi qu’elle s’est mis en tête de décorer entièrement son nouveau logement à sa manière. Elle aurait du avoir une colocataire mais cette dernière avait mystérieusement disparu depuis que London lui avait dit qu’elle comptait repeindre les murs en rouge sang et ce quoi qu’elle en pense.
Enfin, venons en à la description proprement dite. Un immense lit double occupe le centre de la chambre – ce n’est pas parce qu’elle est folle-dingue, qu’elle n’apprécie pas le confort d’un lit luxueux, et puis elle peut bien se le permettre puisque personne n’a le courage de cohabiter avec elle. Les murs ne sont bien évidemment pas rouge mais simplement blancs décorés avec des tonnes de posters d’Andy Warhol. Un petit bureau dans un coin croule sous un fatras hétéroclite de papiers, accessoires, vêtements… De toute façon, elle s’en fiche. Elle ne comptait pas beaucoup s’en servir. De l’autre côté, l’armoire. Enfin si on peut appeler ça une armoire… Surtout, ne vous avisez pas d’ouvrir la porte sous peine de vous retrouver sous une avalanche de fringues. A l’intérieur règne un bazar monstrueux. Le moins qu’on puisse dire, c’est que London n’est pas la reine du rangement. Chemises, tee-shirts, pulls, pantalons, jupes, chaussettes, culottes, chaussures…et j’en passe (je vais quand même pas vous énumérer tout le contenu de sa garde-robe sinon on y serait encore dans trois ans) s’entassent sans logique apparente. On en vient à se demander comment la demoiselle fait pour retrouver quoi que ce soit là-dedans.

Histoire : (si vous le permettez, je fais l’histoire du point de vue de London)
London Eden Parker…
Ils n’auraient pas pu trouver mieux ?
Non mais c’est vrai, quel manque cruel d’originalité…
Me nommer comme ma ville natale.

Bon. C’est vrai que maman n’avait jamais fait preuve d’une inventivité débordante. Pour la femme d’un photographe célèbre, elle était d’une banalité affligeante. C’est malheureux à dire, mais j’ai hérité de ses traits. Heureusement, au niveau caractère, je tiens plus de mon paternel.

Cecil Carl Parker alias Papa est selon moi, un homme épatant. Il est novateur, il ne fait rien comme tout le monde et n’a pas honte de le dire !
Honey Peace Walters alias Maman est…une dinde. Je ne vois pas d’autre mot pour la décrire. Elle se comportait comme une gamine de dix ans jusqu’au jour où Papa a déclaré en avoir marre et a demandé le divorce. Dieu merci !

Après ça, on s’est pas mal baladés. Surtout entre Dublin et Paris parfois aussi à Milan et à Londres. J’ai jamais revu Maman. Et à vrai dire, elle ne me manque pas.
Après Maman, Papa a eu beaucoup d’aventures. J’aimais pas trop ça mais j’allais pas non plus l’empêcher de s’amuser un peu. Déjà qu’il avait du se farcir deux mômes pendant plus de quinze ans… Moi, de mon côté, j’avais fini par comprendre que s’éclater était quelque chose de diamétralement opposé à aller sagement en cours pour apprendre des leçons débiles et se fader des profs atrophiés du bulbe. J’avais de l’argent, beaucoup d’argent…alors pourquoi ne pas l’utiliser un peu ? Bon, à quinze ans et demi, les animations étaient un peu limitées mais piquer en douce la bagnole de Papa et s’introduire frauduleusement dans les boites branchées était atrocement grisant.

Ensuite, on a déménagé à New-York. Je suis allée à Constance Billard pendant deux ans. C’était nul mais moins pire que le truc privé Saint Magdalene où j’étais avant, à Londres. Par contre, la ville était fabuleuse. C’est l’endroit le plus dingue de que j’ai vu ! Je passais mes soirées à faire la fête, j’ai fait les pires conneries. C’était comme dans un rêve…qui a tourné au cauchemar.

La coke, c’est mal. J’étais prévenue. Ca m’a pas empêché de vouloir essayer, moi avec ma curiosité légendaire. Mais quand on y touche une fois, on peut plus s’en débarrasser. Papa m’a envoyé de force en cure de désintox et m’a fait juré de ne plus jamais retoucher à ce truc. J’ai promis… J’avais trop d’estime pour lui pour être capable de trahir sa confiance.

Puis Madison a débarqué. C’était la nouvelle conquête de Papa. Sauf qu’avec elle, ça semblait être plus sérieux. La pauvre fille s’était mis en tête de faire de nous une famille modèle, super unie et tout le toutim. Une horreur !

Heureusement, la lettre de Yale est arrivée. J’avais été admise ! Enfin bon, faut pas se leurrer. C’était plus grâce au piston de Papa que pour mes capacités intellectuelles incoyables. Mais le principal était là, j’étais admise à l’université.

Bye-bye Madison, bye-bye Constance, bye-bye New-York.

Et surtout bonjour Yale !


Situation familiale :
Cecil Carl Parker, son père, se balade beaucoup entre Europe et Etats-Unis pour son boulot de photographe. Il est très demandé.
Madison Gray s’escrime à réunir les membres de sa nouvelle « famille ». De ce fait, elle harcèle presque London au téléphone pour savoir si elle ne souffre pas trop de l’éloignement. Elles se sont récemment bouffé le nez par combiné interposé et bizarrement, la appels intempestifs ont cessé.
Rêves et ambitions pour l’avenir : L’avenir ? Quel avenir ? Il faut profiter de la vie au jour le jour ! Enfin, London envisage tout de même une carrière dans le cinéma.

Questions subsidiaires :

Comment avez-vous découvert ce forum ? : Je ne m’en souviens plus…Ca fait longtemps qu’il est dans mes favoris.
Comment trouvez vous le design? : Génial ! Je l’adore ! *o*
Votre niveau de rp? : (14/20)
Merci de préciser si votre personnage choisi est un prédéfini ou non : Non, il ne l’est pas.
Avez-vous lu les livres ? ceci n'est bien évidemment nullement obligatoire : Hum…les trois pauvres tomes que j’ai pu trouver à la bibliothèque mais c’est tout…
Code : You know you love me
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Kenzie Stewarts
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MessageSujet: Re: I.N.S.A.N.E G.I.R.L   I.N.S.A.N.E G.I.R.L Icon_minitimeSam 13 Oct - 13:40

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